Le poète provençal
C’est un type qui arrive dans une ferme de Bigorre et qui demande l’hospitalité.
Le fermier lui demande ce qu’il fait dans la vie.
Putain, moi je suis poète, poète provençal, un troubadour quoi…
Le type accepte de l’héberger dans la grange, puis il voit sa fille.
Oh y a un type bizarre dans la grange, y dit qu’il est poète !
Je vais voir ça, dit la fille, et elle se pointe dans la grange :
Alors comme ça, vous êtes poète ?
Beh ouais, je fais des vers, des rimes, c’est quoi ton nom ?
Moi c’est Gervaise.
Et ben Gervaise, viens ici que je te baise…
Il la prend, la couche sur le foin et lui fait son affaire, bim, bam, boum…
Ravie, la fille revient voir son père :
Il est super ce gars !! Y fait des super poèmes !!
La mère dit :
Bon beh moi aussi je vais voir ça …
Alors comme ça vous faites de la poésie ? demande-t-elle …
Putain, vouais ! Je suis un barde, un troubadour, c’est quoi ton nom ?
Moi c’est Pauline…
Ah Pauline, viens par là que je te pine !…
Il se rue sur elle et rebelote, bim, bam, boum dans le foin.
La mère retourne à la ferme :
Extra, y m’a fait un grand poème, Boudiou que c’était beau !!
Le mari dit alors :
Vingt Diou ! y faut que j’aille voir ça moi aussi.
La mère et la fille se jettent alors sur lui en criant :
HERCULE !! NON !, N’Y VAS PAS !!!
La blonde et le camionneur
Un camionneur s’arrête à un feu rouge, une blonde le rattrape. Elle sort de son auto en courant vers le camion et frappe sur la porte. Le camionneur descend sa vitre et elle lui dit :
Bonjour, mon nom est Alice et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison.
Le camionneur l’ignore et continue sa route.
Quand le camion s’arrête à un autre feu rouge, elle le rattrape encore une fois. Elle descend en courant de son auto et court au camion. Elle frappe sur la porte. Le camionneur redescend encore une fois sa vitre.
Elle lui dit comme si elle ne lui avait jamais parlé :
Bonjour, je suis Alice et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison.
Secouant la tête, le camionneur l’ignore encore une fois et continue son chemin. Le feu passe au vert, le camionneur embraye et poursuit sa route. Voyant que la blonde compte encore insister, c’est lui qui prend cette fois les devants. Il se dépêche, sort de son camion et court à l’auto de la blonde. Il frappe sur la portière, elle descend la vitre et il lui dit exaspéré :
Bonjour, je suis André, c’est l’hiver et je conduis un CAMION DE SALAGE !!
Les bonnes manières
Une institutrice essaie d’enseigner les bonnes manières à ses élèves :
Michel, si tu étais en train de faire la cour à une jeune fille de bonne famille, très bien éduquée, pendant un dîner en tête à tête et que tu avais besoin d’aller aux toilettes, que dirais-tu ?
Attends-moi une seconde, je vais pisser un coup.
Ça serait très grossier et très malpoli de ta part.
Et toi, Jean, que dirais-tu ?
Je m’excuse : il faut que j’aille aux toilettes, mais je reviens tout de suite.
C’est déjà mieux, mais c’est désagréable de mentionner les toilettes pendant le repas.
Et toi Toto, tu serais capable d’utiliser ton intelligence, pour une fois, et de démontrer tes bonnes manières ?
Oui, Madame, je dirais : « Ma chère, je vous demande pardon de m’absenter un moment. Je m’en vais de ce pas tendre la main à un ami intime que j’espère pouvoir vous présenter après le dîner ».
Mouais, pas terrible...
On la racontait dans les salles des profs il y a quinze ans lorsque les violences physiques envers les enseignants ont commencé à se banaliser.
Mais là, le malheureux n'est pas rentré en saignant, il n'est pas rentré du tout, il n'avait plus de tête.
à montrer les caricatures, le prof s’entete
Et la famille s'enferre...
La famille s'enferre avec raisons ou la famille a raison de s'en faire ?
Vous savez pourquoi il n'existe aucun minotier juif ?
