Je pense que Breen devrait être un bon apport pour Hyundai en Finlande.
Il devrait leur apporter des points précieux pour la suite du championnat.
Ce sera sa neuf ou dixième participation à cette épreuve qui est vraiment spécifique, avec un podium il y a trois ans.
Cette année, il a remporté le rallye Sanremo et quatre autres épreuves nationales.
Les coéquipiers de Loeb ont rarement été ses plus féroces adversaires également
Bon comme nous le savons déjà , breen va venir chez Hyundai pour la finlande , mais loeb et sordo font leur divas en ne voulant pas faire ce rallye , donc en fait ces 2 là, ils font un peu ce qu'il veulent !!!
après si le patron de Hyundai laisse faire comme ça , et prend des pilotes juste pour un rallye , ça me dérange pas plus que ça , mais je trouve que ça peut fausser complètement un championnat constructeur si tu mets tel pilote qui est bon sur tel rallye !!!
imaginons que malgré tout ça ils ne soit pas champion construteur !!
Si ils ont la possibilité de le faire pourquoi pas ? Ce qui serait cool c'est que tous les constructeurs puissent en faire autant avec autant de pilotes , du moment que les acteurs principaux restent les mêmes .
Kalle Rovanperä occupera une place chez Toyota Gazoo Racing la saison prochaine, ce qui fera de lui le plus jeune pilote officiel à temps plein qu'ait connu le WRC. Le management du pilote de 18 ans invoquera une clause dans son actuel contrat avec Skoda afin d'entériner son départ à la fin de l'année, après quoi selon des sources de Motorsport.com il prendra le volant d'une troisième Yaris WRC dès le début de 2020.
Toutes les parties impliquées ont démenti que l'accord ait été conclu, cependant Timo Jouhki, manager de Rovanperä, a indiqué à Motorsport.com qu'il pensait que le leader du WRC2 Pro était prêt à faire le grand saut. "Skoda a été très, très bien avec Kalle. Il a fait beaucoup d'essais et cela a été une excellente place pour lui, mais le moment est à présent venu", a-t-il déclaré.
"Nous voulions voir comment il progressait avec les notes, dans le travail avec l'équipe, sa forme physique, le travail avec les médias et toutes ces choses-là, et il a progressé dans chaque domaine. Il a probablement progressé plus que nous ne l'aurions pensé", a poursuivi Jouhki. "Le but était qu'il gagne en expérience sur tous les rallyes. D'ici la fin de cette saison, il aura couru sur chaque rallye."
Mäkinen a indiqué qu'il était "un peu trop tôt" pour commencer à parler des pilotes qui formeront son line-up la saison prochaine, mais il a ajouté qu'il allait désormais y penser.
Kalle Rovanperä a déjà testé la Yaris WRC, qu'il a pilotée pour la première fois durant une séance d'endurance en 2017. Depuis, les spéculations quant à l'arrivée du Finlandais dans l'équipe ont été intenses, mais le jeune pilote reste lui-même très détendu sur le sujet.
"Si la saison continue ainsi, alors je pense qu'on pourra passer aux grosses voitures", a-t-il déclaré à Motorsport.com. "On peut y aller et apprendre, ou bien on peut faire valoir l'option avec Skoda et rester un an de plus, parce qu'il y a encore beaucoup à apprendre quant aux conditions des rallyes. Je l'ai vu au Portugal et en Sardaigne, la première fois que l'on va sur un nouveau rallye c'est toujours difficile. Je vais donc soit apprendre avec Skoda, soit passer à la grosse voiture."
Le futur règlement autour de l’hybride en WRC sera également l’occasion de voir un nouveau manufacturier équiper le championnat. Encore faut-il en trouver un.
