La chambre d’hôtel
Dans une petite ville de province, un représentant de commerce avait décidé de faire étape pour la nuit.
Malheureusement pour lui, il n’y avait qu’un seul hôtel, et toutes les chambres étaient réservées.
Le représentant insiste alors auprès de l’aubergiste:
– Vous devez me trouver une place pour dormir, même un lit n’importe où, je suis complètement vanné !
L’aubergiste lui répond:
– Ben, j’ai bien une chambre avec deux lit qui n’est occupée que par une personne… Et je suis sûr que cette personne serait ravie de partager sa chambre ainsi que le prix de sa chambre avec vous… Mais pour tout vous dire, cet homme est un ronfleur de la pire espèce. à tel point que ses voisins des chambres à côté viennent se plaindre ici tous les matins. Bref, c’est vous qui voyez.
– Pas de problème, je prends la chambre. Je suis trop crevé !
L’aubergiste fait faire connaissance aux deux locataires de la chambre et les laisse dîner. Le lendemain matin, le représentant descend prendre le petit déjeuner, et contrairement à ce que pensait l’aubergiste, il a l’œil vif et semble en pleine forme et bien reposé. L’aubergiste lui demande:
– Vous avez réussi à dormir?
– Oui sans problème
– Les ronflements ne vous ont pas gêné?
– Pas du tout, il n’a pas ronflé de la nuit
– Comment cela?
– Eh bien, l’homme était déjà au lit quand je suis rentré dans la chambre. Alors je me suis approché de son lit et j’ai déposé un baiser sur ses fesses en disant « Bonne nuit ma beauté »… Et le gars a passé le reste de la nuit assis sur son lit à me regarder.
Un coin (presque) tranquille
Après avoir roulé toute la nuit, un conducteur qui tombe de sommeil s’arrête sur un parking à l’entrée d’une ville pour dormir. Mais ce qu’il ignore, c’est que ce parking est le passage obligé pour tous les joggers qui veulent gagner le bois voisin.
Il vient juste de s’endormir quand un type en survêtement frappe à la vitre de la voiture.
Vous auriez l’heure ?
Il est sept heures…
L’homme se rendort, mais un quart d’heure plus tard on frappe de nouveau à la vitre.
Vous auriez l’heure ?
Sept heures et quart…
A sept heures et demi, ça recommence. Alors le malheureux, épuisé, met sur son pare-brise l’écriteau suivant :
JE N’AI PAS L’HEURE
Un quart d’heure après, un jogger frappe à la vitre et lui dit :
Il est huit heures moins le quart…
Le capitaine d’un navire corsaire de Louis XIV vient d’enrôler un mousse. Le jeune garçon est très impressionné par cet énorme gaillard qui a un bandeau noir sur l’œil et un crochet à la place de la main droite.
Tu regardes ma main, petit gars , rugit le vieux marin. Je l’ai perdue au large de La Rochelle, dans cette fameuse bataille contre l’Anglais ! Alors on m’en a mis une en fer…
Et votre œil, c’était dans la même bataille ? demande le mousse admiratif.
Non, mon gars, c’était trois semaines plus tard, au large de Brest. Une saloperie de mouette m’a lâché une fiente en plein dans l’œil ! J’ai complètement oublié que j’avais un crochet, et j’ai voulu enlever la crotte avec mon doigt…
Le tour du zinc
Un client entre dans une brasserie dotée d’un immense zinc, s’accoude au milieu et commande un demi.
Je vous dois combien ?
3 euros, fait le garçon.
Le type sort trois pièces de 1 euro, pose la première devant lui, va tout au bout à gauche poser la seconde, puis tout au bout à droite poser la troisième.
Sans broncher le garçon fait tout le zinc pour récupérer ses 3 euros.
Le lendemain, même manège : une pièce au milieu, une au bout à gauche, une au bout à droite. Et le barman fait tout le zinc pour récupérer ses 3 euros.
