Socrate et la maïeutique
Socrate était un philosophe grec réputé pour sa sagesse et également pour son art d’accoucher les esprits : la maïeutique
Un jour qu’il se promenait sur l’agora, il fut abordé par un quidam qui l’interpella ainsi :
– Socrate ! Sais-tu ce que je viens d’apprendre à propos d’un de tes élèves ?
– Attention ! lui dit Socrate, avant de dire quoi que ce soit, il faut que tu passes l’épreuve du triple filtre…
– Triple filtre ?
– Oui. Avant que tu ne me parles d’un de mes élèves, tu doit filtrer ce que tu vas dire… Le premier filtre est la VÉRITÉ. Es-tu absolument certain que ce que tu vas me dire est vrai ?
-Euh… C’est à dire… Non. Je l’ai juste entendu dire…
-Bien, tu n’es donc pas certain que ce que tu vas dire est la vérité.
-Le second filtre est la BONTÉ. Ce que tu as à me dire est-il bon pour mon élève ?
-Ben… pas exactement…
-Donc, tu veux me dire quelque chose qui n’est pas bon pour mon élève sans être sûr qu’il soit vrai. Essayons le troisième filtre, si tu veux bien: il s’agit du filtre de l’UTILITÉ. Ce que tu veux me dire est-il utile pour moi ?
-C’est difficile à dire, plutôt non, en réalité…
-Tu m’accorderas donc que tu souhaites me confier quelque chose de mauvais sur mon élève, qui ne me sera d’aucune utilité et dont tu n’es pas sûr qu’il soit vrai. Ne crois-tu pas qu’il vaudrait mieux, dans ce cas, te taire ?
-Si, Socrate, je vois bien que tu as raison. Je me tairai donc.
C’est par ce raisonnement que Socrate est passé à la postérité comme un grand sage.
C’est aussi de cette manière que Socrate n’a pas su que Platon le trompait avec sa femme. Et la maïeutique alors !
Un Irlandais ne se sent pas très bien depuis quelque temps et va chez son médecin. Après l'avoir examiné et ordonné toute une batterie d'analyses, le toubib le revoit la semaine suivante et lui annonce avec toutes les précautions d'usage qu'il a un cancer incurable et n'en a plus tout au mieux que pour deux mois.
Et que fait un Irlandais dans ce cas-là ? Il annonce la terrible nouvelle à son fils d'une vingtaine d'années et ils partent au pub essayer de dissiper ça dans de nombreuses pintes de bière. Après quelques verres, il se confie aux autres habitués : "Ça va mal, les gars, on vient de me diagnostiquer le Sida et je n'en ai plus pour longtemps."
Lorsque la cloche de fin de service retentit et qu'ils sortent, le fils s'enquiert :
" Mais papa, tu m'as confié que tu as un cancer et tu dis à tes potes que tu as le Sida, je ne comprends pas !
- C'est juste pour qu'aucun de ces enfoirés n'essaie de coucher avec ta mère quand je ne serai plus là..."
Le couple de septuagénaires
Un couple de septuagénaires se présente chez un médecin généraliste et l’homme demande aussitôt :
– Docteur, est ce que vous accepteriez de nous observer pendant que nous faisons l’amour ?
Le médecin, un peu confus, accepte et regarde ses deux « patients » se livrer à des ébats amoureux particulièrement torrides. Lorsque ils ont terminé, le docteur déclare :
– Vos pratiques sexuelles sont tout à fait normales… Il n’y a rien d’étrange dans votre comportement.
Et il présente une facture de 25 euros que le vieil homme s’empresse de payer.
La semaine d’après, la même scène se reproduit. Toujours rien d’anormal dans le comportement amoureux des deux septuagénaires. Et puis, chaque semaine pendant un mois, le même couple se présente chez le docteur et lui demande de les observer pendant leurs relations intimes.
Le docteur finit un jour par demander à son « patient »:
– Expliquez-moi donc ce qui vous inquiète… Tout m’a l’air absolument normal.
