Le directeur d’un asile pense obtenir de bons résultats en rééduquant ses patients par le travail. Pour ce faire, il décide de leur confier la construction d’un hangar.
Quelques jours plus tard, il va sur le chantier pour se rendre compte personnellement des progrès réalisés. Quelle n’est pas sa surprise en découvrant un homme suspendu par les jambes à une poutre du bâtiment inachevé.
Que faites-vous là, mon ami ? demande-t-il.
Je suis le lustre, monsieur le directeur.
C’est ridicule, voyons. Descendez immédiatement. Vous allez vous faire du mal !
Le lendemain, le directeur revient sur le chantier pour voir si ses pensionnaires n’ont pas inventé une nouvelle originalité. Lorsqu’il arrive devant le hangar, il trouve son équipe d’ouvriers assis par terre, les bras croisés.
Eh bien, s’étonne-t-il, vous ne travaillez pas aujourd’hui ?
On voudrait bien, monsieur le directeur, mais on n’a plus de lumière.
C’est l’histoire d’une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde …
Un des enfants lui demande de l’aide pour mettre ses bottes pour aller récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
» Elles sont à l’envers, maîtresse « .
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s’aperçoit qu’en effet il y a eu inversion des pieds…
Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu’à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds…
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
» C’est pas mes bottes ! «
A ce moment, elle fait un gros gros effort pour ne pas exploser, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l’a pas dit avant …
Comme le gamin voit bien qu’il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors : » Bon, allez, on les enlève » et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
» C’est pas mes bottes, c’est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre « .
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
L’opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d’avoir réussi.
Pour aller jusqu’au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
» Où sont tes gants ? «
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
» Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes !!! «
Deux gars errent dans le désert depuis plusieurs jours.
Ils meurent de soif.
J’ai un truc infaillible pour lutter contre la soif, déclare le premier
Ah ouais, c’est quoi ? Interroge le second.
Il faut sucer des cailloux …
Alors c’est foutu, ici il n’y a que du sable à perte de vue.
Long silence. Les deux naufragés du désert reprennent leur pénible progression sur les dunes brûlantes.
On serait sauvés si on trouvait une rivière, s’exclame soudain le second belge,
Tu as raison, réfléchit le premier, au fond des rivières il y a toujours des cailloux…
C’est Monsieur Goldenbaum qui tient un restaurant à Jérusalem et qui a écrit 100 lettres au pape Jean-Paul II, autant à Benoît XVI pour demander un entretien privé; et lorsqu’il apprend que le pape François vient à Jérusalem il se rend à la nonciature :
– « Je suis Monsieur Goldenbaum et je dois absolument rencontrer le pape.
– Ah, content de vous connaître, cher Monsieur, depuis le temps que nous recevons vos courriers. Malheureusement l’emploi du temps du Saint Père…
– S’il vous plaît, s’il vous plaît, juste une minute, c’est très important.
– Bon! Demain le Saint Père doit quitter la résidence à 11h. Venez à 10h55. »
Le lendemain dès 8h Monsieur Goldenbaum est dans la salle d’attente et à 10h55, le Saint Père sort de l’ascenseur.
« Ah, très Saint Père je suis Monsieur Goldenbaum.
– On m’a parlé de vous, cher Monsieur, Que puis-je faire pour vous ?
– Eh bien voilà: je suis restaurateur à Jérusalem. Mon père était restaurateur à Jérusalem, mon grand-père était restaurateur. Mon arrière grand-père était restaurateur. Mon arrière arrière…
– Bon, ça va ! On ne va pas remonter à Jésus Christ….
– Eh bien si, justement ! Il y a 13 couverts qui ne nous ont pas été réglés… »
Il y a un gars arrêté depuis un moment à un carrefour et il voit, attendant devant le passage pour piétons, un aveugle avec son chien-guide assis à côté de lui.
Le feu piéton passe au vert, le chien ne réagit pas.