Chaque jour c’est la même chose. Mais voilà qu’un matin, le type paye avec un billet de cinq euros. Alors le garçon sort deux pièces de 1 euros de la caisse pour la monnaie, et avec un sourire triomphant, il va en poser une à un bout du zinc, et la seconde à l’autre bout.
Et quand il revient au milieu, le type sort 1 euro de sa poche et dit en le posant devant lui :
Réflexion faite, remettez-moi ça…
Deux blondes au paradis
Deux blondes attendent aux portes du paradis après leur mort.
La première demande à l’autre :
Comment es-tu morte ?
Je suis morte gelée.
Ah, c’est horrible! Comment c’est de mourir gelée ?
Tu trembles, tu as mal aux doigts et aux orteils. Mais après un certain temps, tu deviens très calme et tu finis par partir doucement, comme si tu t’endormais… Et toi, comment es-tu morte ?
Ah moi, j’ai eu une crise cardiaque. Je soupçonnais mon mari de me tromper, alors un jour j’ai décidé d’en avoir le cœur net. Je suis rentrée à la maison en plein après-midi et j’ai trouvé mon mari en train de regarder la télé. J’ai couru dans la chambre à coucher et je n’ai trouvé personne, puis au sous-sol à toute vitesse, personne ne s’y cachait non plus. Je suis montée au deuxième étage à toute allure, mais encore personne. Je suis finalement montée en trombe au grenier, et avant même d’y parvenir, j’ai fait une crise cardiaque et je suis morte.
La deuxième blonde dit alors :
Quel malheur ! Si seulement tu avais vérifié dans le congélateur, nous serions toutes les deux vivantes !
14 juillet
Défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées à Paris, le général de L’ONU Mac Allister inspecte les troupes en compagnie du président de la république.
Il commence par les troupes américaines. Les GI sont alignés, au garde à vous. Le général salue les hommes et s’approche d’un soldat. Il défouraille le colt du soldat et lui met un grand coup de crosse sur la tempe. Le soldat reste stoïque, toujours au garde à vous.
Mac Allister lui demande :
Boy, as-tu ressenti quelque chose ?
No ! sorry my général !
Pourquoi n’as-tu rien ressenti ?
Parce que les GI ne ressentent pas la douleur ! Général !
Il inspecte alors les troupes russes situées à côté des américains.
Il fixe un soldat, lui retire sa Kalachnikov et lui assène un grand coup dans le ventre.
Tout comme le GI, le russe reste figé.
Camarade, as-tu ressenti quelque chose ?
Niet camarade Mac Allister !
Et pourquoi n’as-tu rien ressenti camarade soldat ?
Parce que grande Russie apprendre aux soldats à ne pas avoir souffrance !
Le général continue son inspection et s’approche alors du régiment français.
Les rangs sont assez désorganisés et l’ambiance semble assez décontractée.
Il s’approche du soldat Dupont, saisit son fusil à baïonnette et lui plante la lame dans le pied. Le soldat reste immobile et sans voix.
As-tu ressenti quelque chose soldat ?
Non ! Mon général !
Et pourquoi n’as-tu rien ressenti ?
Parce que je chausse du 38 et ces abrutis de fainéants de fourriers à l’intendance m’ont refilé du 43 !
Dilemme
Le téléphone sonne :
Je voudrais parler à Mme Dupond.
C’est moi.
Ici le docteur Durand du laboratoire médical. Nous avons reçu deux échantillons au nom de M. Dupond, mais nous ne savons pas lequel est celui de votre mari. Le résultat est soit très mauvais soit terrible.
Que voulez-vous dire ,
Eh bien, le premier Dupond est positif à l’Alzheimer et l’autre à la syphilis. Et nous ne savons pas lequel est votre mari.
C’est affreux ! Ne devrait-on pas refaire les tests ?
Normalement oui, mais l’assurance maladie ne paie pas deux fois pour les mêmes tests.
