A la retraite
Après avoir pris ma retraite, ma compagne a insisté pour que je l’accompagne dans ses courses au supermarché.
Malheureusement, comme la plupart des hommes, je trouve cette tâche des plus ennuyeuses et préfère entrer et sortir rapidement. Ma compagne étant (hélas) comme la plupart des femmes, elle aime faire du shopping pendant des heures et des heures ! Donc j’essaye d’occuper mon temps comme je peux. Mais hier, ma chère a reçu la lettre suivante du supermarché :
Chère Mme R….,
Au cours des six derniers mois, votre mari a été à l’origine de plus d’un problème au sein de notre magasin.
Nous ne pouvons tolérer ce comportement et sommes contraints de vous interdire, à tous les deux, l’ accès à notre supermarché.
Nos plaintes contre Mr R. sont énumérées dans l’historique ci-dessous, et documentées par les vidéos de nos caméras de surveillance vidéo, disponibles sur simple demande de votre part.
Le 15 juin :
A pris 24 boîtes de préservatifs et les a déposées au hasard dans les chariots d’autres clientes, quand elles ne regardaient pas.
Le 2 juillet : A réglé tous les réveils dans le rayon des articles ménagers / literie pour qu’ils se déclenchent à intervalles de 5 minutes.
Le 7 juillet : Avec une boîte de concentré, a fait une traînée de jus de tomates sur le sol conduisant aux toilettes des femmes.
Le 3 août : A rôdé dans le magasin avec un regard louche, en fredonnant le thème de « Mission Impossible » .
Le 17 août :
A monté une tente dans le département de camping et proposait aux autres clients d’amener des couvertures et oreillers pour une soirée à la belle étoile.
Le 23 août : Quand un employé a demandé s’il pouvait l’aider, a commencé à pleurer et à crier : « Pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ?»
Le 30 août : A regardé directement dans la caméra de sécurité et l’a utilisée comme un miroir, pour aller chercher des trésors dans son nez.
Le 2 septembre : A manipulé des armes à feu dans le département de « chasse et pêche » et a demandé au préposé dans quel rayon se trouvaient les antidépresseurs.
Le 18 octobre : S’est caché dans un rayon de vêtements, à l’intérieur d’une longue robe et lorsque les gens approchaient, il criait : « Choisis-moi, choisis-moi !»
Le 21 octobre : Quand une annonce est venue sur le haut-parleur, il s’est couché au sol en position foetale et a crié : « Oh non ! C’EST ENCORE CES VOIX !»
Et le dernier incident, mais pas le moindre, en date du 23 octobre : Est entré dans une cabine d’essayage, a fermé la porte, a attendu un certain temps, puis a crié très fort : « Hé ! Il n’ y a pas de papier cul ici ? »…
En Chine, un prof de sport va vers son élève et lui dit :
– Fais moi une dizaine de pompes, tout de suite !
– Pas de problème Monsieur ! Nike ou Adidas ?
Un gars rentre au Café du Commerce et s'accoude au bar mais ne dit rien...
Le patron : Qu'est-ce que vous prenez ?
Lui : Un double Ricard, grand verre et des cacahuètes.
Il le sert, le gars boit et finit les cacahuètes, se lève et va pour partir...
Le patron : He, ça fait 6 €uro !
Lui : Mais je nous ai rien demandé, c'est vous qui m'avez dit "Qu'est-ce que vous prenez ?" C'est une invitation, non ?
Le patron dépité, le laisse partir sans payer.
Quelques jours plus tard, même manège.
Le patron se fait de nouveau avoir, mais mémorise bien le personnage.
Une semaine plus tard, il voit le mec se pointer et s'accouder au comptoir sans rien dire et il ne fait rien...
Au bout de quelques minutes il appelle le patron et lui demande :
- Vous auriez des morceaux de pain rassi et des croutes de fromage ?
Le patron (méfiant) : Oui mais que voulez-vous en faire ?
Lui : C'est pour faire de l’appât pour aller à la pêche.
Sympa, le patron lui donne ce qu'il a demandé et lui demande :
Et qu'est que vous allez prendre avec ça ?
Lui : Un double Ricard, grand verre et des cacahuètes.
Je connaissais sa petite sœur. Trois copains vont tous les soirs prendre le pastis dans le même bistrot, et c'est chaque fois le même manège. Les deux premiers paient chacun sa tournée, et au moment de boire le dernier, le troisième gars, un peu pingre sur les bords leur dit : "Bon, on a assez bu, ciao, je rentre, à demain !" Naturellement, lorsque ce manège s'est renouvelé plusieurs fois, les deux premiers en ont marre et se mettent d'accord. Le lendemain soir, ils arrivent en avance et au lieu de se mettre au comptoir, ils s'installent à une toute petite table pour deux dans un coin, ne laissant aucune place au troisième.
