Entre le Touquet et le Lyon-Charbonnières, deuxième manche du CFR asphalte, Nicolas Ciamin retrouvera le peloton du mondial avec une participation attendue au Tour de Corse au volant d’une Hyundai i20 R5 du team Sarrazin Motorsport.
« Avant le Tour de Corse, je vais pouvoir essayer la voiture la semaine prochaine près de chez moi, puis j’enchaînerai avec le rallye du Pays de Grasse. J’ai vraiment hâte de rouler avec cette Hyundai i20 R5, j’ai pu en apercevoir quelques unes au Touquet ! C’est le programme le plus important que je dispose depuis mes débuts, c’est forcément très excitant.
A Grasse, le but sera d’apprendre l’auto. On ne connaît pas encore les engagés mais si l’on peut jouer la victoire, c’est tant mieux.
Pour la Corse, je ne sais vraiment pas où me situer pour l’instant. Si je signe quelques chronos dans le top 5 voire dans le top 3, je pense que ce serait déjà très bien. Il y a un très beau plateau et on va essayer de s’illustrer. »
Par Julien R
Le passage de l'année pour ce jeune britannique de 23 ans, Philip Allen. Il est le fils du regretté et talentueux Glenn Allen.
Ouais !
Ben il peut aller brûler un cierge ! Passage couillu mais figure pas voulue. ..
plus souvent aussi ?
Après Rovanperä junior , après Solberg junior et bien d'autres encore , dans la famille Grönholm, je demande , le fils ...
Nicolas :
6 janvier 2019
Âgé de 22 ans, Niclas Grönholm, fils du double champion du monde des rallyes, va faire ses débuts en rallye à la fin du mois.
Engagé à l’Arctic Rally les 24 et 25 janvier prochains, le pilote finlandais va évoluer au volant d’une Skoda Fabia R5 et sera navigué par Antti Linnaketo, copilote de Jari Huttunen lors des quatre dernières saisons.
Encore engagé cette année en championnat du monde de rallycross, Niclas Grönholm compte bien profiter de cette expérience pour parfaire son pilotage.
« Je prends ça comme un exercice pour le rallycross, car le rallye procure une bonne sensation pour toutes sortes de pilotage. Le plus gros défi, bien sûr, est de rester attentif assez longtemps et de mettre des notes précises sur le carnet. Heureusement, Antti, mon copilote, les corrigera si les notes comportent des erreurs. »
Comme tout débutant, et malgré les conseils avisés de son père, Nicolas veut avant tout engranger les kilomètres pour cette première.
« L’objectif sera de piloter pour rester sur la route et parcourir autant de kilomètres que possible. Que ce soit dans l’i20 ou la Fabia, cela ne change rien dans cette expérience. C’est une bonne idée de disputer ce premier rallye, puis d’évaluer l’expérience de plus près.
Les essais se sont bien passés. Je sais que ce ne sera pas facile, mais l’important est d’aller au rallye et de s’amuser sur les routes enneigées. »
Tu penseras à modifier le titre dans quelques années si jamais ...
Valentine te remercie par avance
Fait
T'as raison , j'aime bien anticiper .
Au Rally Estonia, Oliver Solberg a fait un super temps au volant de sa Polo R5 au milieu des WRC dans les deux premières spéciales !
EDIT : Malgré une douleur dans le dos...
