L’élu
On fêtait le départ en retraite du Père Gauthier par un souper d’adieu offert à la paroisse.
Un homme politique, membre du comité d’organisation, était invité et devait faire un bref discours. Comme il tardait à arriver, le prêtre décida de prononcer quelques paroles pour passer le temps :
– La première impression que j’ai eu de notre paroisse je l’ai eue avec la première confession que j’ai eu à écouter. J’ai alors pensé que l’évêque m’avait envoyé dans un lieu terrible lorsque que cette première personne à confesser m’avoua avoir volé un téléviseur, volé de l’argent à son père, volé aussi l’entreprise pour laquelle elle travaillait, sans parler de ses relations sexuelles avec l’épouse de son patron. Parfois également il s’adonnait au trafic de stupéfiants.
J’étais atterré, mais avec le temps, je rencontrais d’autres gens et je m’aperçus que tout le monde n’était pas comme ça. J’ai alors vu une paroisse remplie de gens responsables et ayant la foi. Et c’est pourquoi j’ai vécu les 25 années les plus merveilleuses de mon sacerdoce.
A cet instant arrive l’élu qui prend la parole en s’excusant de son retard :
– Jamais je n’oublierai le premier jour de l’arrivée du Père dans notre paroisse. En fait, figurez-vous que j’ai eu l’honneur d’être le premier à me confesser à lui !…
Il y a 11 heures, tartugue a dit :L’élu
A cet instant arrive l’élu qui prend la parole en s’excusant de son retard :
Excellent...
Barbie
Un monsieur entre dans un magasin de jouets :
Bonjour, madame. Je voudrais une poupée Barbie pour ma petite fille. Vous avez ça ?
Monsieur, nous avons toutes les poupées Barbie : Barbie à la plage, Barbie au ski, Barbie infirmière, Barbie en soirée, Barbie informaticienne, Barbie mariée, Barbie divorcée…
Et c’est combien ?
Vingt Euros.
Je sais que ma petite fille en a déjà plusieurs, dit le monsieur, mais je suis sûr qu’elle n’a pas Barbie divorcée, alors je vais prendre celle-là. Voici vingt euros.
Celle là c’est cinquante euros.
Vous ne m’avez pas dit vingt ?
Pour les autres, oui, mais Barbie divorcée c’est cinquante euros.
Pourquoi ?
Ah ! Parce que Barbie divorcée, elle a la maison de Ken, la voiture de Ken, les meubles de Ken…
Le flacon
Un septuagénaire arrive chez le médecin avec sa jeune femme.
Docteur, dit-il, nous aimerions avoir un enfant et je voudrais savoir si, à mon âge, je peux procréer.
C’est très facile, dit le médecin. Voilà un flacon, allez dans la petite pièce à côté, et ramenez-moi un échantillon de sperme que je ferai analyser.
Le couple va dans la pièce et ressort dix minutes plus tard avec le flacon vide.
Docteur, je suis désolé, dit le vieil homme. J’ai essayé avec la main droite, avec la main gauche, avec les deux mains, impossible !
Ma femme a voulu m’aider, elle a essayé avec la main droite, la main gauche, les deux mains, même entre les dents, rien à faire, on a pas réussi à dévisser le flacon !
Une bonne journée
Chéri, dit un soir une femme à son mari, tous les jours quand tu rentres du bureau je te demande comment ça s’est passé ta journée et je t’écoute gentiment me raconter tous les détails.
Moi pendant ce temps-là, je me suis occupé des gosses, des courses, du ménage, des repas et tu ne me demandes jamais comment ça s’est passé.
Excuse-moi, dit le mari. Alors, comment s’est passé ta journée ?
Horrible ! Je t’en prie, ne m’en parle pas !
Logique féminine...
Le mouton est un animal à poils laineux. A poils laineux ? A poil les nœuds ! A poils les nœuds !
Un homme va chez le médecin.
Docteur, ça ne va pas bien. Lorsque j’appuie sur mon cœur, j’ai mal. Quand je touche mon foie, J’ai très mal, et quand je tâte mon ventre, j’ai très mal aussi.