Puis il passe au rouge.
Quelques temps après, le feu repasse au vert, le chien ne bouge toujours pas. Puis re-rouge. Et comme cela, le manège dure un bout de temps.
Donc notre homme se dit qu’il faut qu’il entreprenne quelque chose : il s’approche de l’aveugle et lui dit:
Dites, votre chien, là, il n’est pas sensé vous faire passer lorsque le feu pour piétons passe au vert ?
Si, pourquoi ?
Ben, parce que le feu est déjà passé plusieurs fois au vert, et votre chien n’a pas bougé…
Eh bien vous faites bien de me le dire !
Là, l’aveugle fouille la poche de sa veste, sort un sucre et le tend au chien qui le mange immédiatement.
Notre homme réagit et dit à l’aveugle :
Votre chien ne fait pas son travail et vous le récompensez, en plus ?!!!
Vous n’y êtes pas! C’est seulement pour repérer où est la tête ! Maintenant, il va se prendre un sacré coup de pied au cul !
Le petit Nicolas revient de l’école et demande a son père :
Papa, j’aurais besoin de tes lumières. Pourrais-tu me parler de la politique ? J’ai un devoir là-dessus à rendre pour demain.
Après un instant de réflexion son père lui répond :
Bien, je pense que la meilleure méthode pour t’expliquer tout cela est de faire une analogie avec notre famille. Je suis le capitalisme car je nourris la famille. Ta mère est le gouvernement car elle contrôle chaque chose. La bonne est la classe ouvrière car elle travaille pour nous. Toi tu es le peuple et ton petit frère c’est la future génération. En espérant que cela puisse t’aider.
Merci papa, dit le petit Nicolas. Je ne comprends pas tout mais je vais y réfléchir.
Dans la nuit petit Nicolas est réveillé par les cris de son frère.
Il constate que ses couches sont sales.
Il se rend dans la chambre de ses parents et essaie de réveiller sa mère sans succès.
Il remarque que la place de son père est vide.
Il cherche son père et le retrouve au lit avec la bonne.
En désespoir de cause il retourne se coucher.
Le matin suivant, au petit déjeuner il dit a son père :
Papa, je crois que cette nuit j’ai tout compris a la politique.
Excellent mon garçon et qu’as-tu appris ?
J’ai appris que le capitalisme baise la classe ouvrière tandis que le gouvernement roupille, ignorant le peuple et laissant la génération future dans la merde.
Un vieux couple entre lentement dans un McDonalds, par une froide soirée d’hiver.
Ils se retrouvent attablés parmi un groupe de jeunes familles et de jeunes couples.
Plusieurs clients les regardent avec admiration, se disant :
Quelle belle image. Ce vieux couple a du passer à travers bien des épreuves, depuis au moins 60 ans qu’ils sont ensemble…
Le vieux Monsieur se rend directement à la caisse, commande sans hésitation et paie le repas. Le vieux couple choisit alors une table et le vieux Monsieur pose son plateau sur la table. Sur le plateau se trouve un hamburger, un paquet de frites et un Coca-Cola. Le Monsieur déballe le hamburger et le coupe précisément en deux. Il en place une moitié devant son épouse. Ensuite il compte soigneusement les frites, en fait deux piles égales puis en place une devant sa femme. Il prend une gorgée de Coca-Cola, sa femme en fait autant. Il place le Coca-Cola entre les deux.
Quand l’homme commence à manger sa partie de hamburger, les autres Clients se disent :
Les pauvres, ils ne peuvent s’acheter qu’un seul repas pour eux deux ?
Quand le vieux Monsieur commence à manger les frites, un jeune homme se lève et s’approche de leur table. Un peu gêné, il leur offre poliment de leur acheter un autre repas. Le Monsieur lui dit que tout va bien et qu’ils sont habitués à tout partager. Puis les gens s’aperçoivent que la vieille dame n’a encore rien mangé. Elle reste assise, regardant son mari manger sa part en sirotant de temps à autre une gorgée de Coca-Cola.
