J'ai vérifié
Sur la fiche technique ils annoncent un coffre de 200 litres ...
| Performances Porsche 928 S4 (1986-1990) |
|---|
| Dimensions Porsche 928 S4 (1986-1990) | |
|---|---|
| Longueur | 452 cm |
| Largeur | 184 cm |
| Hauteur | 128 cm |
| Coffre | 200 litres |
| Poids | 1580 kg |
https://www.autotitre.com/fiche-technique/Porsche/928/S4
Cela me rappelle qu'on a fait une paire de fois le même gag en reconnaissances sur le mulet d'un pote garé devant un restaurant : un hareng, un bout de fil de fer, une savante reptation sous l'auto, ligature du hareng sur l'échappement juste après le collecteur et effet garanti deux minutes après la mise en route ! 
Une grenade à plâtre dans la 309 de mon adjudant garée sur le parking des sous-of dans la caserne ça compte ? 
Il y a 18 heures, Bignonn a dit :Rien à voir avec les superbes anecdotes de Zoréol, mais un gentil souvenir. Rallye de la mirabelle 1996 (je crois pas qu'il y ai eu d'autres éditions).
Mon copilote n'est pas dispo pour les recos, je les fais avec un pote qui va aussi me faire l'assistance.
Après le départ, une belle allonge sur 500m juste ralentie par un droite en 4 rapide puis 300m à fond avant un sommet sans visibilité suivi d'un gauche en 5 soulagé. Je dis au copi de remplacement de noter léger - frein sur sommet et FREIN pour attention gauche 2 sale! -
Il s'exécute sans poser de questions.
Le lendemain, mon vrai copilote est arrivé, le temps est affreux, les routes style touquet gorgées de glaise et de flotte.
Au départ, je demande au copi de vérifier la radio, sous prétexte de grésillement. 3.2.1 c'est parti, je hurle "j'entends rien " accompagné du geste qui va avec, belle glisse dans le d4+ , le copi s'epoumone, je lui dis "c'est bon je connais " .
La sunbeam lotus marche à merveille, on arrive à 7000trs/mn en 5 juste avant le sommet, il hurle "frein pour sommet et frein pour attention gauche 2 sale"
"Quoi " je gueule.
Il répète encore plus fort et s'accroche aux harnais devant l'imminence de la sortie... et decouvre ma supercherie.
Con....rd con...rd con...rd!
Le reste du rallye se passe bien, je découvre que la lotus sous la pluie reste plutôt performante, on termine 2 de classe et 4 de groupe, 15 au scratch, une bonne journée pour moi. On recharge sur le plateau.
Arrivés au patelin assez tard, mon copi va deposer ses casque, combi chez lui avant de m'aider à décharger la voiture en bas du col qui va chez moi. (J'habite 6km plus haut et remonter un plateau chargé dans les pentes à 20% avec ma 505 sr s'avère impossible). Donc la lotus va réveiller les voisins qui penseront "c'est pas vrai, il a encore pas cassé sa voiture " et la 505 remonte le plateau à vide .
Dès le 1er km , une odeur très forte envahit l'habitacle et devint rapidement insoutenable.
Connaissant mon aversion pour le fromage, mon copilote avait pris soin de récupérer chez lui un munster qu' il encastra délicatement dans le collecteur d'échappement de la sunbeam.
Quelques documents d'époque :
Dans ma mémoire j'étais 15 au scratch. On enjolive les souvenirs en vieillissant.
Merci pour ce beau document. 
il y a une heure, Bignonn a dit :Dans ma mémoire j'étais 15 au scratch. On enjolive les souvenirs en vieillissant.
On te mettra juste une prune 
Il y a 1 heure, Armin a dit :On te mettra juste une prune
Une gentiane 
Il ne faudrait pas le prendre pour une poire 
Celle-là, je ne l'ai pas vécue, elle m'a été rapportée par Super Mario.
Tour Auto, je ne sais quelle année, départ de Biarritz. Toute l'équipe Simon, avec bien sûr Cabaniols et Labrot, mais aussi les inévitables Ricciardi et Patrice - Photo Floue investissent une salle de restaurant ovale : à l'entrée, une porte, bien sûr mais au fond une autre porte qui donne sur les toilettes.