Alors, que me conseillez-vous ?
On vous suggère de déposer votre mari au centre-ville. S’il retrouve son chemin vers la maison, ne couchez pas avec !
*Un enfant demande a son papa :« explique moi ce qu'est la politique ».*
*Le papa répond : C'est très simple.*
*Je vais te donner un exemple : notre famille.* *C'est moi qui rapporte de l'argent, je suis donc "le capitaliste".* *Ta maman gère cet argent, elle est donc "le gouvernement".*
*Grand père vérifie si tout se passe bien : il est donc "le parlement".*
*La bonne est "la classe ouvrière".*
*Nous n'avons qu'un seul but : ton bien être , tu es donc "le peuple".*
*Ton petit frère est encore dans le berceau, nous dirons qu'il est "l'avenir".*
*L'enfant a bien écouté.*
*La nuit tombe chacun s'en va au lit.* *L'enfant dans son sommeil entend son petit frère qui pleure.* *Il se lève et va voir*. *En fait, le petit frère a fait caca dans sa couche.* *Que faire??* *Il va dans la chambre de ses parents et s'aperçoit que la maman est seule dans le lit et dort.* *Ne voulant pas la réveiller, il va dans la chambre de la bonne et là il trouve son papa dans le lit de celle-ci.* *Mais trop occupé à profiter de la jeune fille, le père ne voit pas son fils.* *En sortant de cette chambre, l'enfant croise le grand père qui lui chuchote de ne rien dire.* *Troublé par les évènements, l'enfant va se recoucher en laissant le bébé dans sa merde.* *Le lendemain le papa qui ne se doute de rien demande : « Alors mon fils, tu a réfléchi et compris ce qu'est la politique ?»*
*Le garçon répond : « oui papa ta définition est claire :*
*le capitalisme profite de la classe ouvrière, pendant que le* *gouvernement dort et le parlement regarde sans rien dire.* *Tout le monde se fout de ce que pense le peuple et l'avenir est dans la merde
Rien à déclarer
A la frontière franco-belge, une Audi Quattro passe la douane côté français. Or, il y a cinq passagers dans la voiture.
Le douanier veut verbaliser :
Vous êtes cinq dans une Audi Quattro. Ce n’est pas réglementaire !
Mais attendez, dit la chauffeur. Audi Quattro, c’est la marque de la voiture. Cela n’a pas de rapport avec le nombre de places.
Je vous dis que ce n’est pas réglementaire…
Le douanier maintient sa position et le chauffeur finit par s’énerver :
Mais enfin, c’est idiot ! Appelez votre chef, vous verrez !
Il ne peut pas venir. Il est occupé avec deux types dans une Fiat Uno !
Un jeunot au volant d’un 4×4 Toyota customisée voit une Rolls se ranger à son côté à un feu tricolore. Le gars dans le custom demande au chauffeur de la Rolls :
– Il y a le téléphone dans la voiture ?
– Oui, bien sûr !
– Et le fax ?
– Nous avons ça aussi !
– La télé ?
– Oui, on la regarde rarement !
– Est-ce que ça peut faire couchette pour deux personnes à l’arrière ?
… Et là, le feu venant de passer au vert, le gars en Toyota démarre en trombe, laissant le chauffeur de la Rolls sur place, blême d’impuissance.
Dans l’après-midi, le proprio de la Rolls prend rendez-vous avec le garage pour une installation de couchettes à l’arrière de sa voiture.
Une semaine plus tard, il aperçoit le custom 4×4 garé sur un trottoir, les vitres arrières couvertes de buée et de la vapeur s’échappant à l’extérieur. Le gars à la Rolls s’arrête alors et vient frapper à la vitre :
– Hé là-dedans ! …
Après plusieurs ‘toc toc’, le conducteur du 4×4 sort la tête de l’habitacle, et le chauffeur de Rolls lui dit alors :
– Dites, moi aussi j’ai une couchette pour deux personnes à l’arrière !