Après le rallye de la Plaine et celui d’Allemagne, Nicolas Ciamin retrouvera les routes du championnat de France. Au Mont-Blanc, début septembre. Photo VM /Eric THIEBAUT
On a beau avoir déjà sillonné l’Europe et avoir disputé des monuments comme le Monte Carlo, le Tour de Corse ou le rallye de Finlande. Une victoire reste une victoire. Alors bien sûr, en hissant sa Polo sur le podium d’arrivée du rallye de La Plaine, Nicolas Ciamin n’a pas sauté partout. « Mais gagner, cela ne m’arrive pas si souvent, a rappelé d’emblée le pilote de 21 ans. C’est donc toujours appréciable. » Le dauphin de Yohan Rossel au classement provisoire du championnat de France avait d’autant plus le triomphe modeste qu’il s’est contenté de rouler « à 80 %. »
Dans trois semaines, il en sera tout autrement en Allemagne face aux meilleures WRC2 mondiales. Au moins, grâce à sa virée mirecurtienne, Nicolas Ciamin partira avec quelques certitudes. D’abord, il a retrouvé des automatismes au volant d’une Polo dans laquelle il n’était plus « monté depuis début avril en Corse. » Surtout, il a pu valider des réglages en vue du Deutschland.
« On a bien avancé sur tous les points, poursuit le membre du Team DG Sport. Y compris sur sol mouillé puisqu’on a eu un peu de pluie ce dimanche matin. On aurait aimé en avoir encore davantage mais une fois encore le week-end est vraiment satisfaisant. »
Une déclaration reprise en écho par son dauphin et coéquipier, Guillaume De Mevius qui a, lui aussi, multiplié les tests durant tout le week-end. Carrément « content d’avoir fait le bon choix en retenant cette épreuve », le Belge pourrait bien se transformer en ambassadeur de l’ASA Mirecourt dans les semaines à venir. Et permettre au rallye de La Plaine de devenir un passage obligé avant l’Allemagne. A l’image du Vosgien quand il servait de dernière répétition avant le rallye de France-Alsace.
Dans ce contexte de niveau mondial, les pilotes régionaux n’ont pas cherché à rivaliser. Ils n’avaient de toute façon pas les mêmes armes. Pas les mêmes ambitions non plus. Le Meusien Christophe Wilt s’est ainsi taillé un programme nordiste qui l’emmènera au Boulonnais (mi-août), puis au Charlemagne (fin septembre), où la concurrence sera moins redoutable. L’Alsacien Thierry Colney disputait, pour sa part, son 2e rallye en Skoda, le 1er avec celle d’Eric Mauffrey, et a donc perdu du temps à peaufiner les réglages le samedi. Quant au Franc-Comtois François Thiébaut, le simple fait d’enlever le Groupe N (avec une 5e place à la clé) suffisait largement à son bonheur.
Le classement 1. N. Ciamin/Y. Roche (Volkswagen Polo Gti), en 1h10’50’’ ; 2. G. De Mevius/M. Wydaeghe (Citroën C), à 1’49’’7 ; 3. Ch. Wilt/G. Leclercq (Skoda Fabia), à 3’28’’1 ; 4. Th. Colney/Fl. Zingle (Skoda Fabia), à 4’57’’5 ; 5. Fr. Thiebaut/J. O’Brien (Subaru Impreza Sto), à 6’30’’ ; 6. A. Vauthier/R. Tutelaire (Ford Fiesta Wrc), à 7’03’’3 ; 7. J-N. Hot/Ch. Nicolet (Subaru Impreza N17), à 7’09’’ ; 8. L. Godard/Fr. Giliot (Renault Clio RS Ragnotti), à 8’24’’8 ; 9. P. Cordier/M. Bajolet (Peugeot 106 Xsi), à 9’37’’ ; 10. Th. Malglaive/A. Sauffroy (Renault Clio 3 RS), à 10’16’’3 ; 11. F. Martin/A. Ziebel (Peugeot 208 Vti), à 10’19’’9 ; 12. P. Thiebaut/R. Bissonnier (Renault Clio Rs Ragnotti), à 10’28’’6 ; 13. L. Thiebaut/M. Brice (Citroën Ds3 Max), à 10’36’’6 ; 14. D. Claudon/N. Patris (Renault Clio Rs Ragnotti), à 11’11’’6 ; 15. M. Goettelmann/M. Guy (Bmw M3 E30), à 11’17’’9 ...
J.B.
