Il y a 1 heure, Turbo a dit :Déjà, qu'on commence par arrêter le délire de "le nucléaire c'est mal" et on se portera pas plus mal.
Tu vois qu'on peut être d'accord! Dans l'attente d'autre chose, le nucléaire (et l'hydraulique) est sans doute la moins mauvaise des solutions.
Il y a 1 heure, Turbo a dit :Liberté libéralisme et tout et tout. Et si c'est la merde dans d'autres pays du monde, ils se démerdent
Bah justement... Si demain c'est la merde dans ton pays, tu fais quoi? Tu attends que ça se passe ou tu vas voir là où l'herbe est plus verte? Evidemment que tu vas chercher des cieux plus cléments. Donc il va bien falloir qu'on s'occupe de ce problème. Et le mieux, quand il y a un problème, ce n'est pas d'en traiter les conséquences mais plutôt la cause...
Il y a 1 heure, Rick a dit :Le réchauffement, ou plutôt la variation climatique est cyclique, un point c’est tout.
L’activité de l’Homme, par le rejet de polluants dans l’atmosphère, ne fait que légèrement l’accélérer, tout comme c’était le cas avec les volcans à une autre époque plus lointaine.
Le résultat sera le même à l’issue, il va faire un peu plus chaud, et en suite, on se gèlera les miches.
Ce que j’avance, ce sont des scientifiques qui le disent, et ils y a des caisses de relevés pour l’appuyer. Par exemple, l’ere Romaine (de -200 JC à +200) était bien plus chaude qu’aujourd’hui, et les relevés montrent que les glaciers étaient bien plus reculés qu’en 2018. S’en est suivi une période beaucoup plus froide jusqu’à la fin du moyen âge.
Je ne conteste pas que l’activité de l’Homme joue sur le climat, mais j’affirme que c’est minime et qu’on ne peut pas changer un processus qui est naturel. Faire croire aux pauvres gens qu’il va faire de plus en plus chaud au point qu’ils finiront par cuire sous 50 à l’ombre, puis que leurs petits-enfants sécheront littéralement sous 60 degrés et qu’ils n’auront que des cailloux à sucer, c’est de la malhonnêteté intellectuelle.
Désolé de te contredire mais toutes les études montrent que l'impact de l'activité humaine est loin d'être négligeable dans la hausse globale des températures constatées actuellement. Entre 1901 et 2012, l'augmentation de la température moyenne sur Terre a été de 0.9°C (source), et depuis 2012, chaque année est plus chaude que la précédente. Selon la NASA, 15 des 16 années les plus chaudes ont été enregistrées depuis le début du siècle, à l'exception de 1998. Je ne sais plus où j'ai lu très récemment qu'au plus fort de l'activité volcanique, il y a plusieurs millions d'années, l'augmentation de la température n'était "que" de 0.25° par siècle. Il faudrait que je te retrouve la source. Dans le graphique, on voit bien qu'il y a des variations, même sur des périodes courtes au regard de l'âge de la Terre. Il n'empêche qu'il faut être aveugle pour ne pas voir l’emballement depuis les années 1950 et que ça coïncide avec l'explosion de l'activité industrielle.
Pas toutes les études, mais les études que tu cites
C’est comme si j’affirmais que toutes les études disent que c’est cyclique. Ce serait mal honnête.
Parce que si tu veux un tableau et des textes d’études qui contredisent ce que tu dis, j’en ai sous le coude. Et pas écrites pas des évangélistes, mais bel et bien des scientifiques de renommée mondiale. Après, lesquels ont raison, lesquels ont tort, on le saura quand on sera mort.
Avoir ses idées c’est une chose, vouloir les imposer en est une autre.
Vas-y, balance!!
Les chiffres du graphique son issus de l'analyse de carottes glaciaires prélevées dans l’antarctique.
Un autre indice de l'augmentation des températures est la date des vendanges (on y revient toujours ) J'avais un doc qui retraçait un historique depuis le moyen-âge, les moines faisaient bien leur boulot!
Claude Allègre n'est pas un baltringue non plus , il doit travailler avec les mêmes carottes .
Certains pseudo scientifiques gagneraient de se mettre ces mêmes carottes dans un endroit où elles fondraient probablement. ..
il y a 12 minutes, Stephane66 a dit :Vas-y, balance!!
Les chiffres du graphique son issus de l'analyse de carottes glaciaires prélevées dans l’antarctique.
