Sting au Théâtre romain à Fourvières 

(on parlera pas de la qualité de la photo, c'était juste pour ramener un souvenir ^^)

Je t'avoue qu'on a senti l'affaire un peu mal engagée. Et vu la bataille pour s'arracher des tickets à la seconde près, j'aurais été un peu dég (surtout dans ce cadre).

Mais la voix été parfaite, il a bien fait de se reposer (désolé pour ceux qui ont subi les précédentes annulations, qui devaient être très déçus de rater ce spectacle).

La mort de Johnny Clegg m'a vraiment attristé. 

Ça m'a rappelé qu'en 2003, j'avais aussi joué le Zoulou blanc en menant un combat sans merci contre un redoutable guerrier de l'ethnie... pour le fun !   Si, si, c'est bien moi à droite devant le chef de tribu hilare ! 

Il y a 7 heures, Zoréol a dit :

 

 Si, si, c'est bien moi à droite devant le chef de tribu hilare ! 

 

Oui,triste disparition...

Tu as tous les talents...

Lors de notre long voyage en solitaires, plus de 6000 bornes sur une grande partie de l'Af'Sud -comme d'hab' organisé aux petits oignons par ma douce, voiture de loc' et quelques hôtels réservés aux points stratégiques- nous avions passé une nuit dans un village zoulou. Bien sûr c'était touristique, mais nous avions bien aimé. Après des danses acrobatiques, exactement ce que le regretté Johnny Clegg produisait sur scène, nous eûmes droit à une démonstration de combat. Après quoi, le chef a demandé si quelqu'un voulait se mesurer à l'un de ses hommes. Comme ça ne se bousculait pas dans les rangs d'une dizaine de personnes, je m'y suis lancé pour le fun : inutile de dire que le gars a été plutôt gentil avec moi, parce que si ça avait été "pour de vrai", je pense qu'il m'aurait fracassé le crâne en cinq secondes ! 

J'peux pas, j'ai lagon. 

J'peux pas, j'ai moutons .

Mais je vais voir si je peux me dégager une journée.

Un petit sujet sur les incontournables en Métropole il y a quatre ans.

On commence par le plus important pour moi. Lorsque j'habitais Montpellier, j'allais souvent avec des copains malgré la distance voir ce qui est à mes yeux le must du circuit. Après, à la Réunion, ça tombait toujours quand je bossais et je m'étais promis que dès la retraite en poche, ma première action serait d'y retourner : promesse tenue ! 

Dans un restau du Mans :

Parade des pilotes : ils ne savent pas qu'ils seront vainqueurs dans 48 heures, surtout Hulkenberg qui est à sa première participation.

A l'aube, ils ne sont encore que troisièmes :

Ambiances de la nuit et du lever du jour :

Après m'être rempli les yeux et les oreilles pendant deux tours d'horloge, direction le Mont :

Ensuite, Val de Loire, avec Chenonceaux :

Et on continue par Chambord :

A suivre...

La (litho?) de Steve mc queen est magniphique .

Nous continuons notre descente vers le sud, avec un arrêt chez des potes du côté de Dijon. Flavigny sur Ozerain, là où sont fabriqués les fameux anis :

Pour la circonstance, le copain m'a permis de laisser au garage ma 208 en plaques rouges et m'a offert le volant de son ti lauto anglais, british racing green comme il se doit. 

On continue vers le sud avec une halte chez d'autres potes dans les superbes pierres dorées du Beaujolais.

Viron dans la Dombe, avec le charmant village de Villars les Dombes et sa halle.

C'est là qu'est né un dénommé Philibert Commerson, mort sur l'île Maurice comme c'est indiqué. Mais auparavant, il est venu étudier la Réunion. Un cratère du Piton de la Fournaise porte son nom.

Et un passage au parc des oiseaux. Je vous fais grâce des dizaines de photos.

Autre halte chez d'autres potes à Lyon : nous avons plein de copains un peu partout, ça nous fait des étapes sympas !  Viron à vélo sur les berges du Rhône avec le musée de la confluence.

Cap à l'est pour la Yaute où Marianne vivait quand je l'ai connue. Les potes de Lyon ont un chalet aux Praz, tout près de Chamonix, ça tombe bien, ils nous hébergent dans un environnement quatre étoiles sans bourse délier  ! Voilà les Drus depuis leur jardin au coucher du soleil.

Ainsi que l'aiguille du Midi et le glacier des Bossons (Marianne était mariée quand je l'ai connue à un gars de la Yaute pur porc et s'appelait Bosson. Notez, il y a aussi un quartier de Cham' qui s'appelle les Barats, c'est justement mon blaze : balle au centre ! )

A une autre heure, la voie normale du Mont-Blanc qui passe par les bosses du chameau bien visibles. A droite, sur l'éperon rocheux, on distingue à peine la cabane Vallot.

Nous y sommes pile-poil pour l'UTMB, l'une des plus grandes épreuves de trail avec la diagonale des fous de la Réunion et quelques autres bien sûr.

Au départ, ils sont vaillants  !

Après, on les laisse s'expliquer et on va boire un pot dans un bistrot de Cham' en admirant les superbes peintures murales du bureau des guides regroupant les grands noms de l'alpinisme, les Lachenal, Terray, Herzog et autres  :

Le lendemain, après une fondue et de nombreuses libations, nous montons à la Flégère attendre les premiers. Il y a un téléphérique, mais nous grimpons à pied par l'itinéraire qu'ils prendront à la descente, faut bien en baver un peu pour leur rendre honneur  ! Après un moment d'attente, le premier qui est à moins d'une heure du bonheur suprême se pointe. Xavier Thévenard est comme les autres un extra-terrestre mais il semble un chouïa éprouvé, ça se comprend  !

Et la fête finie, on va assister au festival des vieilles batteuse à Pers-Jussy, près de la Roche sur Foron :

Un de ces quatre, nous retrouverons la Méditerranée. @ + 

Vous savez sans doute ce qu'est la paréidolie. Ben, quand on zoome un peu sur mes photos d'au-dessus, y a tout de même un drôle de type qui nous observe  !

Back from cold mountain ( qui était hot, cette année, il faisait 32° à Isola, à 14h dimanche ), quelques tofs de trucs volants, plus ou moins identifiés

Le premier est un éphippigère, sauterelle aux ailes atrophiées qui est (était ?) commune dans les garrigues montpelliéraines. Il se nourrit de végétaux, d'œufs d'insectes, de larves, et boulotte à l'occasion d'autres sauterelles.

Tieng Papéache, une autre

  La taille du morpion !!!