Cinq mois après son Tour de Corse inachevé (ci-dessus), Nicolas Ciamin espère hisser cette Volkswagen Polo R sur le podium du WRC, la semaine prochaine en Allemagne. (Photo Jo Lillini)
Comme on se retrouve ! Quelques mois après avoir illuminé les confins de l’hiver et du printemps en faisant maintes étincelles, des patinoires « monte-carlesques » au maquis corse via un Rallye du Touquet piégeux en diable remporté de main de maître, Nicolas Ciamin repart à la chasse au chrono en Polo. Avec un plaisir non dissimulé, l’espoir niçois (21 ans), qui vient d’enchaîner trois étapes du championnat de France asphalte dans le baquet d’une Skoda Fabia R5, cravachera à nouveau la Volkswagen Polo R5 de la structure belge THX Racing, la semaine prochaine sur les routes ô combien pavées de mauvaises intentions du Rallye d’Allemagne (22-25 août). Comme on pouvait s’en douter, la manche germanique fait le plein à chaque étage. Surtout dans l’antichambre de la catégorie reine, en WRC2, où l’on recense pas moins de 28 équipages en lice...
Rude concurrence
Autant dire que le vice-champion du monde Junior 2017 sera soumis à rude concurrence trois jours durant. Outre son voisin Eric Camilli, qui poursuit le rodage accéléré de la nouvelle Ford Fiesta R5, celui-ci affrontera les Fabia de Kalle Rovanpera et Jan Kopecky, la Polo du revenant Stéphane Lefebvre, la Fiesta du pilote de l’équipe de France FFSA Adrien Fourmaux, la Citroën C3 de Mads Ostberg et les Hyundai i20 de Stéphane Sarrazin et Raphaël Astier.
Très rapide mais guère verni lors de ses deux précédentes apparitions mondiales en 2019, l’ambassadeur de l’ASAC de Nice joue là encore une carte importante. Son second bout de chemin avec Miss Polo se prolongera ensuite sur le front domestique (Mont-Blanc, Coeur de France, Cévennes, Var), en quête d’un titre national demeurant à sa portée.
La Flying Finn Academy, un projet qui cherche le développement de nouveaux pilotes et a servi de navette à des talents tels que Teemu Suninen, Esapekka Lappi ou Jari Huttunen, qui se distinguent maintenant dans la Coupe du monde. Maintenant, Sami Pajari mène ce projet avec son saut au JWRC tandis que J uho Koski-Lammi, Toni Herranen ou Sami-Matti Trogen attendent leur chance tout en poursuivant leur entraînement dans le championnat de rallye finlandais.
1) Scratch Magazine: Imaginez que je suis un jeune homme qui a hâte de rejoindre la Flying Finn Academy, quelles qualités recherchez-vous pour choisir un si jeune pilote et comment procédez-vous?
Tuomo Nikkola: «Tout d'abord, tous les pilotes qui souhaitent être pilotes de la Flying Finn Academy (FFA à partir de maintenant) doivent soumettre leur candidature, personne n'est invité. Un pilote qui souhaite développer une carrière internationale au plus haut niveau doit s'imposer et ne pas simplement s'asseoir sur un canapé et attendre un appel téléphonique du chef d'équipe WRC ou F1. »
«Nous avons un critère pour les pilotes qui souhaitent faire partie de la FFA. Chaque année, fin avril, les critères seront publiés afin que les pilotes puissent se fixer des objectifs. Les critères les plus importants sont les résultats en compétition. Certains championnats et classes sont mentionnés où les pilotes peuvent obtenir les résultats requis. Les critères minimaux pour le test Cooper (2500 m), qui feront partie du test physique, sont également annoncés. Ce n'est pas quelque chose de difficile à faire si le conducteur est motivé et attaché à l'objectif. Tous les pilotes doivent envoyer une demande et de ce groupe les pilotes qui répondent aux critères seront invités dans le champ de sélection de la Flying Finn Academy. »
«Le camp de sélection aura lieu en octobre. Il y a un test de fitness et des entretiens avec les pilotes. Le test de Cooper est le plus crucial à ce stade. Tous les coureurs qui ont réussi à parcourir plus de 2500m seront invités à un test qui débutera en octobre et se poursuivra jusqu'en décembre. Pendant cette section de test, il y a deux camps et les pilotes obtiennent un programme d'entraînement du camp de sélection qu'ils doivent suivre. Ils envoient un rapport sur la formation une fois par semaine et à la fin du test il y a un deuxième test sur l'état physique où vous pouvez voir les résultats de la formation ».