Un autre indice de l'augmentation des températures est la date des vendanges (on y revient toujours ) J'avais un doc qui retraçait un historique depuis le moyen-âge, les moines faisaient bien leur boulot!
Est ce qu'on peut vraiment comparer les methodes de culture/recolte/vendange/transformation des moines du moyen age avec les methodes actuelles où tout n'est que profit et rentabilité ?
C'est juste une question hein ?
Je veux que Claude Allègre sait de quoi il parle !
Qui mieux que lui pour parler du climat au Néandertal puisque il dégraissait déjà le mammouth
Malheureusement Allègre n'a plus vu une carotte depuis les années 90 quand il s'est lancé dans la politique... D'ailleurs, avant sa carrière politique, il épousait la théorie, quand même très largement éprouvée dans le monde scientifique, de l'impact des émissions humaines de CO2 comme cause du réchauffement climatique...
Il a d'ailleurs été prouvé qu'il avait diffusé des informations au minimum arrangées voir fausses dans son bouquin où il dit qu'il n'est pas d'accord avec cette théorie.
Ce mec, je n'y accorde pas une once de confiance, et pas seulement en matière de climatologie. Il traîne quand même de sacrées casseroles...
il y a 44 minutes, Stephane66 a dit :Bah justement... Si demain c'est la merde dans ton pays, tu fais quoi? Tu attends que ça se passe ou tu vas voir là où l'herbe est plus verte? Evidemment que tu vas chercher des cieux plus cléments. Donc il va bien falloir qu'on s'occupe de ce problème. Et le mieux, quand il y a un problème, ce n'est pas d'en traiter les conséquences mais plutôt la cause...
Euh ... Ca dépend de quoi tu parles ? Mais si tu parles d'une guerre (un peu ce qu'il se passe en Syrie et toute la zone), moi je ne suis pas du tout d'accord avec l'idée répandue de "les pauvres ils fuient c'est normal ils sont en guerre".
On serait où nous si en 14/18 39/45 nos arrières GP s'étaient dit ça ?
C'est des déserteurs les mecs voilà tout.
Alors qu'on vienne pas me bassiner avec "ils prennent un risque de mort à prendre un bateau etc". S'ils avaient des couilles (et certains en ont, la preuve, tous ne partent pas) ils resteraient dans leur pays pour défendre leur famille, quitte à y rester.
Mais c'est sûr que c'est plus alléchant de venir pondre 10 gamins en France pour toucher les allocs, avoir l'école gratuite (même si on y va pas), la fac gratuite (là c'est bien, en plus de pas y aller, on touche la bourse, nickel, avec 12 mois de bourse on peut acheter la kalach nikov et monter le cartel).
Ca tu vois, ça me rend fou, mais vraiment fou. De voir un migrant dans la rue avec un iPhone. Mais il le sort d'où son pognon le type ? Il était pas censé venir en bateau avec pour seul accessoire un calebar ?
On nous prend vraiment pour des cons.
Et en attendant, le paysan du bled il a meme pas de quoi se payer un abonnement box.
On marche complètement sur la tête.
Et après, on vient te dire que les patrons gagnent des millions, que c'est indécent ? Mais c'est quoi qui est indécent ? Gagner 5 M € après avoir faire Polytech l'ENA les Mines, en dirigeant un groupe coté, ou bien se trimbaler avec 3 poussettes, 3 téléphones, des cartes de transport de cinéma gratos, et avoir pour seul emploi que de s'occuper de la marmaille ?
Là c'est le moment où la gauchiasse de mes deux sort normalement l'argument imparable :
"Sale raciste, cette discrimination wahou !!!"
Bah non, désolé c'est pas raciste et je chie sur tous ceux qui me casseront les couilles avec leurs putain de droits de l'homme à la con.
Voilà, ça c'est un vrai problème.
il y a 6 minutes, Krystof a dit :Est ce qu'on peut vraiment comparer les methodes de culture/recolte/vendange/transformation des moines du moyen age avec les methodes actuelles où tout n'est que profit et rentabilité ?
C'est juste une question hein ?
Oui. Les dates de vendanges ont toujours été quelque chose de très suivi et/ou règlementé. Je viens de gratter sur internet. Le densimètre pour "peser" le moût du vin a été inventé en 1768. On peut penser que depuis le début du 19ème on connait aussi précisément la maturité des raisins.
il y a 32 minutes, Stephane66 a dit :Vas-y, balance!!
