Un promoteur immobilier meurt et se présente au petit matin devant Saint Pierre qui consulte son dossier : "Ouh là ! avec les casseroles que vous traînez, vous êtes bon pour cent ans de purgatoire avant de gagner le Paradis : je vais vous montrer vos nouveaux quartiers." Ils descendent un petit escalier étroit, le brave barbu ouvre une porte : une salle lugubre, des âmes agenouillées sur des prie-Dieu, pas marrant comme perspective pour le siècle à venir. Comme il n'a pas d'autre client en ce matin calme, il l'emmène voir ce qui l'attend une fois sa peine purgée pour lui remonter le moral. De grandes prairies, des pommiers et des âmes en aube blanche qui se baladent en devisant à mi-voix. Pas très rigolo, surtout que l'Eternité, c'est long ! D'humeur badine, le bon Saint continue : "Puisque j'ai du temps, je vous montre ce à quoi vous avez échappé, l'Enfer."

Ils descendent un long escalier en colimaçon, et la porte s'ouvre. Le promoteur est sidéré : moquette épaisse, musique douce, lumières tamisées, profonds divans où sont installées d'avenantes créatures peu vêtues, un bar regorgeant des meilleurs whiskies Islay. Le gars réfléchit vite.

"Ecoutez, grand Saint Pierre, j'aimerais renoncer à ce que vous me proposez et choisir l'Enfer, c'est possible ?

- Hum ! Pas très règlementaire, mais vous m'êtes sympathique : il faut remonter à la réception pour que vous me signiez une décharge spécifiant que vous renoncez à vos droits."

La formalité accomplie, le détenteur des clés installe son client. Ils redescendent l'escalier, la porte s'ouvre et là, changement de décor :  un feu... d'Enfer justement, des chaudrons d'huile bouillante où se tordent des malheureux que des démons cornus piquent de leur fourche. Le gars est atterré !

" Attendez, grand Saint Pierre, ce n'est pas pour ça que j'ai signé ! 

- Mon bon Monsieur, avec la profession que vous exerciez sur terre, ce n'est pas à vous que je vais apprendre ce qu'est un appartement-témoin !"

Le prof d’économie
C’est l’histoire d’un prof d’économie dans une université Anglaise qui avait la fâcheuse tendance de toujours raconter des blagues salaces et de faire des insinuations grivoises.

Lassées d’être toujours prises pour cible, un groupe d’étudiantes décida qu’à la moindre allusion à tendance sexuelle, elles se lèveraient et quitteraient l’amphi en signe de protestation. Néanmoins, un garçon ayant entendu les filles élaborer leur plan et voulant fayoter raconta tout au professeur.

Au cours suivant qui parlait de l’économie française, le professeur plaça judicieusement cette phrase: « Vous savez que malgré un taux de chômage élevé, la France a encore besoin de main d’œuvre… On sait, par exemple, qu’il y a une pénurie de prostituées à Paris… »

À ces mots, les filles ayant décidé la rébellion se regardèrent, opinèrent du chef et se levèrent toutes en même temps pour quitter la salle…Et le professeur, les observant d’un air innocent leur dit bien fort :
– Allons mesdemoiselles, inutile de vous presser ! Le prochain avion pour Paris ne décolle pas avant ce soir…

Un employé d'une grande entreprise prend le téléphone  et dit :

- Allô ma poule ! Lève ton joli petit cul, monte-moi un café et un croissant, et plus vite que ça ma belle !

A l'autre bout du téléphone, une voix très masculine  répond :

- Espèce de con, tu t'es trompé de numéro.

Tu sais à qui tu parles ? Au directeur général !

Alors l'employé lui dit :

- Et toi connard, tu sais à qui tu parles ?

Le directeur rétorque :

- Non.

Alors l'employé (soulagé) répond

- Ouf !!

Tous les 10 ans, d'anciens copains se retrouvent pour passer une bonne soirée ensemble.

> Au moment de fêter leurs 40 ans, ils se retrouvent et se demandent où passer cette soirée. 
> Au début ils n'arrivent pas à se mettre d' accord sur le lieu mais l'un d'eux propose :

"Allons au restaurant « Chez Pilou », la serveuse est vraiment jolie et porte toujours un chemisier avec un décolleté bien plongeant."
> Aussitôt dit, aussitôt fait.