Vous avez une idée de ce que je peux avoir ?
Oui, monsieur, vous avez le doigt cassé.
Ciel mon mari !
Une femme et son amant sont en train de se payer du bon temps dans un appartement lorsque quelqu’un se met à tambouriner sauvagement à la porte.
– Ça alors c’est mon mari, s’écrie la femme terrifiée. Vite, vite, enfuis-toi par la fenêtre !
– Mais enfin chérie, tu es folle ? répond le gars. On est au treizième étage !
– Dépêche-toi de sauter, crie la femme, ce n’est pas le moment d’être superstitieux !
Le sermon du ver
Un curé veut illustrer son sermon à la messe ce dimanche, pour cela, il met quatre vers de terre dans quatre flacons :
le premier ver dans… un flacon d’alcool,
le second dans un flacon plein de fumée de cigarette,
le troisième dans un flacon de sperme,
enfin le dernier, dans un flacon d’eau bien propre.
À la fin de son sermon, le curé donne les résultats de l’expérience :
Le ver dans le flacon d’alcool est mort.
Le second, dans le flacon plein de fumée de cigarette, est mort.
Le troisième, dans le flacon de sperme, est mort.
Le dernier, dans le flacon d’eau bien propre, a survécu.
Le curé demande alors à l’assemblée : « Quels enseignements pouvons-nous retirer de cette démonstration ? »
On entend alors la voix d’une petite vieille du fond de l’église : » tant qu’on boit, qu’on fume et qu’on baise, on n’aura pas de vers ! «
Le bonheur est dans le pré
Deux amis qui ont un pré en commun achètent chacun un cheval à la foire.
Comment va-t-on les reconnaître quand ils seront dans le pré ? dit l’un.
Tu n’as qu’à couper la queue du tien…
Oh non, ce serait affreux ! Mais j’ai une idée : tu n’as qu’à couper le haut des oreilles du tien…
Non, ça lui ferait mal ! Et si on les marquait au fer avec nos initiales ?
Ah non, ils ont une robe magnifique, ce serait dommage de l’abîmer !
Bon, puisque c’est ça, tu prends le noir et moi je prends le blanc…
Sélection naturelle
Un troupeau de moutons ne peut se déplacer qu’à la vitesse du mouton le plus lent.
Quand le troupeau est pourchassé, ce sont les plus lents et les plus faibles qui sont attaqués en premier.
Cette sélection naturelle est bonne pour le troupeau en général, parce que la vitesse du troupeau augmente à mesure que les plus lents et les plus faibles sont éliminés.
De la même façon, le cerveau humain peut fonctionner plus vite sans ses cellules les plus lentes.
Comme on le sait aujourd’hui, la consommation d’alcool détruit les cellules du cerveau.
Naturellement ce sont les cellules les plus les lentes et les plus faibles qui sont détruites en premier.
On peut donc en déduire que la consommation d’alcool élimine les cellules les plus faibles, rendant ainsi notre cerveau de plus en plus performant.
Ce qui explique pourquoi on se sent toujours un peu plus intelligent après 4 ou 5 apéros !!!
Robert et Louis, avocats …
Au bureau, Robert, avocat, demande à son ami et confrère :
– Louis, j’ai une liaison avec la femme du juge et nous devons nous retrouver en fin d’après-midi pour… tu sais quoi…
– Peux-tu me rendre service et le retenir à la cour une heure de plus après notre plaidoirie à 16 h 00 ?
Louis, un peu ennuyé par cette demande, et comme Robert est aussi son ami de longue date, finit par accepter.
Après le procès, Louis engage donc la conversation avec le juge et lui pose plein de courtes questions banales et ridicules, pour l’occuper.
Au bout d’un certain temps, le juge devient suspicieux et finit par demander à Louis où il veut au juste en venir avec toutes ses questions sans intérêt.
Alors, pris de remords et de culpabilité, Louis finit par lui avouer !
– Voilà monsieur le juge, mon confrère est en ce moment en train de faire l’amour avec votre femme, qui serait sa maîtresse, et il m’a demandé de vous tenir occupé pendant une heure.