Et le vieil homme explique :
– Ça on le sait très bien mais comprenez bien une chose ; nous sommes tous les deux mariés mais pas ensemble donc il est impossible d’aller chez l’un ou chez l’autre pour coucher ensemble. Une chambre au Méridien pour l’après-midi, ça vaut 250 euros et chez vous, ça coûte 25 euros et j’en récupère 20 grâce à la Sécurité Sociale… Qu’est ce que vous feriez vous à notre place ?
Trois clients s'attablent dans un restaurant. Quand le patron vient prendre la commande, l'un deux lui lance :
- Je peux vous dire ce qu'il y avait hier dans ces trois assiettes
- Monsieur, fait le patron, nos assiettes sont impeccablement lavées en machine et essuyées.
- Je n'en doute pas, mais j'ai un odorat exceptionnel.
- C'est impossible. Si vous y arrivez, je vous offre le déjeuner à tous les trois !
L'autre prend la première assiette et la sent.
- Escalope milanaise
Il flaire la deuxième.
- Rougets à la provençale
Puis la troisième.
- Choucroute alsacienne
- Monsieur, fait le patron, vous êtes stupéfiant. C'étaient effectivement nos trois plats du jour, vous avez gagné !
Le lendemain, les trois clients reviennent.
- On fait quitte ou double ?
- D'accord, dit le restaurateur, je vais chercher les assiettes. Il passe dans la cuisine et dit à la jeune femme qui est aux fourneaux :
- Josette, ne cherchez pas à comprendre, prenez cette assiette et frottez-la contre votre foufounette !
La nommée Josette s'exécute, et le patron ramène trois assiettes dont celle-là. Le client flaire la première.
- Boeuf bourguignon
Il sent la seconde.
- Canard au poivre vert
Et enfin la troisième. Il a l'air surpris, la renifle de nouveau, et dit au patron :
- Josette travaille chez vous ?
Test d’embauche et les blondes
C’est un inspecteur de police qui fait passer un entretien d’embauche à trois blondes en vue de trouver la prochaine inspectrice.
Il regarde la première blonde avec dépit et lui montre une photo.
– C’est un suspect, regarde bien sa photo pendant 30 secondes et dis-moi comment tu le reconnaîtrais dans la rue ?
La blonde répond :
– Facile il n’a qu’une oreille.
Le visage de l’inspecteur se défait :
– Normal qu’il n’ait qu’une oreille, la photo est de profil.
Il se tourne maintenant vers la deuxième blonde et lui montre la même photo.
– Facile il n’a qu’un œil.
Le policier commence à s’énerver :
– Normal qu’il n’ait qu’un œil et qu’une oreille il est de profil.
Il se retourne vers la troisième blonde et lui lance :
– Réfléchis bien avant de dire une connerie. Comment reconnaîtrais-tu le suspect ?
La blonde un peu paniquée réfléchit avant de lancer un :
– Facile, il porte des lentilles de contact.
Le policier n’était pas au fait de cet indice et se précipite donc pour voir le dossier et vérifier l’information.
Le suspect portait en effet des lentilles de contact.
Il retourne vers la blonde, très surpris et lui demande
– Comment as-tu su qu’il portait des lentilles ?
– Facile avec un œil et une oreille il ne pouvait pas porter de lunettes.
Dans le bistrot d'un petit village nivernais, en tout début de soirée, un paysan a entrepris de se saouler méthodiquement. Un autre débarque :
" Qu'est-ce qui se passe ? Toi qui ne picoles pas d'habitude ! Il t'est arrivé quelque chose de grave ?
- Y a des choses qu'on ne peut pas expliquer...
- Oui, mais encore ?
- J'étais dans l'étable en train de traire la Roussette, elle a balancé un coup avec sa patte gauche et a renversé le seau.
- Pas bien méchant, quand même, pour se mettre à boire !