> 10 ans plus tard, pour leurs 50 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent où passer la soirée mais l'un d'eux propose :
> > > > "Allons au restaurant « Chez Pilou », on y mange très bien et la carte des vins est excellente."
Aussitôt dit, aussitôt fait.

> 10 ans plus tard, quand ils fêtent leurs 60 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent comme d'habitude où passer la soirée et l'un d'eux propose: 
> "Allons au restaurant « Chez Pilou», c'est calme et non-fumeur."
Aussitôt dit, aussitôt fait.

> 10 ans plus tard, pour leurs 70 ans donc, ils se retrouvent et se demandent où passer la soirée et l'un d'eux propose :"Allons au restaurant « Chez Pilou », c'est bien adapté aux fauteuils roulants et il y a un ascenseur."
> Aussitôt dit, aussitôt fait.

> Dernièrement, ils fêtaient leurs 80 ans et se demandaient où aller. L'un d'eux proposa :
> "Allons au restaurant « Chez Pilou ».
> Et tous de répliquer : -

"Bonne idée, nous n'y sommes jamais allés !"

> Ne riez pas, c'est peut-être nous bientôt !

Un brave curé vosgien a gagné un week-end à la neige pour 2 personnes à Gérardmer...

- Il propose à Mère Cécile, la jeune et jolie supérieure du couvent Sainte-Marie-des- Anges de l'accompagner...

- Elle accepte.

Mais lorsqu'ils arrivent à l'hôtel elle constate avec effarement qu'il n'y a qu'une seule chambre de disponible et avec un grand lit.

 Pas moyen de faire autrement que de le partager...

- Elle est évidemment très gênée... et craint que son compagnon, qui a la réputation d'avoir déjà commis quelques "dérapages dans la luxure" ne succombe à nouveau.

 - Elle ouvre alors la fenêtre de la chambre, prend plusieurs poignées de neige sur le rebord, en garnit son sexe et en bourre aussi son slip, ceci afin de dissuader le chaud curé de passer à l'acte, le froid ayant la réputation de provoquer sur une partie précise de l'anatomie masculine un effet vasoconstricteur assez radical.

   - Elle se retourne vers le curé et reste interloquée par ce qu'elle voit ... Le curé est en train d'enrouler soigneusement un long chapelet autour de son sexe déjà en érection...

 - La soeur, choquée, lui demande : "Mais que faites-vous, mon Père ?

> - Et le curé lui répond : "Ma soeur, chez nous, dans les Vosges, quand il y a de la neige, on met les chaines"

Le homard
Dans un restaurant, un client s’étonne de se voir servir un homard avec une seule pince.
– Dans le vivier lui explique le serveur , quand ils se battent il arrive qu’un homard perde une pince.
– Dans ce cas répond le client apportez-moi le vainqueur.

C'était un sketch de Popeck lorsqu'il avait dîné chez Maxim's.

Drôles de vaches
Un citadin part en vacances à la campagne.

Un jour, il voit un troupeau de vaches, mais il est surpris qu’elles n’aient pas de cornes. Complètement fasciné par cette anomalie, il finit par aller voir le fermier d’à côté et lui demande :
– Dites mon brave, pourquoi ces vaches n’ont pas de cornes ?

Le fermier le regarde longuement, puis après une grande réflexion il lui répond :
– Ben en fait, y’a trois raisons qui font que les vaches è z’ont pas d’cornes.
– Ah bon !
– Oui ! La première, c’est qu’è naissent sans cornes… mais là, c’est pô l’cas. La deuxième, c’est qu’è s’battent et qu’è s’les cassent… mais là, c’est pô l’cas. Enfin, des fois, y’en à qui choppent une maladie le véto y dit que c’est la décalcification et les cornes, è tombent… mais là, c’est pô l’cas.
– Mais alors, pourquoi donc ces vaches n’ont pas de cornes, mon brave ?
– Ben en fait, si ces vaches è z’ont pô d’corne, c’est surtout pac’que c’est des chevaux……

Celle de Tartugue me rappelle celle-ci.

Un couple français tout ce qu'il y a de plus blanc voit avec bonheur l'arrivée de son premier enfant. Mais stupeur, le bébé est assez sombre de peau, pour ne pas dire qu'il est noir. Le mari téléphone le lendemain à sa mère qui habite assez loin et n'a pas pu encore venir.

