J'ai toujours été impressionné par les processions des Malbars. La dernière que j'ai vue,c'est à
Grand-Baie,ils avaient fait une halte sous la terrasse de mon restaurant.
J'ai vu 3 marches sur le feu dont celle du petit copain d'une de mes nièces à St Gilles les hauts.
Et à chaque fois,je suis resté "baba"...
La marche sur le feu, je l'ai photographiée, mais c'était de l'argentique à l'époque et je ne sais plus où c'est passé. C'est pas du chiqué, les Malbars font un feu d'enfer dès avant l'aube et à quatre heures de l'après-midi, quand on est près du tapis de braises d'une dizaine de mètres de long, c'est comme si on était au bord d'une coulée de lave. Il le traversent pourtant pieds-nus, leur lourd Karlon (cette couronne de fleurs qui peut peser vingt kilos) sur la tête, et au bout de la fournaise, se rafraîchissent les pieds dans un mélange d'eau et d'eau de coco sans aucun dommage : il faut le voir pour le croire. Après, c'est la décapitation sacrificielle des cabris (en fait de gros boucs élevés pour cette occasion) et il faut avoir l'estomac bien accroché, mais je ne suis pas B.B. . Ensuite, les femmes préparent un massalé d'enfer avec les cabris et tout le monde est invité, même les Zoreys judéo-chrétiens agnostiques comme nous.
Promis, lors de la prochaine marche sur le feu (mais c'est surtout en janvier-février), j'essaierai d'aller vous tirer quelques clichés !
Les photos ci-dessus sont prises (deux années différentes) lors d'une cérémonie qui se tient à Grands-Bois le 1er mai, mais la CGT n'a rien à y voir !
Passer derrière Zoréol est une difficulté insurmontable...
Non seulement il (et Marianne) écume tous les continents de fond en comble, mais en plus il nous abreuve de très belles images !
Je vais donc la "jouer petite" et vous narrer notre escapade nautique en Méditerranée et dans deux groupes d'îles situées en Atlantique au large du Maroc...
Départ depuis Nice en bus direction Gênes (je vous rappelle qu'il n'y a plus de pont à l'entrée de la capitale de Ligurie et qu'il nous faut donc faire un détour afin d'arriver au port)...
Première escale... Marseille
Nous avions appelé un ami corse qui vit là-bas et il nous attendait à la descente du bateau pour nous amener manger sur le vieux port.
Une bise au passage à la Bonne Mère.
Le soir, départ direction Barcelone où nous avons prévu une journée "Gaudi" et nous n'allons pas être déçus
Tout d'abord le Parc Güell où l'architecte catalan a "sévi"...
...avant de s'attaquer à la Sagrada Familia.
Commencés en 1882, les travaux ne sont toujours pas terminés.
La fin du gros œuvre est prévue en 2026 (soit 144 ans après l'ouverture du chantier) et l'achèvement "définitif" en 2032
C'est complètement fou et grandiose !!!!
Nous remontons sur notre bateau et prenons la direction d'une autre ville espagnole située sur une île en Atlantique, Santa Cruz de Tenerife, aux Canaries.
Après deux jours de mer, je dois avouer que je suis très déçu par cette escale.
D'une part il bruine... et le lieu ne me suscite aucun intérêt.
Même la dégustation de vin n'est pas au top
Départ pour une nuit de mer, direction Madère et sa capitale Funchal.
Là, j'ai le coup de cœur... Il n'y a rien de plat, c'est une île volcan qui plonge dans la mer.
Au Cabo Girão, il y a un promontoire en verre qui surplombe la mer de près de 600 mètres !!!
Et pour nos amis fans de footebol, c'est le lieu de naissance d'un joueur de légende...
En quittant l'île nous passons à proximité de l'aéroport qui est considéré comme un des plus dangereux au monde...
La seule et unique piste est... sur pilotis !
Demain, escale à Tanger, au Maroc et retour en Méditerranée...