L'autre arrive dans le bistrot, leur fait un petit signe de la main, puis s'assoit à une autre table. Il demande au garçon un grand verre d'eau (gratuit), sort de sa poche un fil de pêche avec un hameçon et le trempe dans le verre. Ça dure un bon quart d'heure et les deux autres l'observent, interloqués. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, l'un des deux se lève et se dirige vers lui :
" Mais bon sang, qu'est-ce que tu fais ?
- Ben, tu vois, je pêche...
- Tu pêches ? Et tu prends quelque chose ?
- Ah ouais, tiens ! Un 51, comme d'hab' !"
Deux Belges vont chercher du carburant dans une station service à la Frontière près de Valenciennes. La station est éloignée mais ils font le déplacement car ils veulent participer au concours organisé par le gérant de la station : " Une heure de sexe gratuit ! "
Ils font donc le plein et demandent au gérant s'ils peuvent participer au concours.
- OK, dit le gérant, si vous gagnez vous avez droit à une heure de sexe gratuit, offerte par la maison.
- Et comment on joue ? demandent les belges
- C'est simple, dit le gérant, je vais penser à un nombre entre 1 et 10. Si vous devinez ce nombre, vous gagnez votre heure de sexe gratuit.
- Je dis 7, répond le premier Belge
- Désolé, c'était 8, dit le gérant.
La semaine suivante, ils retournent à la station, refont le plein et demandent à participer au concours.
- OK, dit le gérant, je vais penser à un nombre entre 1 et 10, si vous devinez ce nombre, vous gagnez votre heure de sexe gratuit.
- Je dis 5, répond le premier Belge
- Désolé, c'était 7, dit le gérant.
Sur le chemin du retour, le premier Belge dit a l'autre :
- Je suis sûr que ce concours est truqué.
- Je ne pense pas, répond le deuxième. Ma femme a gagné deux fois la semaine dernière !
On se connait ?
Un gaillard fait la file à la caisse de son supermarché quand il remarque qu’une petite blonde canon lui fait signe de la main et lui sourit.
Il s’adresse à elle et dit gentiment :
– Excusez-moi, est-ce que je vous connais ?
Elle répond en souriant :
– Je peux me tromper, mais je pense que vous êtes le père d’un de mes enfants…
Les souvenirs du gars le renvoient vers la seule et unique fois où il a été infidèle, et il demande :
– Nom d’un chien, ce ne serait pas vous la strip-teaseuse que j’ai niqué sur la table de billard devant tous mes copains lors d’une soirée bien arrosée, pendant que votre amie me flagellait avec un céleri mouillé ?
– Ben non, répond-elle, je suis la nouvelle institutrice de votre fils !
+++
- Pour nos 30 ans de mariage, j'ai acheté un bateau et nous partons sur une île déserte perdue dans le Pacifique avec ma femme.
- Et pour vos 50 ans de mariage, tu as prévu quelque chose ?
- J'irai peut-être la rechercher.
L’enfer
C’est un drogué qui meurt d’une surdose et il arrive en enfer.
Satan est là qui lui ouvre les portes de son royaume. Le drogué ne voit aucune flamme et demande à Satan comment se fait-il qu’il n’y ait pas de feu. Satan lui dit que ce sont des histoires pour faire peur au monde et qu’il n’y a aucun feu en enfer.
Alors il lui fait visiter l’enfer: Première chambre, tout le pot que tu veux, deuxième chambre, tout le hachich que tu veux, troisième chambre, tout le crack que tu veux.
Alors le drogué heureux comme un roi saute dans la chambre de pot, se roule un très gros joint et demande à Satan« As-tu du feu ?».
Satan lui répond: Je te l’ai dit, il n’y a pas de feu en enfer.
Leonardo Di Caprio, Brad Pitt et Zoréol meurent la même nuit et se retrouvent au petit matin dans une antichambre sinistre. Dans cet endroit, plus de notoriété qui compte, ils se regardent tous les trois plus que stressés en se demandant ce qui va leur arriver.
Au bout d'une attente interminable (c'est long, l'éternité !) une voix sépulcrale retentit : "Di Caprio, chambre 5 !" Le beau Leonardo se lève, suivi des deux autres et s'achemine d'un pas lent vers la porte qu'il ouvre en hésitant. Là, un lit, et une femme d'une maigreur épouvantable, côtes apparentes, édentée, genoux cagneux... La même voix annonce le verdict : "Di Caprio, vous avez péché toute votre vie par le sexe, pour votre rédemption, vous devrez faire l'amour mille ans avec cette personne."