«Cette partie est principalement un excellent test mental pour les pilotes. Ces deux camps d'essai comprennent une formation très dure, différents types de formation, des visites du plus haut niveau de l'automobile, des plans pour l'avenir, etc. Avec tout cela, nous voulons découvrir les pilotes qui veulent vraiment essayer d'atteindre une place dans le niveau le plus difficile de ce sport. »
2) Scr: Imaginez que vous me choisissiez pour faire partie du programme, quelle serait la prochaine étape que je prendrais?
TN: «Chaque fois qu'un nouveau pilote rejoint la FFA, nous établissons un plan pour les trois prochaines années en coopération avec le pilote et son équipe locale. Le plan comprend les objectifs du programme en termes d'équipement, de classe, de championnats, de condition physique, de budget / sponsors, d'études / de service militaire / de travail et toute une vie car l'automobile n'est pas étrangère à vos projets de vie. Vous devez planifier votre vie pour prendre en compte les objectifs de la course automobile si l'objectif est d'être un grand pilote. »
3) Scr: Comment faites-vous ces premiers stades de développement?
TN: «Les étapes du plan sont toujours uniques, car les pilotes sont des personnes avec des connaissances et des points de départ différents. Une autre chose à ne pas oublier est d'être conscient du niveau de compétition dans les différents championnats et classes en Finlande et à l'étranger. Une concurrence rude et serrée est la clé du développement du pilote et est un bon moyen de mesurer le niveau de compétences. »
4) Scr: Quel type de formation recevriez-vous en tant que pilote? Seraient-ils collectifs ou individuels?
TN: «Le programme de formation FFA comprend des camps d'entraînement pour pilotes de karting, circuit, RX et rallye. Ces camps sont organisés en Finlande et en Europe. Par exemple, les pilotes de rallye qui doivent s'entraîner sur l'asphalte visiteront les courses en Italie, en Allemagne ou en République tchèque. En Finlande, il n'y a pas de courses sur asphalte (ndr: le championnat de rallye finlandais est divisé en trois rallyes sur neige et trois autres sur le terrain), c'est donc la seule façon de le faire correctement. Ils font aussi beaucoup de formation avec les notes. »
«Bien sûr, il existe un programme d'entraînement individuel pour les caractéristiques physiques et mentales du pilote. Les habiletés mentales sont les caractéristiques les plus importantes de ce sport et font la différence entre un bon pilote et le champion. »
5) Scr: En Espagne, l'un des principaux problèmes des pilotes est de trouver des fonds pour fonctionner, comment la Flying Finn Academy soutient-elle les pilotes?