Connaissant assez bien le Maroc, mais pas Tanger, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais un a priori négatif pour cette porte entre l'Afrique et l'Europe. J'ai été agréablement surpris par le Cap Spartel, les grottes d'Hercule et la Médina, d'une blancheur éclatante et très propre.
Nous quittons le port en début d'après-midi pour retourner en Méditerranée à travers les "Colonnes d'Hercule" (le détroit de Gibraltar) qui est le seul accès entre l'Atlantique et "Mare Nostrum".
Nous laissons donc l'Afrique sur tribord et apercevons l'Europe à bâbord...
Une vision de Ceuta, enclave espagnole au Maroc
Et juste en face le rocher de Gibraltar, encore détenu par les Britanniques, mais pour combien de temps ?
Puis direction la ville de Carthagène en Espagne.
Merci de nous faire partager vos voyages et vos magnifiques photos.
A travers elles, il faut se rendre compte qu'on a une chance inouïe de vivre sur ce bout de caillou posé au milieu de nulle part et que les sévices que nous lui faisons subir sont tout simplement abominables.
Entre autres, ces baleines magnifiquement photographiées ingèrent des kilos et des kilos de plastique par jour.
Bref, montrer la magnificence de notre planète est peut-être la meilleure chose à faire pour convaincre les sceptiques sur les dégâts engendrés par les différentes pollutions. Si vous voulez continuer à voir cette beauté, chaque geste compte.
Et il n'y a pas de plan B pour la planète.
Fondée par un général carthaginois (d'où son nom de Cartagena) vers 200 av JC, je m'attendais à une ville très marquée historiquement... et je fus assez déçu dans l'ensemble
Quelques rues attirantes autour du port avec des "Tapaseria" sympathiques...
Après un jour de mer, qui va nous permettre de rejoindre la mer Tyrrhénienne, nous alors jeter les amarres pour notre dernière escale, à Civitavecchia, le port de Rome (situé quand même à plus d'une heure et demi de route).
Connaissant déjà la capitale italienne, nous décidons d'aller faire un tour à pieds et découvrir ainsi cette ville portuaire...
Quelle erreur ! Il n'y a rien à voir... en dehors d'un fort situé sur les quais et du siège local du PC (oui, on en trouve encore en Italie )
Voilà, après une courte nuit de navigation nous retrouvons la célèbre "Lanterna di Genova". Ce phare qui surplombe le port de Gênes (80 mètres) est le plus haut de toute la Méditerranée, le cinquième au Monde.
Petite anecdote, il y a une trentaine d'année, deux individus peu recommandables qui travaillaient à Radio Monte-Carlo Italie, ont tenu en haleine les auditeurs toute la journée du 1er avril, en diffusant de faux reportages en direct du port de Gênes, où la municipalité avait décidé de détruire cet ouvrage pour le remplacer par un projet immobilier. Journée qui s'était,évidemment terminée par le dynamitage en direct du phare
Vous aurez compris que j'étais un de ces deux délinquants
Il y a 6 heures, Armin a dit :Fondée par un général carthaginois (d'où son nom de Cartagena) vers 200 av JC, je m'attendais à une ville très marquée historiquement... et je fus assez déçu dans l'ensemble
Je ne connaissais pas cette ville d'Espagne et nous y sommes passés il y a quatre ans. Effectivement pas un intérêt historique extraordinaire comme on aurait pu le supposer, quelques bons bars à tapas comme tu le dis et un peu d'animation sympathique le soir près du port (nous étions au mois d'août).
Par contre, un peu à l'extérieur de la ville, deux curiosités m'ont intéressé, même si elles ne méritent pas le voyage jusque là-bas :
La Mar Menor, une très grande lagune reliée à la Méditerranée par un tout petit bras de mer d'un kilomètre tout au plus de large. L'originalité, c'est qu'elle est justement séparée de la pleine mer par un très long lido de 21 km, assez étonnant.