Le juge sourit et posant fraternellement sa main sur l’épaule de Louis, lui dit :
– À ta place, mon cher Louis, je me dépêcherais de rentrer à la maison. Mon épouse est décédée depuis plus de deux ans !!!
Le contrôle routier
Sur une route, les gendarmes arrêtent un automobiliste dont la conduite leur paraît bizarre.
Veuillez souffler dans le ballon, monsieur.
Impossible ! je suis asthmatique…
Dans ce cas nous allons vous conduire à l’antenne médicale là-bas et on va vous faire une prise de sang.
Impossible ! Je suis hémophile…
Si c’est ça, on fera une simple analyse d’urine.
Impossible ! Je suis diabétique, ça déséquilibre mon taux de sucre…
Bon. Alors, descendez de la voiture et marchez bien droit le long de la ligne blanche.
Impossible !
Et pourquoi ?
Parce que je suis trop bourré !
La fête annuelle
Le lendemain de la fête annuelle de l’usine, le patron convoque un de ses cadres.
Dites-moi, Lamblin, il paraît que vous avez bu comme un trou hier soir. Et que non seulement vous étiez ivre, mais qu’en plus vous vous êtes exhibé complètement nu dans la cour de l’usine, devant tout le personnel, en promenant un autre homme nu dans une brouette.
C’est vrai tout ça ?
Vous devriez le savoir, patron. C’est vous qui étiez dans la brouette…
Les trois enveloppes
Un Chef de service ayant atteint son niveau « d’incompétence » a été licencié et remplacé par un jeune fraîchement diplômé et ayant peu d’expérience.
Lors de la passation de consignes, le sortant confie trois enveloppes en guise de recommandations numérotées de 1 à 3 (à n’ouvrir qu’en cas d’absolue nécessité) !
Le Jeune prenant à bras le corps ses nouvelles fonctions depuis déjà deux mois, bute contre certaines réticences de ses collègues et ne trouve pas de parade !
Il se souvient des trois enveloppes et ouvre l’enveloppe n°1 où il est écrit de façon laconique : « Mets tout sur mon dos ».
Le Jeune commence à mettre sur le dos de son prédécesseur toutes les failles organisationnelles et ne cesse à tout bout de champ de critiquer la gestion antérieure, cause de tous les problèmes !
Deux autres mois sont passés et toujours rien de nouveau de la part de ce jeune en matière d’amélioration des conditions de travail.
Il reçoit un avertissement de la Direction pour apporter de nouvelles améliorations.
Il ouvre l’enveloppe n°2 dans laquelle il est recommandé de « Simuler une nouvelle réorganisation ».
Il fait valoir l’idée d’une refonte de l’organisation qui nécessitera au moins trois mois … Proposition acceptée !
Trois mois après … aucune amélioration !
Il ouvre l’enveloppe n°3 en espérant trouver la solution finale et là est écrit, … « Prépare trois enveloppes ».
Deux amis d’enfance
Deux amis d’enfance ont évolué de façon diamétralement opposée.
Le premier, sérieux, appliqué, travailleur, est devenu cadre dans une grande société.
Le second, rêveur, insouciant, fantaisiste, est devenu clochard.
Chaque année ils se retrouvent à la fête des anciens de leur école, et régulièrement le cadre demande à son copain :
Alors, qu’est-ce que tu fais ?
Rien. Je bois…
Tu crois que c’est une vie d’habiter sous un pont et de boire du vin rouge toute la journée ? Mets-toi au travail ! Regarde-moi, je suis habillé convenablement, j’ai une voiture que j’espère changer bientôt, un appartement que je paye à crédit…
Et chaque année, le même refrain :
Qu’est-ce que tu fais ?
Rien. Je bois…
Et voilà qu’au bout de quinze ans, à la réunion des anciens, arrive une grosse Mercedes conduite par un chauffeur. Et qui en descend ? Le clochard, méconnaissable, magnifique, vêtu comme un lord.
Bouche bée, son copain s’exclame :
Bravo ! Tu t’es mis au travail !
Non, fait l’autre. J’ai rapporté les bouteilles consignées…