TN: «C'est aussi un gros problème en Finlande. En ces temps de problèmes climatiques, il est très difficile de trouver une entreprise qui souhaite faire partie de l'automobile. La FFA ne donne pas d'argent directement aux pilotes, mais la formation est gratuite pour les membres de la FFA. Pendant une saison, le soutien est d'environ 10 000 à 30 000 € pour chaque pilote sous forme de camps de pilotage, de formation et de coaching. L'effort dépend des actions du pilote. Si le pilote est engagé, motivé et que les résultats sont conformes aux objectifs, l'effort est plus important. »
«L'ASN finlandais, AKK-Motorsport, a réussi à intégrer le programme de soutien de l'unité de haute performance du Comité olympique finlandais il y a deux ans. C'était un cas vraiment historique car la course automobile n'avait pas été reconnue comme un sport de haut niveau auparavant en Finlande. Nous recevons un soutien financier pour l'embauche d'entraîneurs et de services spécialisés dans le réseau Sport Academy à travers la Finlande, qui est une organisation qui aide et soutient les athlètes dans leur entraînement quotidien. Il semble que le Comité olympique finlandais soit très satisfait de notre travail et de nos résultats, car l'automne dernier, nous avons été approuvés pour continuer le programme et avons obtenu plus de soutien. »
«Mais en général, les pilotes doivent trouver eux-mêmes le budget du programme. C'est aussi un moyen de mesurer l'implication du pilote. Ces pilotes, qui n'ont pas une famille riche ou un portefeuille important, doivent faire un travail énorme pour trouver le budget complet. C'est quelque chose qui les rend encore plus forts, car lorsqu'ils ont travaillé pour leur rêve, ils ne veulent pas l'abandonner facilement. »
6) Scr: Enfin, qui sont les entraîneurs de l'académie et quel processus suivez-vous pour les choisir? Nous avons vu que certains d'entre eux sont des expilotes prestigieux ou sont actuellement en compétition.
TN: «Il y a actuellement 12 entraîneurs dans l'équipe de formation de la Flying Finn Academy. Sept d'entre eux forment des pilotes de rallye et il y a des entraîneurs comme Matti Rantanen, Jukka Korhonen, Mikko Pajunen, Teemu Arminen qui ont de l'expérience en tant que pilotes internationaux. Cinq entraîneurs forment par exemple les pilotes de karting et de course sur circuit, Juuso-Matti Pajuranta, Juho Valtanen, Joonas Kostiainen. Les pilotes RX sont formés en coopération avec l'équipe SET Promotion, l'équipe de l'ancien champion d'Europe Jussi Pinomäki. "
«Beaucoup de ces entraîneurs étaient membres de la Flying Finn Academy. Je vois cela comme une force, car ils savent très bien ce que cela fait d'être à la place d'un jeune pilote qui développe sa carrière. Juho Valtanen a un rôle d'athlète / entraîneur en même temps, car il est toujours un coureur de haut niveau dans le monde du karting, mais il peut donner beaucoup de connaissances aux jeunes coureurs de karting qui font juste leurs premiers pas à l'étranger, à l'extérieur de Finlande. "
«L'essentiel est de savoir comment le coach pense à la construction de la carrière sportive du pilote et quelles actions il considère importantes et cruciales. Il est impossible de travailler s'il y a une grande différence d'opinions. »
«Tous ces formateurs travaillent à temps partiel pour l'ASN finlandaise. Je suis le seul entraîneur à temps plein en tant qu'entraîneur-chef. »
7) Scr: À propos des programmes 2020, le point culminant de Sami Pajari est les débuts du JWRC, pourquoi le concours M-Sport et non l'ERC3 Junior en tant que Rallye Team Spain ou ACCR Czech Rally Team?
TN: «Il s'agit du prix Pajari du programme Flying Finn Future Star, qui est un projet de recherche de talents de l'ASN finlandais. Ce programme est soutenu par M-Sport et Pirelli et investit chacun 30 000 € et le JWRC était le championnat où ils voulaient être. L'ASN finlandaise soutient également le programme à hauteur de 30 000 €. »
8) Scr: Pajari a avoué que l'un des plus grands défis sera l'entraînement sur asphalte et le rallye allemand en raison de son manque d'expérience sur l'asphalte , comment comptez-vous l'aider, lui et les jeunes pilotes finlandais?
TN: "Nous ferons plusieurs formations sur l'asphalte en Europe, comme nous l'avons fait d'autres années."
9) Scr : Quelles attentes ou objectifs avez-vous pour cette saison?
