j'aime bien paddon , mais aussi breen , cependant j'aimerais bien qu'il soit devant les Hyundai
Alors, pour les esprits chafoins, encore une fois, c'est les journal... non les pignoufs qui écrivent/recopient les articles qui ne lisent pas correctement les décisions de l'ACO. On en revient toujours au même ...
http://www.dailysportscar.com/wp-content/uploads/2019/06/dec.123-85-Disqualification.pdf
Pour info, l'édition 2019 du Safari Rally Kenya vient de débuter...
Il y a un équipage (des Belges) et quatre pilotes non-africains, un Chypriote dont le copilote est Rwandais, deux Anglais et un Italien dont les copilotes sont Kényans.
Ça commence fort, après la première spéciale de 4,8 km, la deuxième de 13,6 km est annulée
Rendez-vous demain
Cherchez l'erreur...
La seule qui n'est pas frisée est mouton ...
de là à dire que c'est une brebis galeuse
Une blanche vaut six noirs
Mouais ! Ça c'est la version officielle. ..
Il y a 3 heures, Armin a dit :Il y a un équipage (des Belges) et quatre pilotes non-africains, un Chypriote dont le copilote est Rwandais, deux Anglais et un Italien dont les copilotes sont Kényans.
Je connais les Belges, enfin, s'il s'agit bien d'eux : Sylvia Vindevogel est la sœur d'une copine belge qui vit à la Réunion. Elle tient un hôtel à Kigali, au Rwanda (où elle est née) et court régulièrement des épreuves du championnat d'Afrique en copilote. Parmi nos projets de voyages futurs, un éventuel séjour chez elle pour aller voir les gorilles de montagne...
https://www.facebook.com/338798795860/posts/10157024564355861?s=100000020641534&sfns=mo
Vas voir Adamo , ça te donnera un avant goût. ..
Ça me parait logique... J'espère qu'elle vit avec un Hutu et pas un Tutsi !
il y a 1 minute, Armin a dit :Ça me parait logique... J'espère qu'elle vit avec un Hutu et pas un Tutsi !
Trop efféminé, Tootsie ?
Comme on peut le voir sur la Mini, la grande différence entre R4 et R5 se trouve au niveau de la tailles des roues...
Quoique, en regardant bien, on peut trouver d'autres différences :
Nonuple champion du monde des rallyes, Sébastien Loeb s’illustre cette saison au volant de la Hyundai i20 Coupé WRC. Sans oublier de se détendre à vélo, à moto, ou à bord de son hélicoptère.
Etes-vous surpris par votre première saison chez Hyundai ?
Sébastien Loeb : Même si l’asphalte a toujours été mon point fort, je me suis mieux adapté à la voiture sur la terre. Au Chili, mon premier rallye sur cette surface, j’ai réussi à me battre avec les meilleurs (3e, premier podium avec Hyundai). Sur asphalte, ma 4e place au Monte-Carlo était pas mal, en ayant « mis le cul » dans la voiture la veille de l’épreuve pour une journée d’essais à tout découvrir en rentrant du Dakar. Surtout qu’aujourd’hui, il y a de la bagarre sur tous les rallyes car les pilotes roulent fort quel que soit le terrain.
L’équipe décrochera-t-elle un titre cette année ?
Sébastien Loeb : Le championnat pilotes ne dépend pas spécialement de moi, le but est déjà d’être champion constructeurs. On se donne les chances d’y arriver, mais la concurrence est là, notamment chez Toyota. En tout cas, on se bat pour être champion.
Qui de Thierry Neuville, Ott Tänak ou Sébastien Ogier vous fait la plus forte impression ?
Sébastien Loeb : C’est sympa d’assister à une lutte à trois pilotes pour le titre, mais dur de les juger car ils n’ont pas la même voiture. Pour moi, le plus impressionnant est Tänak avec sa Toyota. Même en balayant, il a souvent montré qu’il était capable de gagner. Mais ce n’est pas que lui, la voiture y est aussi pour quelque chose.
Chez Hyundai, Neuville profite-t-il de votre vécu en matière de lutte pour le titre ?
Sébastien Loeb : J’essaye d’amener mon expérience, mais Neuville n’est pas un débutant à qui j’arrive pour tout apprendre. Comme Sordo et Mikkelsen, il roule depuis longtemps. Et puis, il n’y a pas vraiment de gestion d’un championnat, tous les pilotes roulent à bloc pour essayer de gagner.
Grâce à l’analyse des caméras embarquées, les pilotes roulent-ils plus vite qu’au début des années 2000 ?
Vous souvenez-vous de votre première voiture ?
Sébastien Loeb : Adolescent, j’allais dans les champs avec la voiture de mon père, une Corsa 1,2 litre. J’ai toujours aimé conduire, du moment que j’arrivais aux pédales. Ma première voiture était une Renault R5 GT Turbo que j’avais achetée à 18 ans, après avoir eu le permis.
Roulez-vous en Hyundai au quotidien ?
Etes-vous aussi sportif que vos voitures ?
Sébastien Loeb : Je fais un peu de footing, un tour de vélo, mais pas de muscu. Ce qui m’amuse, ce sont les virées d’enduro en forêt avec les potes, pour le côté convivial. Et je suis aussi souvent en hélicoptère, lors de mes longs trajets.
A quand remonte votre passion pour l’hélicoptère ?
Sébastien Loeb : C’est par les rallyes que j’ai découvert ça. Quand j’avais cassé la voiture et qu’on venait me chercher, je me disais que j’avais mis 4h à venir jusque-là et qu’on revenait au parc d’assistance en seulement une demi-heure ! J’aime bien l’hélico car c’est pratique, rapide, mais aussi fin à piloter. Il faut tenir le stationnaire, tout en équilibre et en maniabilité. Une fois qu’on est à l’aise avec, on fait un peu ce qu’on veut.
Circuit, course de côte, rallycross,rallye-raid, vous avez piloté quasiment tout ce qui existe. Un autre défi vous tenterait-il ?
Sébastien Loeb : Je commence à en avoir fait le tour (sourire). Cela dit, j’ai beaucoup aimé le rallycross pour ce côté « bagarre » avec les autres, ça donne beaucoup d’adrénaline. Les voitures sont très puissantes, top à conduire, mais on tourne en rond sur des petits circuits. Pour moi, c’est en rallye que les sensations de pilotage pur sont les meilleures.
Comment définiriez-vous ces sensations ?
Sébastien Loeb : J’adore les spéciales roulantes sur terre, on peut vraiment jouer avec la voiture. Sur un profil rapide comme la Finlande, il y a de la glisse et de la progressivité, donc le pilotage y est amusant. L’asphalte, c’est plus tendu : si tu es 3 km/h trop vite, ça dégage !
Le plaisir de pilotage varie-t-il selon l’enjeu ?
Sébastien Loeb : C’est sûr qu’il est plus excitant d’être en bagarre pour la victoire, ou au moins une bonne place. Depuis 2017, les voitures sont plus performantes, ce qui a rendu le pilotage plus plaisant. Avec le temps, j’aurais pu perdre ce plaisir au volant, mais ce n’est pas le cas. Il est toujours aussi élevé.
Propos recueillis par Richard Burgan
Très bonne itw
Le 07/07/2019 à 06:51, Zoréol a dit :Quoique, en regardant bien, on peut trouver d'autres différences :
R4 = limousine
R5 = berline
J'ai bon ?
Et sans oublier le pousse-café...
Quelques années plus tard, Peugeot sortait sa 205 ...
Une certaine similitude dans les formes.
...qui a quand même eu nettement plus de succès que la poire