Lors du dernier Conseil mondial (14 juin), la FIA a annoncé qu’un appel d’offres allait être lancé afin de trouver un manufacturier unique pour 2021-2024. Si les modalités du contrat n’ont pas été dévoilées, le fabricant retenu devra équiper toutes les 4 roues motrices. Le défi est de taille puisqu’il faudra prévoir des pneus pour les WRC actuelles en 2021, Michelin assurant la transition en 2020 (sans être partenaire du WRC), puis d’autres pour les véhicules hybrides à partir de 2022. La technologie étant nouvelle en rallye et les autos pouvant être différentes (plus volumineuses ou à structure tubulaire), il se pourrait qu’il faille refaire une gamme. L’heureux élu devra-t-il envisager deux processus de développement ? Si les Clermontois ne répondent pas, le remplaçant devra sérieusement s’activer ! Se posera alors la question de la voiture à utiliser pour les tests, ainsi que le(s) pilote(s) à solliciter. Comment seront décomptés ces jours ?
Le développement achevé, il deviendra urgent de lancer la production pour constituer les stocks suffisants à acheminer sur la première épreuve. D’autant que le Monte-Carlo représente une masse de travail énorme avec les différents choix qui s’offrent aux concurrents. Même pour Michelin, cela demande une implication et un investissement importants.
Il arrive régulièrement que des concurrents évoluent avec des pneus Kumho, Yokohama, MRF ou DMACK, même si ce dernier se fait plus rare depuis le succès d’Elfyn Evans au Wales 2017. Ces manufacturiers sont-ils en mesure de s’impliquer plus massivement ? Et quid de Goodyear ou Dunlop ? Chez Pirelli, la F1 prenant tout le budget, les Italiens n’envisagent pas postuler.
« Nous étions présents en WRC2 pour répondre à la demande de notre département marketing, explique Terenzio Testoni, le responsable rallye. Nous essayions d’être proches de nos clients. Cela va donc s’arrêter. Il faut attendre les modalités de l’appel d’offres, mais il y a peu de chances que nous soyons candidats. En termes de budget, ce sera conséquent. Et, si ni Pirelli ni Michelin ne viennent, que vont-ils faire ? Ils finiront par trouver quelqu’un, mais quel sera le niveau du championnat ? Ceux qui ont pris cette décision ne se rendent pas compte du travail que cela représente d’obtenir des pneus performants. Pour la Suède par exemple, il faudrait commencer les essais dès cet hiver pour être prêt en février 2021 ! »
L’aspect technique sera important, mais le volet financier le sera tout autant puisque le promoteur demandera plusieurs millions d’euros pour avoir le droit de figurer sur les bords des spéciales ou sur le podium. Ce que Michelin ne semble plus disposer à faire.
Hayden Paddon a partagé sa colère sur les réseaux sociaux et estime manquer de considération de la part de Hyundai Motorsport depuis son dernier départ en WRC fin 2018.
Hayden Paddon l’a mauvaise, et le fait savoir. Le Néo-Zélandais, non-retenu par son ancienne équipe en Championnat du monde des rallyes (WRC) Hyundai pour le Rallye de Finlande 2019 (1er-4 août), ne comprend pas la stratégie du constructeur sud-coréen et dénonce un manque de considération à son égard.
Lors de l’officialisation de l’engagement de Craig Breen et Paul Nagle en Finlande (aux côtés de Thierry Neuville et Andreas Mikkelsen), le champion du P-WRC 2010 s’est d’abord fendu d’un tweet ironique : « Est-ce qu’aujourd’hui c’est poisson d’avril ? ». Avant d’étayer son propos à travers un long message sur Facebook, dont nous vous proposons la traduction ci-dessous.
« Je ne ferai qu’un seul post à propos de la situation actuelle et de nos sentiments (son copilote John Kennard), car depuis trop longtemps nous nous sommes tus et avons essayé de faire les bonnes choses. Tout d’abord, je suis content pour Craig (Breen) et je lui souhaite le meilleur pour ce rallye.
Je vais démonter tous les débats comme quoi nous aurions refusé l’offre d’effectuer un rallye avec Hyundai. C’est incorrect et a été traité de façon disproportionnée par les médias. Au tout début, il y avait des discussions de ce rallye que nous avons reçu la nouvelle d’une non présence permanente en 2019 en décembre dernier, et à cet instant, l’émotion était palpable après avoir été délaissés sans solution. Néanmoins, rien n’a été formellement abordé.
