Y aura des belles choses à faire , ce soir, avec l'éclipse, non ?
Je vais voir si depuis la digue du port de Fontvieille on peut la voir...
Le seul problème, c'est que j'ai un gros apéro à partir de 19h00, en bas de cette digue
bien joué !
Je cherchais une connerie à mettre en réponse mais je ne trouvais pas ...
C'est ce qu'on peut appeler du travail d'équipe
Ça c'est une boisson de filles...
Moi c'est plutôt Margaritas et Mojitos (les deux avec un "s")
Du coup j'ai décidé de manger sur place un S.E.C.B. (ce n'est pas un Sporting Étoile Club de Bastia, mais un Saussages, Eggs, Beans and Chips)
Toi, t’es passé chez SOCH !
Saucisses
Oeufs
Chips
Haddock (pas le Capitaine...)
Haricots (Beans)
Mais c’est ça
Aller, j'y vais, souhaitez moi bonne chance... En ranche, plus sérieusement il y a pour l'instant pas mal de brume, espérons qu'elle se lèvera à temps !
Si tu ne la vois pas , fais nous quelques clichés de lunes monegasques sur la digue ...
Sauf si elles se font vieilles .
Désolé, mais à cause de la brume de chaleur, on entrevoyait la lune rouge, mais impossible de faire des photos
En revanche, Mars était bien visible en bas à droite de la Lune.
Il y a 22 heures, Armin a dit :Ça c'est une boisson de filles...
Moi c'est plutôt Margaritas et Mojitos (les deux avec un "s")
Du coup j'ai décidé de manger sur place un S.E.C.B. (ce n'est pas un Sporting Étoile Club de Bastia, mais un Saussages, Eggs, Beans and Chips)
@ArminAu Ship and Castle ?
Tout à fait
Il y a 7 heures, Zoréol a dit :Il y a une heure à deux pas de chez moi :
Jésus aime
Un petit tour en Namibie ?
Dès l'arrivée, les billets de banque mettent dans l'ambiance :
La réserve d'Etosha est trois fois plus grande que la Corse. Pas besoin de 4/4 si l'on ne va pas dans le désert du Kalahari, les pistes sont bonnes et une Nissan Primera a fait l'affaire pour moi : et là, on en prend plein les yeux ! De loin en loin, sur une surface soigneusement débroussaillée, un enclos que l'on referme précautionneusement après y être entré pour le pique-nique ou les pipi-rooms : les animaux sont en liberté, les humains en cage. Bien sûr, faut pas crever ou tomber en panne sur la piste car des bestioles à grandes dents pourraient vous observer et vous mettre à leur menu...
Les girafes sont toujours amusantes quand elles boivent...
Dans la réserve, il y a trois camps, véritables châteaux-forts dont les portes sont fermées dès la tombée de la nuit et rouvertes à l'aube. Nous avons quitté l'un d'eux aux aurores et roulons depuis une grosse heure lorsque nous croisons un Land Cruiser qui nous fait des appels de phares : "Six lions one mile ahead !" me dit le conducteur. Et effectivement, ils sont là à se désaltérer dans les flaques laissées sur la piste par un orage nocturne. Je me mets en travers de la piste et je commence à shooter. Marianne est moyennement rassurée lorsqu'ils reprennent leur marche et s'approchent de sa vitre qu'elle a laissée ouverte pour les photos...
Les oryx, à mes yeux les plus belles antilopes...
Et la maman autruche avec ses poussins au mimétisme parfait dans la savane...
Sortis d'Etosha, on n'est pas à l'abri de rencontres pour autant !
Les gravures rupestres de Twifelfontein : le site est libre d'accès et il n'y a personne. Toutefois, une pancarte indique qu'outre serpents, scorpions et autres tarentules, il est possible, quoique rare, de rencontrer un lion : dans ce cas, ne surtout pas lui tourner le dos et détaler, vous seriez immédiatement perçus comme une proie potentielle. Rassurant !
Et l'on retrouve l'Atlantique : le très froid et très poissonneux courant de Benguela enveloppe souvent cette côte dans le brouillard, d'où les nombreuses épaves échouées. C'est la Skeleton Coast, en raison des squelettes de baleines que l'on y trouve parfois : il paraît que, très curieusement, les lions viennent alors jusque sur la plage consommer les carcasses mais nous n'avons pas vu ça ! Toujours sur cette côte, les otaries de Cape Cross : bonjour le bruit et surtout l'odeur !
Dans le désert de Namib, un improbable bistrot-garage-épicerie et son tout aussi improbable tenancier : le nom du lieu est bien évocateur !
Et l'on finit par les dunes de Sosulvlei, paraît-il les plus hautes du monde : sacrée bavante pour gravir leurs trois-cents mètres dans du sable ressemblant à de la semoule fine !
C'est tout pour aujourd'hui...
Aujourd'hui, nous allons en Argentine et au Brésil.
La Péninsule Valdès, porte de la Patagonie, avec ses éléphants et ses lions de mer : c'est là que les orques s'échouent sur la plage pour happer les pinnipèdes, mais ce jour-là, elles avaient dû trouver un autre garde-manger.
Un peu plus au sud, les manchots de Magellan à Punta Tombo :
Un coup d'aile plus tard, Ushuaïa, la ville la plus australe du monde, son phare dans le canal de Beagle, son vieux DC3 et l'incontournable spécialité argentine, l'asado.
Encore un vol (nous ne sommes pas très bons pour le bilan carbone ) et le glacier Perito Moreno qui lâche ses icebergs dans le Lago Argentino. Mais aussi d'autres glaciers (Uppsala, Sperazzini).
Encore un coup d'aile, et nous retrouvons des latitudes plus clémentes, avec cette estancia et ses gauchos dans la pampa à une centaine de kilomètres de Buenos Aires...
... et enfin la capitale, avec ses boîtes à tango, la maison rose (palais présidentiel) sur la place de Mai où "les folles de Mai", les mères des disparus à l'époque de la junte, continuent à manifester chaque semaine, et le très coloré quartier du Caminito à la Boca :