Encore une fois le jeune homme les supplie de le laisser leur acheter un autre repas. Cette fois c’est la vieille dame qui lui explique que ce n’est pas nécessaire, car ils sont habitués à tout partager….
Comme le vieux Monsieur finit de manger et s’essuie la bouche, le jeune homme n’en peut plus. Il s’approche de leur table pour leur offrir encore une fois de la nourriture. Après qu’ils aient une fois de plus poliment refusé, il demande à la vieille dame :
Madame, mais pourquoi ne mangez-vous pas ? Vous dites que vous partagez tout ! Alors qu’attendez-vous ?
J’attends les dents !
Le mari rentre à la maison et trouve sa femme, qui l’attend de pied ferme…
Elle : Tu reviens bien tard, hein superman ?
Lui : Je vais t’expliquer. Je suis vraiment désolé, mais j’étais avec des clients…
Elle : Et tu as discuté toute la nuit, jusqu’à 07h00… c’est juste, superman ?
Lui : Laisse moi parler, s’il te plaît. J’ai réussi à acquérir un nouveau client pour la boîte. Nous sommes allés manger italien…
Elle : Et cela jusqu’à 07h00 du matin ? Tu me prends pour une demeurée, superman ??
Lui : Bon ok. On a été ensuite dans un bar, jusqu’à 03h00 boire quelque chose…
Elle : Oui oui oui, superman, jusqu’à 03h00… Et que c’est-il passé jusqu’à 07h00, superman ?
Lui : Euh… Ensuite on a été dans un bar à strip-tease, mais j’ai QUE regardé, c’était chiant, ouais et…
Elle : C’est bon, superman. Tu as seulement regardé, et tu as tranquillement attendu… Que dois-je encore croire, superman ???
Lui : Laisse-moi s’il te plaît parler et écoute !…. d’ailleurs pourquoi m’appelles-tu tout le temps superman ???
Elle : Parce qu’il n’y a que superman qui porte le slip par-dessus son pantalon !!!
Un homme était en train de tondre sa pelouse, quand tout à coup, il fut distrait par son attrayante voisine.
Une blonde pure, très bien tournée.
Elle sort de sa maison et se dirige directement vers sa boîte à lettres qui se trouvent à l’entrée de son terrain. Elle l’ouvre et referme aussitôt la boîte aux lettres.
Un peu plus tard, elle ressort de la maison et se dirige, d’un pas pressé, vers sa boîte à lettres, et encore la rouvre et la referme violemment.
Elle s’en retourne furieuse à l’intérieur de la maison.
Comme l’homme achevait de tondre sa pelouse, v’là sa blonde voisine qui ressort de la maison, marchant rageusement vers sa boîte à lettres, la rouvre et la referme très fortement.
Intrigué par son comportement, notre homme s’avance et demande :
Une Renault 5 des ponts et chaussées s’arrête sur une petite route de campagne suivie de peu par une Fourgonnette.
Cinq employés communaux descendent du fourgon et l’un d’eux s’adresse au chef dans la R 5 :
Chef on a oublié de prendre les pelles
C’est pas malin, les gars ! Attendez je téléphone au dépôt.
Le chef prend son combiné dans la voiture :
Allo Marcel ! Dis donc il te reste des pelles au dépôt ?
Oui, répond le gars à l’autre bout du fil, il t’en faut combien ?
Alors le chef se retourne vers ceux du fourgon :
Combien vous êtes ?
Cinq ! Répondent les autres.
Cinq ! Reprend le chef au téléphone.
OK, lui dit le gars du dépôt, tu les auras cet après-midi.
OK salut ! Et il raccroche.
Le chef se tourne à nouveau vers les gars :
C’est bon on aura cinq pelles cet après-midi
Ben chef qu’est-ce qu’on fait en attendant ?