Parce qu'ils ne peuvent pas être au four et au moulin
Toi tu vas te faire ostraciser.....
il y a 1 minute, Mako a dit :Toi tu vas te faire ostraciser.....
Un message sur la neige
Un inconnu a tracé, en pissant sur la neige, dans le parc de l’Élysée, ce message : » Le Président est nul «
Furieux, le président de la République ordonne qu’on fasse des recherches pour démasquer le coupable de ce forfait.
Une semaine plus tard, le ministre de l’Intérieur rend ses conclusions :
J’ai deux nouvelles pour vous, monsieur le Président. Une bonne et une mauvaise.
La bonne d’abord !
L’analyse d’urine nous a permis de trouver le coupable : il s’agit de votre Premier ministre.
Et la mauvaise ?
L’analyse graphologique est formelle : c’est l’écriture de votre femme…
Libéré
Une femme se réveille pendant la nuit et constate que son Mari n’est pas au lit.
Elle enfile son peignoir et descend voir où il est.
Elle le trouve dans la cuisine, assis devant une tasse de café.
Il paraît bouleversé et fixe le mur.
Elle le voit essuyer une larme comme il avale une gorgée de café.
Qu’est-ce qui ne va pas chéri ?
Le mari lève les yeux de son café, il lui demande solennellement :
Tu te souviens il y a 20 ans, quand on s’était donné rendez-vous, tu n’avais alors que 16 ans ?
Oui je m’en souviens, répond-elle.
Le mari fait une pause, les mots lui viennent difficilement.
Te souviens-tu que ton père nous a surpris en train de faire l’amour à l’arrière de la voiture ?
Oui je m’en souviens, dit la femme en s’asseyant à ses côtés.
Le mari continue :
Te souviens-tu, quand il a pointé son flingue sur ma tempe et qu’il a dit : « Ou tu épouses ma fille, ou je t’envoie en tôle pour 20 ans »
Je m’en souviens aussi, répond-elle doucement.
Il essuie une autre larme et dit :
J’aurais été libéré aujourd’hui !!!
Stage dans le BTP
Une petite fille de 6 ans vient d’emménager dans une nouvelle maison.
A côté se trouve un terrain vague où des ouvriers construisent une autre maison.
La petite fille commence à aller voir de plus près ce qui se passe, et après quelques jours, elle devient la mascotte du projet. Le chef de chantier lui donne même des petites tâches à accomplir afin qu’elle participe.
A la fin de la première semaine, le chef de chantier lui tend une enveloppe de paye pour la remercier… L’enveloppe contient la somme symbolique de 5 euros.
Toute contente, la petite fille rentre chez elle et raconte son histoire à sa mère. La mère est amusée et dit à sa fille que le temps est venu d’ouvrir un compte à la banque pour y déposer son salaire.
A la banque, la caissière elle aussi est toute éblouie par cette histoire que la fillette raconte de sa voix fluette :
J’ai travaillé dans la construction à côté de chez nous. On construit une maison…
D’ailleurs tous les employés et clients de la banque écoutent en souriant.
La caissière demande alors à la fillette si elle pense retourner travailler au chantier la semaine prochaine.
Faut voir… répond l’enfant.
Voir quoi ?! répondent en cœur plusieurs clients et employés de la banque.
Ben, reprend la fillette, faut voir si ces enculés de chez Bigmat se décident à nous livrer ce putain de placo de merde !!!
Le gars aimerait bien une petite gâterie de temps en temps, mais sa femme est dégoûtée et absolument opposée à la chose.
Comprenant les besoins du mari et ne voulant pas qu'il passe à la concurrence, elle écoute les conseils d'une amie qui a vu un truc extraordinaire dans une animalerie. Elle se rend dans la boutique et le commerçant lui vend pour 200 € une grenouille qui, selon ses dires, est experte en fellation.
De retour, elle explique son beau geste et laisse le type seul dans la chambre avec le batracien qui retourne dans son vivarium une fois sa tâche accomplie.
Au milieu de la nuit, elle entend un grand bruit de casseroles dans la cuisine. Elle descend et voit son homme très occupé à préparer des ris de veau aux morilles devant la grenouille qui semble très intéressée, assise sur le plan de travail.
"Mais qu'est-ce que tu fous là à trois heures du mat' ?