La porte se referme, Brad Pitt et Zoréol repartent vers la salle d'attente en se regardant en coin et en soupirant. De longues heures plus tard, la même voix : "Pitt, chambre 3 !" Après ce qu'il a vu, Brad s'attend au pire et il part comme un condamné au supplice, escorté de Zoréol. La main tremblante, il ouvre la porte : une femme d'au moins 150 kilos, les seins sur les genoux, les cuisses débordant de plis graisseux... "Pitt, vous avez péché toute votre vie par le sexe, vous devrez faire l'amour mille ans avec cette personne !"
Et Zoréol se retrouve tout seul dans la petite pièce. Des heures (ou des jours, qui sait ?) s'écoulent et derechef la voix : "Zoréol, chambre 7 !" Le Zoréol part en traînant les pieds, ouvre la porte, et là, Penelope Cruz dans une nuisette transparente affriolante ! Le Zoréol se frotte les yeux, les rouvre, non, il n'a pas rêvé, que se passe-t-il ? Et de nouveau la voix : "Cruz, vous avez péché toute votre vie par le sexe, pour votre rédemption..."
faut pas se sous estimer comme ça !! lol
Trois raisons qui prouvent que Jésus était en fait Italien :
Tu ne connais pas les Juifs pieds-noirs !
La différence entre un Goy, un Juif ashkénaze et un Juif séfarade :
Le Goy a une femme et une maîtresse et il aime sa maîtresse.
L'Ashkénaze a une femme et une maîtresse et il aime sa femme.
Le Séfarade a une femme et une maîtresse et il aime....................... sa mère !
Coca-cola
Les dirigeants de Coca-Cola se rendent personnellement au Vatican pour faire une offre au Pape : « Votre Sainteté, nous vous proposons 5 millions de dollars par mois pour que vous changiez dans le Notre Père la phrase « donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien » par « donne-nous aujourd’hui notre Coca-Cola quotidien ».
Après un moment, le Saint Père répond : « Nous ne pouvons pas faire cela, mon fils… »
Après quelques mois, ils reviennent avec une nouvelle proposition revue à la hausse : « Votre Sainteté, notre firme vous offre 300 millions de dollars par an si vous changez dans le Notre Père la phrase « donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien » par « donne-nous aujourd’hui notre Coca-Cola quotidien ».
Après avoir marqué un temps de repos, le Saint Père répond : « C’est impossible, nous ne pouvons pas faire cela, mon fils… »
Mais les dirigeants de Coca-Cola insistent, obtiennent une nouvelle fois d’être reçus et lui présentent une nouvelle offre : « Votre Sainteté, notre firme a décidé d’offrir un milliard et demi de dollars par an à la Sainte Eglise si vous acceptez de changer dans le Notre Père la phrase « Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien » par « donne-nous aujourd’hui notre Coca-Cola quotidien ».
Après un temps de réflexion, le Saint père se retourne vers son secrétaire et demande : « Il se termine quand, notre contrat avec les boulangers ? »
Un prêtre, un pasteur et un rabbin dissertent du commencement de la vie.
Le prêtre : « La vie commence à la conception ! »
Le pasteur : « La vie commence quand le fœtus est viable ! »
Le rabbin : « La vie commence quand les enfants ont leurs diplômes et sont mariés ! »
Un gars gagne un séjour de deux semaines dans un village de vacances aux Seychelles. Tout heureux, il va retirer son lot, mais on lui indique :
"On a oublié de le préciser, mais il s'agit d'un village naturiste.
- Ça m'ennuie un peu, je n'ai jamais pratiqué cela : on ne pourrait pas échanger contre une semaine dans un autre endroit des Seychelles ?
- Non, ce n'est pas possible, le concours est sponsorisé par ce club de vacances..."
Bon, les Seychelles, ça ne se refuse pas. Débarqué du taxi qui l'amène de l'aéroport, il défait sa valise, jette un coup d'œil dehors en tirant un tout petit peu le rideau. Tout le monde à poil, il ne s'y fera pas ! Et puis, à la réflexion, il n'est pas venu jusqu'ici pour rester enfermé dans le bungalow. Il s'enveloppe dans une serviette, va à la plage. Bof, finalement, personne ne fait attention aux autres, il déplie sa serviette et s'allonge dessus en observant ce paradis sur terre. Un moment après, une brune plantureuse sort de l'eau et naturellement, il a une érection. La fille s'approche de lui :
" Vous m'avez appelée ?