Aux portes de la ville, à la Union, la visite des mines de plomb et d'argent qui ont été exploitées de l'antiquité au siècle dernier avant épuisement des filons. Plus que la visite de la mine proprement dite, pourtant assez intéressante, ce sont les alentours avec les dépôts de stériles, les nombreux trous dangereux -mais bien signalés- donnant une impression de friche industrielle "après la bombe" dont j'ai trouvé l'ambiance un peu glauque intéressante.
La Réunion à thèmes, après les fleurs, les fruits.
L'ananas, en fleur et en jeune fruit :
Savez-vous que les Créoles consomment la fleur rouge que vous voyez sous le régime de bananes ? On l'appelle le baba figue, et finement haché, il se prépare en cari avec du boucané (du lard fumé).
Le fruit à pain, assez utilisé à Madagascar et à Mayotte, mais pas trop à la Réunion : quelquefois sous forme de chips salées pour l'apéro ou alors dans un gâteau bien bourratif !
Là, après un cyclone, hécatombe de mangues. Si elles ne mûriront jamais, elles ne sont pas perdues pour autant : hachées, mélangées à un peu de gingembre, d'huile, de sel et du piment elles donnent un rougail mangue verte qui accompagne les caris.
Ce qu'on appelle ailleurs la chayotte ou la christophine et ici le chouchou. Le fruit -cultivé essentiellement à Salazie- se consomme surtout en gratin, mais les jeunes tiges et pousses sont également utilisées comme verdure en accompagnement des plats : on dit alors les brèdes chouchou.
Petite anecdote vécue il y a quelques années dans mon collège. Si le chouchou est bien ce fruit-légume ci-dessous, la chouchoute désigne en Créole le sexe féminin. Une jeune collègue d'Anglais -blonde ! - était arrivée de Tours au début de l'année scolaire. Cherchant à s'intégrer rapidement, elle nous demandait des recettes, des tuyaux pour des balades, etc., ce qui est d'ailleurs tout à son honneur . Bref, elle arrive un matin en salle des profs toute contente d'elle et annonce à la cantonade : "Hier soir, j'ai fait un gratin de chouchoute à mon mari, il s'est régalé !" Tout le monde pleurait de rire et elle ne comprenait pas pourquoi !
Le roi des marchés et des bords de route en décembre est ce que le monde entier appelle lychee ou litchi, mais que nous ne connaissons sur l'île que sous le nom de letchi.
Poussant de préférence dans le sud, le vacoa et son fruit le pinpin dont le cœur, débarrassé des gousses extérieures se consomme avec du boucané.
La fleur de passiflore et son fruit au parfum envoûtant, le maracuja ou fruit de la passion.
Et le papayer qui, tout comme le bananier d'ailleurs, n'est pas un arbre mais une plante. Facilement cassé lors d'un cyclone, la nouvelle plante qui suivra grandira vite et donnera des fruits en quelques mois.
Et puis, d'autres produits de la terre caractéristiques -ou non-.
A tout seigneur tout honneur : si vous avez mangé des cœurs de palmier en boîte ou en bocal venant d'Amérique du Sud et que vous avez moyennement aimé, oubliez ! Le chou palmiste fraîchement coupé et préparé simplement en salade avec une vinaigrette (très légère pour ne pas altérer le goût) ou un simple jus de citron dégage un goût de noisette inimitable. On peut aussi le découper en tronçons et le cuire dans un cari de poulet ou de porc, mais c'est dommage à mon avis. Un vendeur de choux palmistes à Saint Joseph. L'arbre planté à ces fins doit être sacrifié à l'âge de sept-huit ans. Les choux peuvent être de différentes tailles. Au premier plan, des chouchous et un chou de vacoa.
Lorsque j'achète un palmiste, je mets deux heures à le découper, alors qu'au petit restaurant familial Chez Moustache au Tremblet, le fils de la famille et excellent cuistot vous prépare ça en deux minutes. Autant aller le déguster là-bas !