La réponse du gars au 4×4:
– Et c’est pour me dire ça que tu me fais sortir de la douche ?
Un homme téléphone à un de ses amis. Au bout du fil, une toute petite voix répond :
Allô…
Bonjour, fait l’homme. Tu peux me passer ton papa ?
Papa est occupé… dit le petit garçon.
Alors passe moi ta maman !
Maman est occupée…
Il n’y a personne d’autre dans la maison ?
Si, la police…
Ah bon ? Alors, passe-moi un policier !
Ils sont tous occupés… Il y a aussi les pompiers…
Les pompiers ? Eh bien, passe-moi un pompier !
Ils sont tous occupés…
Qu’est-ce que ça veut dire ? Ton père est occupé, ta mère est occupée, la police, les pompiers sont là, ils sont tous occupés ! Mais qu’est-ce qu’ils font ?
Et le petit garçon murmure tout doucement :
Ils me cherchent…
il y a 27 minutes, tartugue a dit :Un homme téléphone à un de ses amis. Au bout du fil, une toute petite voix répond :
Allô…
Bonjour, fait l’homme. Tu peux me passer ton papa ?
Papa est occupé… dit le petit garçon.
Alors passe moi ta maman !
Maman est occupée…
Il n’y a personne d’autre dans la maison ?
Si, la police…
Ah bon ? Alors, passe-moi un policier !
Ils sont tous occupés… Il y a aussi les pompiers…
Les pompiers ? Eh bien, passe-moi un pompier !
Ils sont tous occupés…
Qu’est-ce que ça veut dire ? Ton père est occupé, ta mère est occupée, la police, les pompiers sont là, ils sont tous occupés ! Mais qu’est-ce qu’ils font ?
Et le petit garçon murmure tout doucement :
Ils me cherchent…
Sacré Émile
il y a 13 minutes, Rick a dit :Sacré Émile
J'y ai pensé, je voulais même modifier la blague ...
Il y a 12 heures, Rick a dit :Sacré Émile
Tu pousses le bouchon un peu trop loin Maurice Adrien
Deux turfistes discutent.
Dis-moi, demande le premier, comment fais-tu pour toucher aussi souvent le tiercé ? T’as une combine ? T’es de mèche avec un entraîneur ?
Comme tu es mon ami, je vais te donner le tuyau, dit l’autre. tu es croyant ?
Oui… Enfin, comme tout le monde.
Alors dimanche matin, tu vas aller à la messe. Tu vas prier très fort, et au moment de la communion, tu demanderas à Dieu de te souffler la bonne combinaison. Crois-moi, ça marche…
Le lundi suivant, dès qu’il l’aperçoit, son copain lui dit :
Ah, je te retiens ! Hier, pour le tiercé de Longchamp, je suis allé à la messe comme tu me l’as dit, j’ai prié, et à la communion, Dieu m’a soufflé le 7, le 15 et le 3. Le 7 a fini cinquième, le 15 douzième, et le 3 dernier !
Je ne comprends pas… fait l’autre. A quelle église es-tu allé ?
A Saint-Philippe-du-Roule…
Imbécile ! Saint-Philippe-du-Roule, c’est pour le trot attelé !
Ma femme et moi avions décidé de partir en week-end à la plage et de descendre au même hôtel qu’il y a 10 ans, lors de notre lune de miel.
Mais, au dernier moment, à cause d’un problème au travail, ma femme n’a pas pu prendre son jeudi. Nous avons donc décidé que je prendrais l’avion le jeudi, et ma femme le lendemain.
Arrivé comme prévu et après avoir loué la chambre d’hôtel, je me rend compte que dans la chambre, il y a un ordinateur avec connexion Internet. Je décide alors d’envoyer un courriel à ma femme. Mais je me suis trompé en écrivant l’adresse.
C’est ainsi qu’à Perpignan, une veuve qui venait de rentrer des funérailles de son mari mort d’une crise cardiaque, reçoit mon e-mail.