- Attends ! Il y avait une corde à côté, je lui ai attaché la patte à un poteau et j'ai recommencé à traire, mais elle a fichu un coup avec sa patte droite et a encore renversé le seau. Alors je lui ai attaché la patte droite et j'ai continué la traite. Et là, un coup de queue dans le seau. Comme je n'avais plus de corde à portée de main, j'ai pris ma ceinture pour lui attacher la queue à la poutre au-dessus. J'ai grimpé sur le tabouret et quand j'ai levé les bras, mon futal est tombé en tire-bouchon sur mes godasses. C'est à ce moment-là que ma femme est entrée dans l'étable : y a des choses qu'on ne peut pas expliquer !"
Accident de la route
Deux patients arrivent aux urgences le visage ensanglanté suite à un accident de voiture roulant face à face.
Le médecin de garde leur demande l’état des voitures.
« Elles n’ont rien » répond l’un des patients. « Il y avait du brouillard, on n’y voyait rien, on a ouvert la glace, sorti la tête pour mieux voir et quand nos voitures se sont croisées…. »
Au suivant
Quand j’étais plus jeune, je détestais aller aux mariages parce que mes vieilles tantes et mes grands parents venaient près de moi, me donnaient une grande claque amicale dans le dos en lançant un joyeux :
– T’es l’prochain, gamin !
Ils ont arrêté cette stupide blague quand j’ai commencé à la leur faire aux enterrements !
Quatre fois de suite…
C’est un homme d’âge très mur, du style 80 balais.
Il se rend chez le docteur :
– Docteur, j’ai un petit soucis. Voilà, j’ai une petite amie depuis un mois, du genre jolie petit canon de 20 ans.
– Eh bien, je ne vois pas où est le souci, dit le médecin souriant.
– Ben voila. Le problème est quand je vais coucher chez elle. Le premier, j’y arrive bien, sans soucis. Le deuxième, ça va assez aussi.
Le médecin est surpris des prouesses du vieil homme.
– Puis vient le troisième où je commence à fatiguer, et au quatrième je cale.
– Mais enfin, à votre age, quatre fois de suite. C’est extraordinaire.
– Oui mais ma copine, elle habite au cinquième…
Dans une mission au Sénégal dans les années 50, une jeune institutrice vient d'être nommée. C'est son premier poste au sein d'une école, et qui plus est, en plein centre d'une mission protestante puritaine... Elle apprend aux petits Sénégalais, le français, la religion, nos ancêtres les gaulois et les vieilles chansons françaises, conformément aux programmes nationaux de l’Éducation Nationale, appliqués en métropole.
Un inspecteur décide de lui rendre visite afin de la noter.
- Mademoiselle, qu'avez-vous appris à vos élèves ?
- Je leur ai appris les vieilles chansons françaises !
- C'est très bien, Mademoiselle !
L'inspecteur s'approche d'un élève et demande :
- Dis-moi, qu'est-ce-que Mademoiselle t'a appris ?
- Mam'selle m'a appris gentil Coqu'licot !
- Très belle chanson, dit l'inspecteur, tu me la chantes ?
Et le petit garçon de s'exécuter...L'inspecteur passe alors vers le fond de la classe...là où règnent en maîtres les cancres...
- Et toi, comment tu t’appelles ?
- Demba, monsieur.
- Et bien, Demba, qu'est-ce-que Mademoiselle t'a appris ?
- Les tétons !
- ???? Quoi ?
- Les tétons ! Oui, les tétons...et même après, ça dit "li bouts des seins..."
L'inspecteur se tourne vers l'institutrice, lui signifiant que c'est une honte que d'apprendre des chansons aussi dépravées à de jeunes enfants...et qu'il ferait un rapport au rectorat...
La pauvre institutrice, complètement affolée, dit à l’inspecteur :
- Je vous assure, Monsieur l'inspecteur, je ne leur ai jamais appris de telles chansons...