Marianne adore cela. En général, nous prenons une salade pour deux parce que la suite est toujours roborative, puis je goûte autre chose alors qu'elle persiste et signe avec ce cari poulet dans lequel on voit bien les morceaux de palmiste coupés plus gros.
Et en accompagnement du riz et du cari, le grain s'impose : haricots rouges ou rosés, pois du Cap ou lentilles. Il paraît que celles de Cilaos sont parmi les meilleures du monde, tout au moins c'est ce que Jean-Pierre Coffe disait : les champs de la spécialité du cirque à Îlet à Cordes :
Bien sûr, la vanille. Importée du Mexique comme plante d'ornement, elle ne donnait pas de fruits car l'insecte pollinisateur très spécifique n'existe pas à la Réunion. C'est un jeune esclave, Edmond Albius, qui trouva le moyen de polliniser en fendant la fleur avec une lame de rasoir et en mettant en contact étamines et pistil. Mais il faut passer tous les matins dans les plantations car la fleur éclot à l'aube et deux heures après c'est trop tard pour réaliser l'opération. Voilà donc les boutons non encore éclos :
Et les gousses sur le pied qui ressemblent à des haricots verts : ce n'est qu'après de longs mois de manipulations continuelles qu'elle prendront leur teinte brune et seront consommables. Entre la fertilisation et la maturation effectuées exclusivement à la main, on comprend que ce soit si cher !
Et juste un aperçu de la culture principale de l'île, la canne à sucre. La récolte s'étale entre juillet et septembre (on dit "la coupe canne"). Les planteurs coupent dans les champs, manuellement (le plus souvent) ou parfois de façon mécanisée. La canne doit être traitée très rapidement pour conserver sa teneur en sucre. Ils emportent donc leur chargement sur la remorque de leur tracteur vers la balance (il y en a partout sur l'île) où il est pesé et où l'on mesure le taux de sucre. Puis, c'est transféré par cette trémie dans ces semi-remorques verts que l'on appelle des cachalots et convoyé immédiatement vers l'une des deux énormes usines sucrières qui subsistent, l'une dans le sud-ouest, l'autre dans le nord-est.
il y a une heure, Zoréol a dit :Bien sûr, la vanille. Importée du Mexique comme plante d'ornement, elle ne donnait pas de fruits car l'insecte pollinisateur très spécifique n'existe pas à la Réunion. C'est un jeune esclave, Edmond Albius, qui trouva le moyen de polliniser en fendant la fleur avec une lame de rasoir et en mettant en contact étamines et pistil. Mais il faut passer tous les matins dans les plantations car la fleur éclot à l'aube et deux heures après c'est trop tard pour réaliser l'opération. Voilà donc les boutons non encore éclos :
Et les gousses sur le pied qui ressemblent à des haricots verts : ce n'est qu'après de longs mois de manipulations continuelles qu'elle prendront leur teinte brune et seront consommables. Entre la fertilisation et la maturation effectuées exclusivement à la main, on comprend que ce soit si cher !
La vanille fait partie de ces produits exotiques (comme le poivre) dont peu de personnes se doutent à quel point ce peut être extraordinaire et pourquoi il est si cher.
J'ai eu la grande chance de goûter de vraies gousses de vanilles produites artisanalement provenant de Madagascar et de la Réunion. C'est tout simplement grandiose. La puissance aromatique est proche de la truffe, ça embaume la maison. Et idéalement, dans une crème anglaise, juste un cake ou, plus original, pour aromatiser un tartare de poisson ou des coquilles St Jacques, c'est tout simplement divin...
Il y a 23 heures, Stephane66 a dit :La vanille fait partie de ces produits exotiques (comme le poivre) dont peu de personnes se doutent à quel point ce peut être extraordinaire et pourquoi il est si cher.
Le chou palmiste et la gousse de vanille sont des produits coûteux, même ici sur place.
