il y a 54 minutes, Rapido a dit :Tu m'étonnes... J'aimerai bien être mouche parfois...
Les camions faisaient dodo, et du coup la moyenne s'est établie à ...un multiple de 100
Voilà, tout est groupir ici
Il y a 5 heures, Rapido a dit :Tu m'étonnes... J'aimerai bien être mouche parfois...
Moi pas du tout
Il y a 14 heures, tartugue a dit :Voilà, tout est groupir ici
Ton lien fonctionne pas chez moi
il y a une heure, Tof a dit :Ton lien fonctionne pas chez moi
le lien fonctionne nikel
il y a une heure, Tof a dit :Ton lien fonctionne pas chez moi
Si la page s'affiche, faut cliquer sur les plaques
il y a 15 minutes, Nanard a dit :le lien fonctionne nikel
Pareil...
Non, ça, c'est une 5 Alpine
Oui, c'est bien ça
Il est beau, il est chaud, il est tout neuf ! Demandez l'Hebdo de l'Ardèche. 1€70 seulement. Des photos couleurs, des articles de qualité, peut servir pour éplucher les pommes de terre et aussi emballer le poisson. Demandez l'Hebdo !
Merci à @Tof et @Mako pour avoir répondu à notre sollicitation
Le 31/01/2022 à 14:21, Rick a dit :Le Monte-Carlo fait son retour en Ardèche
Lancia Beta Monte-Carlo (photo Adrien Agier)
Annulé en 2021 pour des raisons que l’on n’a de cesse de rappeler, le Rallye de Monte-Carlo a fait son retour sur les terres ardéchoises, dans sa version historique. Comprenez là que les bolides qui ont traversé les plus belles routes de notre département n’étaient pas les dernières WRC conduites par Sébastien Loeb et Ogier, mais les voitures qui ont fait la gloire et la popularité de cette épreuve de légende, depuis plus de cent ans.
La météo, peu clémente, n’aura pas eu raison des spectateurs
Des spectateurs présents en nombre sur toute l’épreuve (photo Adrien Agier)
Cette année, la neige, tant espérée des concurrents et des spectateurs, brillait par son absence. « Si ça enlève un peu de saveur au spectacle, ce n’est tout de même pas une raison suffisante pour rester à la maison. » nous confiait Philippe, passionné venu voir le rallye dans le Ray-Pic. Et ils étaient nombreux, ce dimanche, à penser de la même manière. Malgré un froid rendu saisissant par un vent du nord relativement fort, les aficionados se comptaient par milliers le long des spéciales. « Il y a du monde dans tous les virages. Je viens de passer à Lachamp, c’est de la folie là-haut. Il n’y a pas moins de 500 personnes qui bravent la burle et le brouillard. Ce n’est pas encore ce qu’on a connu au temps des Groupe B, mais on se croirait vraiment revenu à la fin des années 70. C’est magique. » s’enthousiasmait, là encore, un autre spectateur rencontré du côté de Saint-Martial.
Porsche 911 (photo Adrien Agier)
Du monde de partout, mais des villages inanimés
Lors de notre virée dominicale, nous avons en effet constaté que le Rallye de Monte-Carlo attire un monde fou sur son parcours. Nous avons constaté que dans le moindre village traversé, par les 230 équipages encore en course ce dimanche, des fans mais aussi des curieux s’étaient réunis par dizaines, pour admirer le passage des autos. Nous avons constaté que, si le Rallye de Monte-Carlo séduit indéniablement le cœur des ardéchois, les divers comités des fêtes ne se sentent toujours pas concernés par son passage. À aucun moment, il nous a été donné l’occasion de voir une animation organisée à l’attention des participants et du public. « C’est assez regrettable de ne pas profiter d’une manifestation d’une telle ampleur et aussi populaire, de surcroît à une époque de l’année où il est difficile d’attirer du monde et de faire vivre nos villages. » déplorait Christophe Hascoët, vice-président de l’association Ardèche Rallye Promotion.
Des autos de prestige, et des célébrités
Lancia Stratos ayant disputé le Monte-Carlo en 1978, ici aux mains de Carlos Tavares (photo Adrien Agier)
Comme chaque année, le rallye de Monte-Carlo Historique attire les véhicules les plus prestigieux de la discipline, des anciennes gloires du sport automobile, mais aussi des célébrités, tous nostalgique d’une époque révolue, où l’odeur de l’essence et le bruit des moteurs se mêlaient pour décupler l’euphorie des badauds. Parmi ces équipages, l’on retrouvait l’isérois Bruno Saby, vainqueur du rallye de Monte-Carlo en 1988, Denis Giraudet, copilote français ayant le plus grand nombre de départs en championnat du monde (197), Ruben Maes, copilote 6 fois champion du monde de rallye raid, Alain Serpaggi, vainqueur de la coupe d’Europe des rallyes en 1972, Michel Rostang et Michel Chabran, restaurateurs étoilés au Michelin, Ermanno Keller, champion d’Europe des rallyes en 1975, et Carlos Tavares, le PDG du groupe PSA Peugeot-Citroën, devenu Stellantis depuis l’absorption du groupe Fiat-Chrysler par le géant français. Du côté des voitures, l’on pouvait s’émerveiller devant les Alpine A110, Porsche 911, Audi Quattro, mais aussi les Abarth, ou encore les fabuleuses Mini Cooper. Mais la véritable star de ce 24ème RMCH, c’est la mythique Lancia Stratos Groupe 4, animée par un moteur Ferrari de 24 soupapes développant pas moins de 300 chevaux, et qui avait participait à l’édition de 1978 aux mains expertes de Sandro Munari, pilote italien dont on fêtait cette année le cinquantenaire de sa victoire légendaire au volant d'une autre Lancia, la Fulvia 1600 HF. « La Stratos, c’est un mythe. C’est la seule voiture de l’Histoire à avoir été conçue spécifiquement pour rouler en rallye. Tous les autres modèles ayant existés sont dérivés de la série. Aujourd’hui, si on ne peut que s’émouvoir devant ses lignes splendides, on ne peut pas jouir de la sonorité de son moteur Ferrari. Mais je peux assurer, pour avoir été copilote de Raffaele Pinto lors d’une séance d’essais en 76, que c’était tout simplement monstrueux. À 8 000 tours minutes, le hurlement des 24 soupapes se fait entendre à plusieurs kilomètres, et lorsque la voiture passe devant vous, le sol tremble un instant. » nous raconte avec passion le cheylarois Jean-Marc Agier, pilote de rallye dans les années 80.