- Nous allons voir ! Demba, chante-nous donc ta chanson !
Et Demba s’exécute :
- Les tétons pétit navire, les tétons pétit navire...qui n'avait ja ja jamais navigué... Li bout des seins qu'à six semaines, li bout di sein qu'à six semaines…
Inspection dans une école retirée de Kabylie, bien avant l'indépendance. Le malheureux instit' a eu beaucoup de mal à apprendre à lire à ses élèves dont la plupart n'en sont qu'au stade du déchiffrage hésitant. Avant la venue de l'inspecteur, il les briefe : "Le Monsieur va écrire des mots au tableau, si vous n'arrivez pas à lire, regardez-moi, je vous aiderai !" Et effectivement, l'inspecteur écrit au tableau : "la table". L'instit' tapote ses ongles sur la table.
Ali : "La table, M'sieur".
Puis c'est la règle. L'instit' prend sa règle et la tourne en tous sens.
Kaddour : "La règle, M'sieur".
Et ainsi de suite jusqu'à ce que l'inspecteur écrive "la pendule". Il n'y a pas de pendule dans la classe. L'instit' effectue alors un mouvement de va et vient avec son avant-bras pour illustrer le balancier. Mais pas de bol, les élèves n'ont jamais vu de pendule dans leur douar.
Mouloud : "Le zob du bourricot, M'sieur !"
La chambre d’hôtel
Dans une petite ville de province, un représentant de commerce avait décidé de faire étape pour la nuit.
Malheureusement pour lui, il n’y avait qu’un seul hôtel, et toutes les chambres étaient réservées.
Le représentant insiste alors auprès de l’aubergiste:
– Vous devez me trouver une place pour dormir, même un lit n’importe où, je suis complètement vanné !
L’aubergiste lui répond:
– Ben, j’ai bien une chambre avec deux lit qui n’est occupée que par une personne… Et je suis sûr que cette personne serait ravie de partager sa chambre ainsi que le prix de sa chambre avec vous… Mais pour tout vous dire, cet homme est un ronfleur de la pire espèce. à tel point que ses voisins des chambres à côté viennent se plaindre ici tous les matins. Bref, c’est vous qui voyez.
– Pas de problème, je prends la chambre. Je suis trop crevé !
L’aubergiste fait faire connaissance aux deux locataires de la chambre et les laisse dîner. Le lendemain matin, le représentant descend prendre le petit déjeuner, et contrairement à ce que pensait l’aubergiste, il a l’œil vif et semble en pleine forme et bien reposé. L’aubergiste lui demande:
– Vous avez réussi à dormir?
– Oui sans problème
– Les ronflements ne vous ont pas gêné?
– Pas du tout, il n’a pas ronflé de la nuit
– Comment cela?
– Eh bien, l’homme était déjà au lit quand je suis rentré dans la chambre. Alors je me suis approché de son lit et j’ai été déposer un baiser sur ses fesses en disant « Bonne nuit ma beauté »… Et le gars a passé le reste de la nuit assis sur son lit à me regarder.
Quelle est la différence entre un éléphant et une grand-mère italienne ?
Environ 10 Kg...
Un motard dur-à-cuire se promène sur sa Harley lorsqu'il aperçoit une fille qui s'apprête à sauter d'un pont.
Il s'arrête et lui demande :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je vais me suicider !
Alors qu'il ne veut pas paraître insensible, il ne veut pas non plus passer à côté d'une bonne affaire.
- Avant de sauter, pourquoi ne m'embrasserais-tu pas ?
… Elle l'embrasse alors avec volupté...
- Wow ! C'est la première fois qu'on m'embrasse de cette façon. C'est tout un talent que tu t'apprêtes à gaspiller ma belle. Mais pourquoi veux-tu te suicider ?
- Parce que mes parents n'aiment pas que je m'habille en fille...
Le poète provençal
C’est un type qui arrive dans une ferme de Bigorre et qui demande l’hospitalité.