Depuis février, nous avons été activement en communication avec l’équipe (Hyundai Motorsport) dans n’importe quel rôle - essayeur, un rallye (Finlande), … Ma passion est toujours forte pour le WRC et je me sens au top de ma forme en ce moment. Je connais bien la voiture(la i20 Coupe WRC) et j’étais prêt pour sauter dans le cockpit pour faire un bon travail. »
Naturellement, vous pouvez comprendre que nous sommes très fâchés. J’ai donné ma vie pour cette marque, dans tout ce que j’ai entrepris. Notre business en Nouvelle-Zélande, notre partenariat avec Hyundai Nouvelle-Zélande (il engage une i20 modifiée dans le championnat national. Ndlr), l’achat d’une Hyundai TCR, tout ce qui était possible d’accomplir !
Et pourtant, on ne nous a pas approchés pour le Rallye de Finlande, quand bien même nous avions offert nos services à de nombreuses reprises. Depuis notre dernier départ en Australie (fin novembre), nous n’avons eu que de peu d’échanges avec l’équipe - pas de reconnaissance quant à notre temps passé avec eux, pas de remerciements formels, pas de projections sur l’avenir. »
Hayden Paddon confirme enfin le soutien qui perdure de la part de Hyundai Nouvelle-Zélande, et précise qu’il n’a aucun ressentiment envers Craig Breen, également mis de côté par une formation officielle (Citroën), fin 2018. « J’ai beaucoup de respect pour lui et c’est naturel de saisir les opportunités quand elles se présentent. »
27 juin 2019
Sur le prochain rallye de Finlande, manche du championnat du monde des rallyes, le kit R4 sera donc en démonstration avec une Mini Cooper.
Adoptant le kit développé par Oreca, cette Mini Cooper R4 a été assemblée par l’équipe Evolve Motorsport, entreprise polonaise, habituée de « créations originales ». Cette auto participera à l’épreuve d’ouverture du rallye de Finlande en disputant la super-spéciale d’Harju, longue de seulement 2,31 kilomètres avec un mélange d’asphalte et de terre. A noter que le pilote de cette Mini n’a pas encore été dévoilé.
Jusqu’à aujourd’hui, seulement deux autos de cette catégorie ont roulé en compétition : la Fiat MR 500X développée par l’équipe Milano Racing et la Totoya Etios, provenant directement des ateliers de chez Oreca.
En 2020 et en accord avec la réglementation FIA, les voitures basées sur ce kit R4 seront connues sous le nom de « Kit Rally 2 » dans la classe RC2, et cohabiteront donc avec les R5 et S2000.
Par Julien R.
Takamoto Katsuta franchit un nouveau pas important dans sa carrière, puisqu'il a décroché sa place sur deux rallyes WRC avec Toyota. Le pilote japonais sera aligné sur le Rallye d'Allemagne, à la fin du mois d'août, ainsi que sur le Rallye de Catalogne au mois d'octobre. Si tout se passe comme prévu, il pourrait même enchaîner sur un programme mondial complet en 2020 avec une Yaris WRC.
Pour les rallyes de Finlande et de Grande-Bretagne, le pilote de 26 ans restera dans le baquet d'une Ford Fiesta R5, tandis qu'il sera absent pour le Rallye de Turquie et que sa participation en Australie n'a jamais été envisagée. En progrès constant, Katsuta n'est pas passé loin d'enchaîner deux victoires consécutives en WRC2 mais un incendie sur sa Fiesta l'en a empêché lors du Rallye de Sardaigne. Par ailleurs, il s'est également imposé sur deux manches nationales en Finlande, auxquelles il avait participé avec la Yaris WRC.
"Takamoto a déjà franchi de grands paliers cette année", estime Tommi Mäkinen, patron du programme WRC de Toyota. "Avec son programme WRC2, il a montré de très bons progrès en pilotage et en régularité. Il a aussi pris part à ses premiers rallyes avec la Yaris WRC dans le Championnat de Finlande et tout s'est très bien passé. C'est pour cette raison que nous sommes certains qu'il est déjà prêt à passer à l'étape suivante. Nous attendions pour finaliser son programme de fin de saison, en fonction de sa progression, et c'est formidable que nous puissions ajouter ces deux épreuves avec une WRC en Championnat du monde."