En route vers Monaco
Yves Jouanny remettant la tarte aux pommes à Carlos Tavares (photo Eric Jouanny)
La journée ardéchoise débutait par le passage obligé d’Antraigues, où l’ami Yves Jouanny ne dérogeait pas à la tradition et offrait aux équipages un peu plus de 500 parts de sa célébrissime tarte aux pommes, devant les portes de la non moins renommée Remise. Les concurrents s’élançaient ensuite dans la spéciale de Burzet, puis se dirigeaient en direction de Saint-Agrève où était organisé un contrôle horaire, permettant ainsi une petite restauration aux participants. Après un détour par la Haute-Loire voisine pour disputer la spéciale de Saint-Bonnet-le-Froid, les rescapés de l’épreuve terminaient la journée à Valence, après une ultime spéciale passant par Lalouvesc. Lundi 31 janvier, le rallye s’installait dans le Vercors avant de prendre les routes de la Drome provençale, le mardi suivant. Une journée éprouvante avec un départ de Valence à 6 heures du matin et une arrivée finale à Monaco prévue à 1 heure 30 le lendemain matin, après avoir disputé le juge de paix du rallye, la fameuse Nuit du Turini.
Fiat 131 Abarth (photo Adrien Agier)
Au moment de la publication de cet article, nous ne connaissions pas le résultat du rallye, que vous pourrez toutefois retrouver sur le site www.acm.mc
@Rapido, Une rare photo de cette historique " Fulvia Prototipo Barchetta F et M " pour Fiorio et Maglioli, entrain de rouler, conduite par il Drago. 1600cc , 162 cv, 720 kg un truc de fous !
Un seul rally le Tour de Corse 1969 aux mains de Sandro Munari- John Davenport. 13emes à l'arrivée. A noter que Davenport à une assistance s'enfuit dans la montagne pour ne plus monter dans l'auto. Les meccanos le rattrapent et c'est sous la menace qu'il finit l’épreuve....
il y a une heure, Mako a dit :@Rapido, Une rare photo de cette historique " Fulvia Prototipo Barchetta F et M " pour Fiorio et Maglioli, entrain de rouler, conduite par il Drago. 1600cc , 162 cv, 720 kg un truc de fous !
Un seul rally le Tour de Corse 1969 aux mains de Sandro Munari- John Davenport. 13emes à l'arrivée. A noter que Davenport à une assistance s'enfuit dans la montagne pour ne plus monter dans l'auto. Les meccanos le rattrapent et c'est sous la menace qu'il finit l’épreuve....
Il y avait Timo Makinen également, en tenue d'homme-grenouille...
En fait, si tu me permets, cette version a roulé à la Targa Florio avec Munari et Aaltonen en 69. Elle est reconnaissable à son arceau. Le n° 232 étant dévolu à Pinto/ Maglioli.
La version tour de Corse (2 exemplaires) a un arceau également pour le copilote et Makinen avait fait poser un bout de tôle pour faire un toit de secours car il pleuvait et faisait un froid de canard.
il y a 3 minutes, Rapido a dit :
La version tour de Corse (2 exemplaires) a un arceau également pour le copilote et Makinen avait fait poser un bout de tôle pour faire un toit de secours car il pleuvait et faisait un froid de canard.
D’où la peur bleue de Davenport ! Sandro dans son bouquin " una vita di traverso " raconte l'épisode. Les mecs avaient quand même un grain. Je rouvrirai le livre pour vérifier mais il me semble qu'ils étaient aux avant postes puis ils ont eu des soucis. Ta photo est bien Makinen ( No 56 ) Sandro avait le 61.
Dans la plupart des " archives rally " on ne trouve pas trace de la participation à la Targa Florio 69 car celle ci faisait partie du "Championnat International des marques" comme les 24h du Mans et était considérée comme une course sur circuit. Il n'y avait pas de navigateur, juste un premier pilote ( Altonen) et un second ( Munari)
il y a 15 minutes, Mako a dit :
Dans la plupart des " archives rally " on ne trouve pas trace de la participation à la Targa Florio 69 car celle ci faisait partie du "Championnat International des marques" comme les 24h du Mans et était considérée comme une course sur circuit. Il n'y avait pas de navigateur, juste un premier pilote ( Altonen) et un second ( Munari)
Oui, seul en piste.
Bof ! C'est penible de changer les 4 roues . C'est mieux d'avoir une nouvelle Stratos à chaque Z R.....
Le 13/04/2022 à 12:36, Mako a dit :Bof ! C'est penible de changer les 4 roues . C'est mieux d'avoir une nouvelle Stratos à chaque Z R.....
Fin de l'abondance, il revient avé la 104 ZS en 2023.