" Alors, maman, il faut tout de même que je t'informe, ton petit-fils est noir.

- Attends ! On parle bien de l'enfant que tu as eu avec ta femme qui est blonde comme les blés et a de grands yeux bleus ? 

- Bien sûr, maman ! Mais elle m'a expliqué pourquoi. Tu sais que ses parents étaient en poste à Dakar, qu'elle y est née et y a passé sa petite enfance. Elle m'a dit qu'elle avait une nourrice sénégalaise et qu'en têtant son lait, elle a pris des gênes noirs qui sont ressortis sur notre fils. C'est bizarre, la génétique, hein maman ?

- Mais pas du tout, mon fils ! Toi, par exemple, je t'ai élevé au lait de vache. Eh bien, tu as des cornes !"

Une autre que j'avais racontée au principal de mon collège, un type extra avec qui j'avais de bonnes relations, et qui l'avait prise en rigolant franchement. Mais vous pouvez remplacer le gars par qui vous voulez, votre chef de service par exemple. 

Donc, un principal de collège part en Lozère passer des vacances vertes à la ferme. Mais au bout de trois jours, il commence à s'em... s'ennuyer velu. Il demande donc au brave fermier s'il pourrait participer aux tâches agricoles.

" Ecoutez, ça m'ennuie vraiment de vous demander ça, mais demain matin je dois aller vendre des veaux au marché de Laissac et ça m'arrangerait : le tracteur est en panne, il va falloir répandre à la main cinq tonnes de fumier sur le terrain d'un hectare que vous voyez là-bas avec la brouette et la fourche. Mais ne vous croyez pas obligé, ce n'est pas un boulot agréable !

- Non, c'est bien, ça me fera faire de l'exercice et je saurai ce qu'est votre vie quotidienne !"

Le paysan part avant l'aube, vend rapidement ses veaux et revient à dix heures : le travail est fait impeccablement !  Il félicite le principal qui lui répond :

" Bon, donnez-moi encore quelque chose à faire cet après-midi !

- Reposez-vous, mon bon Monsieur, si vous voulez, après la sieste, je vous prête une canne pour aller taquiner la fario dans le ruisseau en bas.

- Non, je veux vous aider, donnez-moi un boulot à faire !

- Alors, moins physique, hein ! Suivez-moi dans le hangar. Là, vous voyez, il y a cinq cents kilos de patates. Vous faites trois tas : les belles à gauche pour vendre, celles qui ont reçu un coup de pioche au milieu pour la semence, celles qui commencent à pourrir à droite pour les cochons. Je vous laisse, je vais essayer de réparer le tracteur !"

Le paysan revient trois heures plus tard : le tas n'a pas bougé, le principal est assis sur le tabouret, tenant une patate dans chaque main et s'interrogeant.

" Vous voyez, Monsieur, il faut vous ménager, vous n'êtes pas habitué ! Ce matin, vous m'avez répandu le fumier à une vitesse incroyable, mais là, vous devez être fatigué. Allez vous reposer !

- Non, ce n'est pas ça, mais je suis principal de collège, ne l'oubliez pas ! Pour remuer la merde, je suis un champion, mais quand il faut prendre une décision, ouh là ! C'est plus difficile !"

Il y a 16 heures, Zoréol a dit :

Une autre que j'avais racontée au principal de mon collège, un type extra avec qui j'avais de bonnes relations, et qui l'avait prise en rigolant franchement. Mais vous pouvez remplacer le gars par qui vous voulez, votre chef de service par exemple. 

Donc, un principal de collège part en Lozère passer des vacances vertes à la ferme. Mais au bout de trois jours, il commence à s'em... s'ennuyer velu. Il demande donc au brave fermier s'il pourrait participer aux tâches agricoles.

" Ecoutez, ça m'ennuie vraiment de vous demander ça, mais demain matin je dois aller vendre des veaux au marché de Laissac et ça m'arrangerait : le tracteur est en panne, il va falloir répandre à la main cinq tonnes de fumier sur le terrain d'un hectare que vous voyez là-bas avec la brouette et la fourche. Mais ne vous croyez pas obligé, ce n'est pas un boulot agréable !