La bande de Lustucrus n'est pas encore installée que deux dames extérieures à cette assemblée de fadas vont aux toilettes. Sur le commandement du Vieux, une barricade de tables et de chaises est dressée devant la porte du fond et quand elles veulent ressortir, elles se trouvent face à un rempart infranchissable. On finit par les dégager et le repas commence. Le Patrice n'est pas un grand gastronome, il mange peu, et lorsqu'il commande un steak, il faut que celui-ci soit cuit et recuit et ressemble à une semelle. Assis tout au fond de la tablée, il demande au garçon de recuire son bout de barbaque pendant que les autres commencent à manger. Lorsque le garçon revient avec la viande recuite, Simon lui dit : "Posez-la ici; on lui fait passer". Il s'en coupe un morceau qu'il enfourne, tend l'assiette à son voisin qui en fait de même, et ainsi de suite jusqu'à ce qu'elle parvienne à Patrice : vide !!!!!!!!!
Pas découragé, Photo Floue commande un autre steak qui doit être bien cuit naturellement, ce qui prend un certain temps. Il se fait livrer le plat en mains propres, et comme les autres ont déjà fini depuis belle lurette et qu'il faut bien s'occuper, ils entreprennent de le bombarder avec tout ce qui leur tombe sous la main. L'autre se lève et disparaît par la porte du fond : "Vous êtes trop cons, je vais bouffer aux chiottes !" Labrot le suit, compatissant : "Attends, je t'apporte tes frites."
Ils ont à peine disparu que Simon appelle le patron : "Monsieur, c'est intolérable, Madame sort des toilettes et il y a deux homosexuels en train de se livrer à des attouchements !"
Le patron, furibard, file comme une fusée et en ressort trois secondes après en tenant Claude et Patrice par le colbac : "Pas de ça dans mon établissement ! Dehors !"
Les deux autres ne comprennent pas ce qui se passe et sortent, médusés, sous les rires et les quolibets de toute la tablée. 
Et deux autres avec le même loustic.
Patrice faisait un peu de trial moto avec une Bultaco. Il se prend une bonne gamelle dans les rochers et s'esquinte la main. Naturellement, il déboule une heure après à la clinique Saint Roch pour voir notre sauveur à tous dans ce genre de situation, Henri Cabaniols. Radio qui ne révèle rien d'anormal, et Riton, sérieux comme un chirurgien avant l'opération de sa vie :
"Je vais te faire quatre petits points, mais comme je te sais douillet, on commence par une toute petite anesthésie locale."
Il fouille dans un placard et en sort une énorme et improbable seringue, genre le truc à donner un lavement à un éléphant. Et il commence à poursuivre Patrice dans les couloirs de la clinique, lequel braille : "Au secours ! Le chirurgien fou veut me tuer !" 
L'autre, juste avant le Critérium des Cévennes. Patrice vient de prendre possession la semaine précédente d'une Toyota Tercel toute neuve. Il passe à l'ASA et dit à Alain :
"Je vais faire un tour de reconnaissance dans deux ou trois spéciales pour voir si les bosses sont toujours là pour les photos.
- Je viens avec toi, je dois raviver les lignes de départ et d'arrivée."
A l'arrivée de la Cadière, Alain sort de la boîte à gants la bombe de peinture, l'agite longuement, et au moment où il ouvre le capuchon, il arrache tout et le jet de peinture blanche entreprend de repeindre l'intérieur du pare-brise, le tableau de bord, la garniture de porte et la moquette. Dans l'affolement, il peine à trouver la commande de vitre électrique, finit par balancer la bombe qui ricoche sur le tronc d'un châtaignier et revient au pied de la Toy' où elle refait la peinture de la porte et de l'aile avant.
Heureusement, Lasalle et sa station-service sont à deux pas : les deux compères achètent cinq litres d'essence et nettoient ce qui est encore sauvable, avec un Patrice de l'excellente humeur que vous imaginez !
Nan mais serieux , il faut que t'ecrives un recueil, toi 
En exclusivité une photo de Super Mario au ravitaillement à l'assistance du Monte-Carlo 2011.
C'est celui de droite
Le même à l'époque qui nous concerne davantage, dans un Echappement de 85. En ce temps-là, nous avions tous nos surnoms, "le lapin" pour Couloumiès, "Photo Floue" pour Patrice, "le chirurgien fou" pour Cabaniols (moi, c'était "le prof-journaleux"). En regardant les avant-bras de Super Mario, vous comprendrez pourquoi Patrice -qui avait la pilosité d'un œuf- ne l'appelait jamais autrement que "le tout plein de poils" ! 