- Euh, non, pas du tout !
- Mais si, nous sommes naturistes, nous sommes sensibles à l'appel de la nature, venez avec moi dans mon bungalow."
Deux heures après, il en ressort en se disant que, tout compte fait, les vacances vont être sympas. Il retourne à la plage, s'étend avec un air de vieil habitué, et lorsqu'une blonde sculpturale sort de l'eau, nouvelle érection. La fille s'approche :
" Vous m'avez appelée ?
- Ah ! Vous avez remarqué ? Euh, ben oui !" (Le gars apprend vite.)
Et c'est reparti dans le bungalow. Il en sort ravi mais un peu épuisé et retourne à la plage s'offrir une petite sieste sur le sable. Quand il se réveille, il ne peut retenir une flatulence. Un type membré comme un cheval arrive vers lui :
" Vous m'avez appelé ?
- Ah, non non non, pas du tout !
- Mais si, j'ai bien remarqué, nous sommes naturistes...
- Oui, l'appel de la nature, tout ça... !"
Et le gars ne lui laisse pas le choix, l'amène dans son bungalow. Il en ressort dix minutes plus tard, le postérieur en compote, file dans le sien, boucle sa valise et déboule à la réception :
" Appelez-moi un taxi, je vais changer d'établissement.
- Votre chambre ne vous convient pas ? On peut vous installer dans une autre si vous le désirez !
- Ce n'est pas ça, mais vous comprenez, je bande deux fois dans la journée, mais je pète dix fois par jour !"
Un locataire appelle son propriétaire :
- J'ai un problème. Depuis quelque temps, il y a des rats dans la villa que vous me louez, serait-il possible que vous veniez constater ?
- Bien sûr, je viens demain.
Le lendemain le propriétaire arrive et au moment où il pénètre dans l'entrée, il voit une scène hallucinante :
- Dites-moi, ce n'est pas un saumon qui vient de sauter du haut d'un meuble à l'autre ?
- Je vous ai appelé pour le problème des rongeurs, en ce qui concerne l'humidité on abordera le sujet plus tard.
Un jour une femme décide d'acheter un perroquet à ses filles adolescentes. Elle se rend donc au magasin d'animaux le plus proche. Arrivée là, elle voit une aubaine pas croyable : 100 € pour un magnifique perroquet parlant. Etonnée, elle va voir le vendeur.
- Monsieur, pourquoi un perroquet d'une aussi grande valeur est si peu cher ?
- Et bien ma petite madame c'est qu'il vient d'un bordel et son langage n'est pas correct du tout.
- Mais mon bon monsieur, cela se corrige, tant pis, je vous le prends.
Le gars lui offre une cage et lui vend le perroquet. Arrivée chez elle, elle installe la cage dans le salon. Le perroquet dit alors :
- Nouvelle maison, nouveau bordel.
La femme se dit que ce n'est pas grave et qu'il va s'améliorer bientôt.
Les deux jeunes filles arrivent au salon et le perroquet de dire ;
- Deux nouvelles p'tites putes, deux nouvelles p'tites putes.
La mère, toute confuse explique à ses filles que le perroquet vient d'un endroit peu recommandable et que son langage va se corriger au jour le jour. Sur ce, le mari débarque et le perroquet s'exclame :
- Nouveau bordel, nouvelles p'tites putes, mais toujours ce bon vieux Robert !
Un italien se présente à la réception d'un hôtel à Nice.
La réceptionniste lui demande :
- Quel est votre nom ?
- Gianpaolo Scarmarcino.
- Vous m’épelez ?
- Vous mé plait aussi bocou mad’moizelle !!!
Ah! vous êtes Belge ?
Lassé de s’entendre dire, chaque fois qu’il vient à Paris et qu’il ouvre la bouche : « Ah! vous êtes Belge… », Un Bruxellois décide de prendre des cours de diction pour se débarrasser de son accent. Après trois mois de travail acharné et d’exercices, il y parvient enfin. Plus rien dans ses intonations ne trahit son origine.
Alors il se rend à Paris et le matin, en sortant de l’hôtel, il traverse la rue tout joyeux, pousse la porte de l’établissement en face, s’accoude au comptoir, et demande sans la moindre trace d’accent :
– Donnez-moi un grand crème et deux croissants !
– Vous êtes Belge ? fait l’autre
– Comment le savez-vous ?
– Parce qu’ici, répond l’employé, c’est une banque.