TN: «Si vous voulez progresser dans votre carrière, vous devez démontrer votre potentiel lors de la première saison. Les objectifs spécifiques seront établis avant les épreuves, mais il est important de démontrer les progrès de la saison dans chaque domaine du sport. »
10) Scr: Pensez-vous que des pilotes comme des jeunes hommes comme Teemu Suninen, Jari Huttunen ou Pajari lui-même, etc. ont une pression supplémentaire de leurs fans pour récupérer le règne des rallyes après l'ère Sébastien?
TN: «Le temps dira l'avenir. Au plus haut niveau de chaque sport, les différences sont très faibles et le succès dépend de beaucoup de choses. Mais je suis sûr que les pilotes feront de leur mieux. »
Enfin, de Scratch Magazine, nous remercions Tuomo Nikkola et toute l'équipe Flying Finn Academy pour leur collaboration et d'ici nous leur souhaitons les meilleurs succès de 2020.
Et moi le "Bon Dieu" y m'a fait naître a Alger alors qu'y avait de la place a la maternité de Jyvaskila ! La mort de mes os !!!!!
On comprend pourquoi ces Finns sont flying ! Ils ont des ailes d'origine, comme les anges !
Il y a 14 heures, Mako a dit :Et moi le "Bon Dieu" y m'a fait naître a Alger alors qu'y avait de la place a la maternité de Jyvaskila ! La mort de mes os !!!!!
En plus, tu parles très bien le finno-pataouète !
La FIA dévoile le Rally Star pour détecter les futurs champions
La FIA lance son programme de détection des jeunes talents en rallye, le FIA Rally Star.
La FIA lance son programme de détection des jeunes talents en rallye. © DPPI / F. Le Floch
Alors que Rallyes Jeunes demeure une référence en termes de détection des jeunes pousses à même de faire briller les couleurs françaises au plus haut niveau du rallye mondial, la FIA va initier son propre programme de détection, dénommé FIA Rally Star.
L'organe fédéral, via le financement du FIA Innovation Fund, s'appuiera sur les 144 Autorités Nationales Sportives (ASN) membres de la FIA qui « seront encouragées à organiser des opérations de détection, proposées aux jeunes garçons et filles âgés de 17 à 25 ans. »
Deux axes peuvent être principalement utilisés : les simulateurs de conduite et le jeu vidéo partenaire du FIA Rally Star, et le Motorkhana, qui consiste à conduire un véhicule de production sur un parcours, mais les ASN pourront également utiliser leurs propres méthodes de détection pour identifier les jeunes talents.
La deuxième phase du programme sera une tournée de six finales continentales organisées par la FIA en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, en Afrique, en Asie-Pacifique, en Amérique du Sud et en Amérique du Nord.
Les candidats sélectionnés par les ASN s'affronteront contre la montre au volant de XC Cross Cars pour remporter l'un des sept baquets disponibles : un par continent, plus un pour la meilleure féminine mondiale.
Les lauréats entameront ensuite une véritable préparation, avec en point d'orgue la participation à un minimum de six rallyes au volant de voitures de la catégorir Rally3. Les quatre meilleurs d'entre eux dont au moins une féminine, intègreront ensuite le Junior WRC.
Ces derniers auront deux saisons pour briller avant de potentiellement intégrer le WRC 3. Le coup d'envoi des sélections pourra être effectif après le lancement de l'initiative en juin.
« Au moment où le Championnat du Monde des Rallyes explore de nouveaux territoires, le FIA Rally Star encouragera l'émergence d'une nouvelle génération de pilotes, commente Yves Matton, Directeur des rallyes à la FIA.
Les plus prometteurs bénéficieront alors d'un programme de développement sur mesure leur permettant à terme de rejoindre le WRC. Avec le FIA Rally Star, nous espérons trouver un futur champion du monde. »
Il y a 6 heures, Krystof a dit :Les candidats sélectionnés par les ASN s'affronteront contre la montre au volant de XC Cross Cars
Ben pourquoi tu rigoles ? C'est pas con comme idée. ..
Définir les lauréats d'une académie WRC sur un circuit de rallye cross avec un buggy, t'as raison, c'est pas con comme idée, c'est carrément stupide.