- Non, c'est bien, ça me fera faire de l'exercice et je saurai ce qu'est votre vie quotidienne !"

Le paysan part avant l'aube, vend rapidement ses veaux et revient à dix heures : le travail est fait impeccablement !  Il félicite le principal qui lui répond :

" Bon, donnez-moi encore quelque chose à faire cet après-midi !

- Reposez-vous, mon bon Monsieur, si vous voulez, après la sieste, je vous prête une canne pour aller taquiner la fario dans le ruisseau en bas.

- Non, je veux vous aider, donnez-moi un boulot à faire !

- Alors, moins physique, hein ! Suivez-moi dans le hangar. Là, vous voyez, il y a cinq cents kilos de patates. Vous faites trois tas : les belles à gauche pour vendre, celles qui ont reçu un coup de pioche au milieu pour la semence, celles qui commencent à pourrir à droite pour les cochons. Je vous laisse, je vais essayer de réparer le tracteur !"

Le paysan revient trois heures plus tard : le tas n'a pas bougé, le principal est assis sur le tabouret, tenant une patate dans chaque main et s'interrogeant.

" Vous voyez, Monsieur, il faut vous ménager, vous n'êtes pas habitué ! Ce matin, vous m'avez répandu le fumier à une vitesse incroyable, mais là, vous devez être fatigué. Allez vous reposer !

- Non, ce n'est pas ça, mais je suis principal de collège, ne l'oubliez pas ! Pour remuer la merde, je suis un champion, mais quand il faut prendre une décision, ouh là ! C'est plus difficile !"

 

J'ai pas compris comment il a pu amener des faire l'aller retour Lozère - Laissac et être revenu à 10 heures  ? 

#leproblèmeestpaslà

Mais très simplement mon cher. 

Partant à 5 heures du mat' de chez lui près de la Canourgue, à 6 heures il avait déballé ses veaux à Laissac, à 9 heures il les avait vendus et à 10 heures il était de retour à la ferme. Mais ce n'est effectivement pas là qu'est l'histoire. 

Ah c'était La Canourgue ?

Moi je l'avais vu comme ça : 

Méthode pour cesser la drogue.
Deux dealers sont arrêtés et passent devant le juge.

Comme c’est la première arrestation, le juge leur propose un marché : S’ils réussissent à faire cesser la drogue à beaucoup de personnes, ils n’iront pas en prison.

Une semaine plus tard le juge demande au premier :
– Alors combien de personnes ?
– J’ai réussi à faire arrêter environ 15 personnes.
– C’est très bien et que fût votre méthode ?
– J’ai utilisé la méthode des 2 cercles, j’ai dessiné un très gros cercle, puis un tout petit et j’ai dit en montrant le gros cercle : « Tu vois ça c’est ton cerveau avant la drogue, puis en montrant le petit, ça c’est ton cerveau après la drogue ».
– C’est très bien, vous n’irez pas en prison.

Le deuxième passe devant le juge :
– Et vous alors combien de personnes ?
– Moi, j’ai réussi à faire arrêter environ 450 personnes.
– Mais c’est formidable, vous n’irez pas en prison. Qu’elle méthode avez-vous pris ?
– J’ai aussi pris la méthode des 2 cercles, sauf que moi j’ai commencé par le petit cercle. Je l’ai montré en disant : « tu vois ! ça c’est ton trou du cul avant d’aller en prison….. »

Le 15/11/2018 à 14:58, Zoréol a dit :

Des éducateurs en banlieue difficile se retrouvent pour échanger leurs expériences. L'un d'eux, en particulier, affiche une belle réussite avec une baisse importante du nombre de petits dealers dans son secteur. Les autres cherchent à comprendre.

"Mais comment tu fais ?

- C'est simple, j'entre dans la salle, je ne dis rien, je vais au tableau et je dessine deux cercles : un comme une pièce d'un euro, l'autre comme une orange. Puis je leur demande de réfléchir et je sors boire un café. Quand je reviens : "Vous n'avez pas trouvé ? A gauche, c'est le trou de balle d'un mec normal, à droite le même après un an de taule !"

Tu approuverais donc sans lire ? 

Remarque, c'est aussi valable pour Gégé qui a la mémoire courte !