Alors des loustics peu scrupuleux vont soit couper les derniers palmistes sauvages -qui sont rigoureusement protégés- soit dévaster nuitamment une plantation qu'un gars a regardé patiemment pousser pendant sept ans . Pour la vanille, c'est la même chose : la plante qui est une orchidée pousse sous forme de liane en s'accrochant aux troncs des arbres. S'il existe quelques rares plantations organisées où l'on fait grimper la vanille sur des tuteurs (généralement des vacoas préalablement plantés qui leur offrent support et ombre, car elle n'aime pas le plein soleil), 99 % des lianes se trouvent clairsemées dans les forêts de basse altitude de la côte sud. Mais ce n'est pas parce qu'elles semblent sauvages qu'elles n'ont pas été plantées, entretenues et surveillées soigneusement : il arrive que des gougniafiers viennent voler les plus belles gousses au moment où elles sont prêtes à être récoltées. Dans un cas comme dans l'autre, les malfrats sont désignés ici comme braconniers (eh oui, il n'y a pas que pour les animaux ! )
Pour cela, lorsqu'un planteur honnête coupe ses choux palmistes, il y appose un poinçon spécifique. Même chose pour les gousses de vanille vertes (mais là, la marque disparaîtra à l'étuvage et au séchage) : de toute façon, le traitement est si long et complexe que les braconniers ne revendent qu'à des malhonnêtes qui savent comment procéder. Si j'ai des gousses vertes, je serai incapable d'en faire quoi que ce soit !
Bref, si le problème ne se présente pas en ce qui me concerne pour la vanille, lorsqu'il m'arrive parfois de m'arrêter à un vendeur de bord de route acheter un chou palmiste, je vérifie bien qu'il est porteur du poinçon, et je charrie toujours le gars :
" Ou lé sûr ça lé in chou chrétien***, hein ? Lé pa in palmiste braconné ?
- Té, Monsieur, pou qui ou prend à moin ? Mi lé pas in volèr, ma la plant' mon bann' palmistes dann' mon karo !"
Mais il vaut mieux bien regarder, car si tu te fais choper avec un palmiste sans poinçon lors d'un contrôle, tu es recéleur, ta voiture est saisie et tu te retrouves au tribunal. Ce qui est bien entendu tout à fait normal !
*** Dans notre île encore très pratiquante, ce qui est honnête "est chrétien". Ainsi, lorsqu'un jeune kanyar se fait serrer sur un scooter dont on peut penser qu'il l'a tiré la nuit précédente, il dit aux gendarmes : "Non, M'sieur, mi di a ou, mon booster lé chrétien!" Ce qui n'est pas toujours vrai !
Repas au domaine du Chasseur avec une vue sympa, et les arbres du voyageur.
Le marché de Port-Louis.
Un jardin d'anthuriums, des plantes épiphytes et l'arbre nommé "cauchemar du singe"
Le Pieter Both et son curieux rocher sommital.
Dans le sud, les orgues basaltiques de Rochester Falls.
Et tout près, un domaine qui produit du rhum agricole dont on attend la dégustation.
Ça par contre , ça fera peut être partie de mes prochaines destinations
Une semaine à Maurice, c'est suffisant. Fais un stop d'une semaine à la Réunion, tu auras le gîte et le guide "péi".
Merci c'est sympa, mais si ça se fait ça ne sera qu'une semaine, je n'aime pas partir plus , et chez Maurice j'ai un bon guide aussi
Heu .... c'etait pas une blague hein ...
Et trente kilomètres plus loin, on se sustente au Tremblet chez Moustache d'une succulente salade de palmiste frais...
Puis d'un non moins excellent cari canard vanille (un peu flou ) pour moi...
... et pour Marianne de filets de poisson rouge au combava, les deux avec des zambrovates qui sont de plus en plus rarement proposés dans les restaurants :
Non, on n'a pas sorti Arsène de l'aquarium : le poisson rouge, à la Réunion, c'est cette espèce de petit mérou :