La veuve consulte sa boîte aux lettres électronique pour voir s’il n’y a pas de messages de la famille ou des amis, et s’évanouit à la lecture du premier d’entre-eux. Son fils entre dans la chambre et trouve sa mère allongée sur le sol, sans connaissance, au pied de l’ordinateur.
Sur l’écran, on pouvait lire le message suivant :
» A mon épouse bien-aimée. Je suis bien arrivé. Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et de cette manière. Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages à ceux que tu aimes. Je viens d’arriver et j’ai vérifié que tout était prêt pour ton arrivée, demain vendredi. J’ai hâte de te revoir. J’espère que ton voyage se passera aussi bien que s’est passé le mien.
PS : Il n’est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtements : il fait une chaleur d’enfer ici ! «
Une belle-mère décide de savoir si ses trois gendres l’aiment ou au moins l’apprécient…
Le lendemain en se promenant au bord du fleuve avec son premier gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer, le gendre sans hésitation plonge et sauve sa belle-mère.
Le lendemain, devant la maison, il trouve une voiture neuve, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare brise :
» Merci de la part de ta belle-mère qui t’aime. «
Elle entreprend le même scénario avec le deuxième gendre, celui-ci plonge et sauve sa belle-mère. Lui aussi reçoit une voiture, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare brise :
» Merci de la part de ta belle-mère qui t’aime. «
Même scénario avec le troisième gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer et lui regarde sa belle-mère se noyer en se disant : » Depuis le temps que j’attendais ça. «
Le lendemain, il voit une Porsche toute neuve devant sa maison avec un petit mot : » Merci de la part de ton beau-père qui t’aime. «
Bonjour mon cœur, c’est papa au téléphone… Tu peux me passer maman ?
Ze peux pas, elle est à l’étaze dans sa chambre avec oncle David.
Bref silence.
Mais ma chérie, tu n’as pas d’oncle David.
Si, si, il est dans la chambre avec maman !
Bien, OK, bon, alors, voila ce que je veux que tu fasses : pose le téléphone, cours en haut, frappe à la porte de la chambre, et crie à maman et oncle David que la voiture de Papa vient de rentrer dans le garage…
D’accord papa…
Quelques secondes plus tard, la fillette, affolée et en pleurs, revient au téléphone.
Z’ai fait ce que tu m’as dit, papa.
Qu’est-ce qui s’est passé ?
Ben, maman s’est mise à crier, à sauter hors du lit toute nue, elle s’est mise à courir partout, elle a glissé sur le tapis, elle est tombée sur le coin du lit. Il y a plein de sang et elle ne bouze plus, ze crois qu’elle est morte !
Oh mon Dieu ! mon Dieu ! mon Dieu !… Et oncle David ?
Ben, il a sauté hors du lit tout nu, s’est mis à courir partout, puis il a sauté par la fenêtre de derrière dans la piscine… Mais il a oublié que le week-end dernier, tu avais vidé la piscine pour la nettoyer, et maintenant ze pense qu’il est mort lui aussi…
Long silence.
Puis papa dit :
La piscine ? Quelle piscine ? Je ne suis pas au 02 54 47 47 01 ?
Donald Trump meurt et se retrouve par hasard à l’entrée du paradis.
Il est très surpris d’y voir toutes sortes d’horloge au fonctionnement bizarre. Sous chacune, un nom d’homme politique célèbre.
Il interroge Saint-Pierre :
Dis-moi, à quoi servent ces horloges ?
Elles avancent d’un quart d’heure chaque fois que la personne dit une connerie.
Tout d’un coup l’horloge de Macron fait un bond d’un quart d’heure.
Trump cherche alors sa propre horloge, mais ne la trouve pas.
Dis-moi, Saint-Pierre, je ne vois pas mon horloge…
La tienne, Donald ? Elle est dans mon bureau, elle me sert de ventilateur !