- Je lui apprends à cuisiner et après, tu pourras te casser !"
Il y a 10 heures, Zoréol a dit :Elle descend et voit son homme très occupé à préparer des ris de veau aux morilles devant la grenouille qui semble très intéressée, assise sur le plan de travail.
"Mais qu'est-ce que tu fous là à trois heures du mat' ?
- Je lui apprends à cuisiner et après, tu pourras te casser !"
Royal...
Amsterdam
C’est un touriste français qui part en vacances à Amsterdam.
Ayant entendu parler avec beaucoup de bien de certaines personnes (derrière des vitres), il se rend dans les quartiers chauds de la ville.
Il en voit une à son goût. Il tape sur le carreau et demande : » C’est combien ? »
La fille lui répond: « C’est 400 euros ! »
« Mais c’est cher ! » lui répond le futur client.
Oui, mais c’est du verre securit », lui répond la jeune femme.
Du monde au balcon
C’est dimanche après-midi et les parents ont une sacrée envie de faire l’amour.
Malheureusement pour eux, le petit Pierre-Louis est dans l’appartement et comme il risque de pleuvoir, les parents ne préfèrent pas qu’il sorte.
Alors le papa trouve la solution :
Pierre-Louis, pourquoi n’irais-tu pas sur le balcon ? Comme ça, tu nous raconteras tout ce qui se passe en bas.
Pierre-Louis va sur le balcon et commence son observation.
Pendant ce temps, les parents passent aux choses sérieuses très discrètement.
Pierre-Louis commente ce qu’il voit :
Il y a une voiture qui se fait remorquer par une dépanneuse dans le parking.
Tiens, une ambulance vient de passer à toute vitesse.
Il y a des gens qui rendent visite aux voisins d’à coté.
Un moment passe puis Pierre-Louis reprend :
Lili fait du vélo sur le trottoir.
Un chien traverse la route.
Tiens les Martin sont en train de baiser…
A ces mots, les parents de Pierre-Louis sursautent et le papa drôlement interloqué demande :
Et comment tu sais ça Pierre-Louis ??
Parce que leur fils aussi est sur le balcon !
Le moine et le moineau
Un moine tibétain marche sur une route glacée de montagne et entend un faible pépiement.
Il regarde autour de lui et voit au pied d’une haie, un tout petit moineau à moitié mort de froid. Il le prend et le réchauffe dans ses mains.
« Que faire, s’interroge-t-il ? Si je le garde avec moi, il va salir ma robe et au couvent le chat le mangera. Si je le laisse ici, il va mourir de froid. »
Soudain une idée lui vient : pour le protéger du gel, il place l’oisillon dans une bouse fumante de vache sacrée, et poursuit son chemin l’âme en paix.
L’oisillon se réchauffe et commence à chanter à plein gosier sa joie d’être encore vivant. Un renard qui passe par là, entend la bouse de vache chanter. Intrigué il s’approche, découvre notre moineau et le croque.
Trois moralités à cette histoire :
1) Celui qui te met dans la merde ne te veut pas forcément du mal.
2) Celui qui t’en sort ne te veut pas forcément du bien.
3) Quand tu es dans la merde, ferme ta gueule !
Conduite accompagnée
C’est l’histoire de deux petites vieilles sur une route, à l’avant d’une grosse voiture.
Elles sont l’une et l’autre de très petites de taille, et elles peuvent à peine voir au dessus du tableau de bord.
A un certain moment, elles arrivent à une intersection et elles grillent un feu rouge. La vieille qui est assise sur le siège passager se dit : « Je dois perdre la tête: je jurerais qu’on vient de passer au Rouge ! »
Elle attend quelques minutes de plus et la voiture arrive à un autre croisement. Là encore, le feu est rouge, et malgré tout, la voiture passe sans même ralentir ! Cette fois, la mamie de droite est carrément angoissée et elle se promet de bien observer la route.
Au croisement suivant, là encore, le feu est rouge cramoisi mais la voiture passe comme si il était vert. Alors la vieille se tourne vers sa copine à gauche et lui hurle : « Mais enfin Berthe ! Ça fait trois feux rouges que tu grilles à la file… Tu aurais pu nous tuer trois fois ! »
Et Berthe répond : « Ah bon, c’est moi qui conduit ?! »