Je ne sais pas moi, appuyez-vous sur autre chose !
Aux Etats-Unis, la femme d’un avocat meurt.
Au cimetière, au moment de la mise en terre, les gens présents peuvent lire sur la tombe :
« Ci-gît Lisa Bennet, femme de John Bennet, L.L.D., erreurs médicales, fautes professionnelles, successions, divorces »
Soudain le mari (l’avocat) fond en larmes. Son frère à ses côtés lui dit :
Tu as bien raison de pleurer : C’est honteux de faire de la publicité comme ça sur la tombe de sa femme. Franchement, ce n’est pas malin !
Entre 2 sanglots, l’avocat répond :
C’est pas ça, tu comprends pas : ils ont oublié de graver le numéro de téléphone !
C’était un éleveur de poules qui possédait un petit poulailler, sans plus. Dans son élevage se trouvait essentiellement des poules, quelques poussins, et un seul coq parmi la troupe. Cependant, le coq était déjà âgé, et l’éleveur avait déjà entreprit d’un acheter un autre. Alors, un beau jour, une camionnette arriva dans la basse cour, et l’éleveur récupéra le coq, qu’il plaça dans le poulailler.
C’était un tout jeune, qui avait l’air fier. Voyant le vieux coq qui marchait pas grandement vite, il entreprit l’idée d’aller le voir, sentant l’orgueil à plein nez. Il arriva devant le vieux, et commença à le taquiner.
– Alors mon vieux, qu’est ce que ça te fait d’avoir un jeune coq tel que moi, tout beau, qui va venir te remplacer ?!
– Pas grand chose, pas grand chose…
– Tu oses te moquer de moi, poule mouillé ?!!
– Écoute jeunot, on va faire un pari. Tu vois le buisson qui est là-bas ? Je te propose une course, entre coqs. Le premier qui atteint cet amas tout vert sera maître du poulailler entier, sera mari de toutes les poules, et aura comme serviteur le perdant !
Le jeunot se mit à ricaner devant le bec du vieux.
– Tu oses me donner un tel pari , alors que tu marches pas plus vite qu’un escargot ? Tu me fais bien marrer !
– C’est ce qu’on va voir, petiot… Au lieu de faire du beau discours, viens te mettre devant le départ…
Le jeunot s’installa, les coqs se préparèrent au départ, grattant leurs pieds sur l’herbe du poulailler, et le vieux cria à pleins poumons le départ. Les deux se mirent à courir à une vitesse impressionnante. Le jeune, intrigué par le vieux, accéléra, et fini par courir derrière lui. Il accélérait, près à donner un croche pied à son doyen pour arriver le premier au buisson, jusqu’à ce que…PAN !!
L’éleveur, avec son fusil de chasse, avait tiré en plein dans le jeune. Le vieux s’était arrêté de courir, regardant le jeune, gisant, tout satisfait. L’éleveur, dérangé, se mit à dire d’une voix forte, une phrase qu’il disait pour lui même :
– Ah bin ça alors ! Ça fait le 3ème coq gay qu’on me livre cette semaine !
Un homme rentre chez lui après avoir terminé la lecture d’un tout récent best seller intitulé « Maître du foyer ».
Il entre en trombe dans la maison et se dirige directement vers son épouse.
De son ton le plus autoritaire, il lui dit :
À compter d’aujourd’hui, je veux que tu saches que JE SUIS le maître de ce foyer et que c’est moi qui fait la loi !
Ce soir, je veux que tu me prépares le plus somptueux des repas et lorsque j’aurai terminé de manger, je m’attends à ce que tu me serves un savoureux dessert.
Après quoi, tu me feras couler un bain afin que je puisse me relaxer.
Et à la sortie du bain, devine qui doit m’habiller et me coiffer ?
Le directeur des pompes funèbres mon vieux. Personne d’autre…