Le fermier lui demande ce qu’il fait dans la vie.
– Moi je suis poète, poète provençal, un troubadour quoi…
Le fermier accepte de l’héberger dans la grange. Puis il en parle à sa fille :
– Y a un type bizarre dans la grange, y dit qu’il est poète !
La fille étonnée décide d’aller voir ça de plus près, et elle va dans la grange
– Alors comme ça, vous êtes poète ?
– Ben ouais, je fais des vers, des rimes, c’est quoi ton nom ?
– Moi c’est Gervaise.
– Et ben Gervaise, viens ici que je te baise…
Il la prend, la couche sur le foin et lui fait son affaire, bim, bam, boum…
Ravie, la fille revient voir son père :
– Il est super ce gars !! Y fait des supers poèmes !!
La mère dit :
– Bon ben moi aussi je vais voir ça …
– Alors comme ça vous faites de la poésie ? demande-t-elle …
– Vouais ! Je suis un barde, un troubadour, c’est quoi ton nom ?
– Moi c’est Pauline…
– Ah Pauline, viens par là que je te pine !…
Il se rue sur elle et rebelote, bim, bam, boum dans le foin.
La mère retourne à la ferme :
– Extra, y m’a fait un grand poème, Boudiou que c’était beau !!
Le mari dit alors :
– Vingt Diou ! y faut que j’aille voir ça moi aussi.
La mère et la fille se jettent alors sur lui en criant :
– HERCULE !! NON !, N ‘Y VAS PAS !!!…
Conchita voulait une augmentation.
La Maîtresse de maison très énervée par cette requête lui demande :
- Et pourquoi voulez-vous une augmentation, Conchita ?
- Eh bien Madame pour 3 raisons.
La 1ère, c'est parce que je repasse mieux que Madame
- Et qui vous dit ça
- C'est Monsieur qui me dit ça.
- Ah bon ?
- La 2ème, c'est que je cuisine mieux que Madame.
- Sornettes ! Et qui dit que vous cuisinez mieux que moi ?
- C'est Monsieur qui dit que je cuisine mieux que Madame.
- Tiens donc ? ... Et la 3ème raison Conchita ?
- la 3ème raison, c'est que je fais mieux l'amour que Madame
Madame (hors d'elle) : Et c'est Monsieur qui vous dit que vous faites mieux l'amour que moi ?
- Non, Madame. C'est le jardinier !
...Conchita a eu son augmentation.
MORALITE : Lè ou ka monté coco lavé kilote aw !!! (proverbe antillais)
Lorsqu'on prétend grimper au cocotier, mieux vaut avoir la culotte propre...
Dans un hall d'aéroport, Luciano Pavarotti et Placido Domingo se croisent par hasard.
-Tiens, qu'est ce que tu fais là toi?
-Moi, réponds Domingo, je reviens d'avoir chanté chez toi, à la Scala de Milan, devant une salle comble!
-Ah, et tu as bien chanté?
-Si j'ai bien chanté, mais c'était un triomphe, même que la Statue de la madone della Scala elle a pleuré des larmes de sang tellement c'était beau. Et toi, tu viens de chanter où?
-Eh bien , dit Luciano, je reviens de chez toi, j'ai donne un petit récital devant 200 000 personnes.
-Ah; et tu as bien chanté?
-C'était comme si les anges du paradis inondaient le ciel, même qu'à la fin du concert le Christ du Corcovado est descendu pour me féliciter!
-Tu te foutrais pas un peu de moi par hasard?
-Non non, même qu'il m'a dit, "tu vois, toi Luciano, toi tu es un vrai artiste, pas comme l'autre enfoiré à Milan qui a fait pleurer ma mère!!!"
Madame tricote… Monsieur lit son journal…
Soudain il lève le nez et dit à sa femme :
- - C'est incroyable ce qui se passe en Sicile ! A Palerme un homme est abattu toutes les deux heures...
- Le pauvre !