Jean Vinatier
Claudine Trautmann
et documents fournis par @Zoréol, qu'il en soit remercié
Bonne soirée
Les Grenoblois en noir et blanc, la suite... (collection Jacques Marcel )
Pause course de côte... Chamrousse, bien sûr..!
Le grand Jacques
Claude
Gérard Rose, qui fut, je crois, copilote des 2 précédents (pas en même temps, hein! )
BMW Lyonnaise, comme de nos jours en VHC avec le gang de Thierry et Charly.
Mr Valoix
Pierre Buffa
Là je ne peux mettre qu'un nom : Jacques Marcel, le "bô-gosse" à gauche. Né à Madagascar lorsque son père
était en poste là-bas, il m'en parlait des trémolos dans la voix. Il n'aura jamais su que j'y ai vécu...
Pareil, je ne connais personne à part Jacques.
Voilà voilà...
+ 2, Jacques à Méribel
et je ne sais pas qui au col Bayard
Cette fois je n'arrive pas à virer les doubles...
Les Grenoblois en noir et blanc, suite (collection Jacques Marcel )
un de ses 1ers (voire le 1er) Mont-Blanc
Même année, j'ignore qui est-ce..? (si Marc était là...)
le Var c'est la banlieue Grenobloise...
une esseulée du Monte-Carlo
joli coup...
Mont-Blanc,, Fleur et parfum
Alpine 1300, j'ai au moins 2 courses avec
Alpin 70
Des participations "anonymes"
Belle attaque de la Panhard
Les Grenoblois en noir et blanc collent à l'actualité car je vais finir par le tout dernier rallye de Jacques qui n'est autre que le Monte-Carlo 81. (photos collection Jacques Marcel )
Mais tout d'abord le MC 80 avec l'ami Yves Célestin, 84èmes en fin de rallye
( derrière on trouve Pierre Pagani, Fernand Schligler, Alain Beauchef, Xavier Du Castel...)
Prologue connu à Serre-Che chez Claude Laurent
Puis en ES, j'ignore où
Et les 2 dernières photos que j'ai, Monte-Carlo 81 avec le même équipage, abandon cette fois...
Dans la liste des abandons, des noms célèbres et un abandon très con : Bertrand Balas-Jacques Hénuset
abandon ES 32 sur...32 ES à parcourir...!!
Cette Autobianchi Abarth, de mars ou avril 79 a fait le Fleurs et Parfums- critérium Alpin 79 avec Jacques et mon père. Abandon, cardan... ( oui encore )
[ Moi j'étais en Toyota Land Cruiser mazout kit Turbo diesel Iresa (le top de l'époque) et dans la descente de Castellane mon père a humilié un lyonnais en CX GTI au freinage en descente. Il était un peu "secoué" mon père, très rapide en descente (et sur route ouverte) ]
Utilisée par Dominique Marcel (charmante blonde, maman de Fred et Julie) pour emmener les mômes à l'école, c'était sympa cette jolie Dame en "voiture de course" en ville..!
Voilà, l'aventure se termine et je suis autant ému qu'il y a 40 ans...
Merci de votre attention... Merci à Fred pour m'avoir offert les photos de son père.
Dans ma jeunesse, comme tout un chacun, j'ai eu cet instinct animal, cette folie qui montait en moi, ce besoin irrépressible, dès que la neige tombait, de monter dans ma voiture ( ou précédemment sur ma fidèle Peugeot 103) pour aller tracer sur la route immaculée de magnifiques arabesques , qui se terminaient parfois par de gros pâtés.
J'avais (et j'ai toujours) la chance d'habiter au bout d'un cul de sac de 3 km, en haut d'une montagne Vosgienne avec juste quelques maisons habitées.
Ces voisins étaient essentiellement occupées par des personnes âgées qui bougeaient peu , et de toute façon qui avaient toutes appris à se méfier de moi et de ma surpuissante 104 gl de 45cv.
Comme, de plus, le rallye tenait une grande place dans la population locale, où chaque pilote amateur était automatiquement respecté voire adulé, c'est des bandes complètes qui se retrouvaient dans les cols les soirs de dérives.
Une vallée particulièrement isolée faisait un endroit très prisé, sur 3 km, avec des virages en 3 pour les plus serrés. Nombre de spectateurs se retrouvaient là également, fermeurs de route que même les gendarmes respectaient, lorsque parfois ils allaient d'assurer du sérieux des participants. 30 secondes entre chaque, des radios CB.....
Certains avaient de vrais clous de course, et stupéfiaient les poireaux dans mon style, chaussés au mieux de vagues rechapés neige sur le train avant.
Bref, des occupations saines, et qui m'ont permis d'acquérir ce talent extraordinaire au volant qui m'a même valu une incroyable 2eme place de classe sur un régional.
Ayant donc sillonné les montagnes des Vosges en long, en large et surtout en travers, j'aimais, lorsque le niveau d'essence de mon bolide tutoyait le bas du tableau de bord, à effectuer encore quelques passages en rentrant au bercail .
Ce retour était parfois mouvementé, souvent d'ailleurs parce que la neige était tombée en abondance et que les congères s'accumulaient sur le parcours. Jusqu'à 60/80 cm, si la congère est parallèle à la route, essuies glaces et moteur à fond et ça passe. Parfois, quand l'angle est plus faible, il faut composer en visant le côté le plus bas, sans tomber dans le fossé. Enfin, quand on a été présomptueux, il n'y a plus qu'à pelleter pour dégager la voiture afin de laisser passer le chasse neige le lendemain, et aussi sur cette p.... de 104, raccrocher la tringlerie de boîte que la neige a décroché.
Celui qui n'a jamais pelleté 1h à la main (parce qu'exceptionnellement il a oublié sa pelle) avant de se glisser sous sa voiture pour remettre en place une biellette, avec un vent de 90km/h, à 4h du matin, celui là ne sait pas s'amuser.
<<Celui qui n'a jamais pelleté 1h à la main (parce qu'exceptionnellement il a oublié sa pelle) avant de se glisser sous sa voiture pour remettre en place une biellette, avec un vent de 90km/h, à 4h du matin, celui là ne sait pas s'amuser.>>
Chartreuse, années 77 (16 ans) à 89, après mes parents ont vendu* et je vivais en Allemagne (où il y avait un coin pour nous aussi).
* heureusement qu'ils ont vendu sinon je cramerais peut-être encore du super à 1,80€ en ce moment...