"Nous savons que ce seront des rallyes difficiles. Takamoto n'a pas d'expérience passée en Allemagne, et en Espagne c'est un rallye compliqué sur deux surfaces. Nous ne fixons donc aucun objectif en termes de résultat : la priorité sera pour lui de continuer à apprendre et de progresser en pilotage."
Petite leçon de loyauté made by Hyundai, petite agence d'intérim
C'est tellement beau qu'on dirait du Citron...
Ceci étant, il a beau dire qu'il connaît parfaitement la voiture, j'en serais pas aussi certain à sa place, surtout depuis que l'état major de Hyundai a changé et semble plus à l'écoute des retours des pilotes, avec une voiture évoluant donc plus vite (ou différemment, c'est selon) que sous la direction de Nandan.
En fait, je suis même surpris qu'il soit surpris, tant il paraissait déjà être sorti du jeu depuis un bon moment déjà. Et logiquement selon moi.
CitationEt, si ni Pirelli ni Michelin ne viennent, que vont-ils faire ? Ils finiront par trouver quelqu’un, mais quel sera le niveau du championnat ? Ceux qui ont pris cette décision ne se rendent pas compte du travail que cela représente d’obtenir des pneus performants. Pour la Suède par exemple, il faudrait commencer les essais dès cet hiver pour être prêt en février 2021 ! »
Je sais pas ce qu'il mettent dans leurs petits fours à la FIA, mais ça semble être à base de poudre. Sans doute de la farine avariée
Au niveau du sujet des pneus, problématique absolument cruciale en rallye : le fait qu'ils aient commencé par s'en prendre à la F1 dont on connait l'état actuel, n'a absolument rien de rassurant
L'article ne précise pas pour quels jours de 2019 sont programmées la mise en bière de Latvala et la mise en boîte de Meeke ?
Perso je serais quand même curieux de voir où il se situerait si il y avait un éventuel retour , sinon j'adorerais le voir poutrer la moitié des Hyundai au volant d'une ford , rien que pour emmerder Adamo.
Je ne l'aime pas
Il n'est pas chez Toy mais la mise en plis de Mikkelsen on en parle ?
Il y a 2 heures, salociN a dit :En fait, je suis même surpris qu'il soit surpris, tant il paraissait déjà être sorti du jeu depuis un bon moment déjà.
Qu'il soit surpris du choix ne m'étonne pas, ce n'est pas comme si personne n'avait été appelé. Car enfin, sur l'ensemble de la carrière Paddon a une victoire à son palmarès que Breen n'a pas, au niveau performances l'an passé, Breen et lui c'était un peu kif-kif et enfin aucun des deux n'a recouru en WRC depuis l'Australie. Dans ces conditions, comme on peut les mettre sur un pied d'égalité en ce moment, on se demande pourquoi Adamo va chercher un pilote PSA alors qu'il a un ex-Yaoundé sous la main.
Moins que pour ses performances (fort moyennes en 2017), la non-surprise vient surtout du fait que Hyundai l'avait - depuis un petit moment déjà - assez clairement placardisé, à moins que l'on ne considère le poste de représentant de Hyundai NZ comme étant majeur. Et avec Adamo, l'impression d'être passé à autre chose est encore plus marquée.
Bref, à mon sens, il a été dupe de la situation parce que son égo se situe bien au delà de l'estime que Hyundai lui porte, quoiqu'au jugé global, son agacement soit compréhensible.
Je n'ai en revanche pas la moindre compassion pour lui, l'ayant toujours trouvé surcôté
Je le comprends.
Après son accident du MC qui aurait pu le faire sortir complètement du jeu, il a prouvé en 2018 qu'il était au niveau sur quasiment toutes ses sorties.
Si Adamo n'en veut pas, c'est une chose. Mais alors qu'il décroche son téléphone et qu'il lui dise.
Ca se faisait beaucoup au siècle dernier. Les équipe des constructeurs avaient un ou 2 titulaires et souvent ils ajoutaient un local qui connaissait bien le rallye en question...
Ils n'auront qu'à rouler sur les jantes