Les chiffres du graphique son issus de l'analyse de carottes glaciaires prélevées dans l’antarctique.
Un autre indice de l'augmentation des températures est la date des vendanges (on y revient toujours ) J'avais un doc qui retraçait un historique depuis le moyen-âge, les moines faisaient bien leur boulot!
Le réchauffement actuel n’est qu’un sous-cycle dans la tendance générale à long terme de l’holocène. Il est peu significatif quand on le compare aux dix derniers millénaires. Et il est bienvenu. Car nous sortons d’une des périodes les plus froides depuis la dernière glaciation.
Comment le sait-on ? Par la reconstruction du climat du passé au moyen, entre autres, des carottes de glace du Groenland du forage GISP2. L’image 1 (cliquer pour agrandir) montre cette reconstruction ; la courbe verte est la tendance lissée de manière très globale sur cette post-glaciaire appelée l’holocène.
L’image 2 présente un lissage plus nuancé, selon les périodes. On voit la même tendance globale vers un refroidissement. Toutes les reconstructions du climat de l’holocène indiquent la même tendance.
On constate des variations abruptes sur à peine quelques siècles. Peut-être en vivons-nous une actuellement. Trois repères historiques marquent les périodes chaudes : la civilisation minoenne, l’époque romaine et l’optimum climatique médiéval.
La plupart des graphiques utilisés pour démontrer le réchauffement actuel le présentent comme unique et extrême. Ils prennent comme date de départ le XIXe siècle, éventuellement le XVe, ou l’an 1000. Souvent même on ne montre qu’un siècle d’évolution des températures. Cela produit un effet grossissant. C’est ce qu’on nomme l’effet loupe : on ne regarde qu’une section courte et on la prend pour représentative de l’histoire du climat.
Cet effet loupe fait émerger (ou justifie) l’alarmisme, qui lui-même sert la politisation du sujet. Une fois le sujet politisé, il est très difficile de revenir à un débat ouvert. Les enjeux biaisent l’analyse.
Al Gore
Aujourd’hui il faudrait vouloir « sauver la planète » pour être bien vu de ses pairs. Quelle prétention exorbitante et peu raisonnable ! Et si l’on garde l’esprit critique envers les théories et prédictions scientifiques, on se fait au mieux traiter de négationniste. Peu importe.
Bien sûr des faits sont là : le retrait des glaciers, la fonte de la banquise, la montée de certaines espèces vers le nord en Europe. Malheureusement les tenants du réchauffement anthropique comme Jean Jouzel ou Al Gore ont des intérêts économiques personnels dans cet alarmisme. Ils ont fermé le débat.
À ce sujet la présentation récente du deuxième film d’Al Gore (vidéo en fin de billet) est à mon avis malhonnête. Les extraits sont destinés à caricaturer la situation. L’évocation de l’ouragan Sandy ne démontre rien d’autre qu’un ouragan puissant passant près de New York. Exceptionnel par sa rareté mais pas significatif d’une évolution globale. Pas plus que les ouragans Harvey ou Irma, que j’ai traités et documentés ailleurs.
Le texte, le ton, la dramatisation musicale, sont des méthodes de propagande que les nazis n’auraient pas renié (je pèse ma comparaison). En réalité ce nouveau film, qui n’a pas amené les foules au cinéma, est d’évidence à classer dans les films politiques à usage interne des États-Unis dans la guerre des démocrates contre Donald Trump.
Pour moi comme pour beaucoup d’autres le débat sur le réchauffement n’est pas clos. Benoît Rittaud, mathématicien et scientifique de pointe, l’un des premiers à dénoncer la supercherie de la montée en crosse de hockey des températures établie par Michael Mann et reprise (puis abandonnée) par le GIEC, n’y souscrit pas.
Banquise 2017
Dans son livre Le mythe climatique Benoît Rittaud rappelle que « La courbe en crosse de hockey due à Michael Mann ne résiste pas à l’examen. C’est elle pourtant qui avait donné une justification à l’alarmisme climatique puisqu’elle dessinait un réchauffement brutal de la planète tout au long du XXe siècle et minimisait l’optimum médiéval et le petit âge glaciaire. »
D’autre part la contribution anthropique au réchauffement actuel (d’ailleurs stable depuis bientôt vingt ans sauf suite au dernier El Niño), l’effet de cycle, la date de référence du début du réchauffement, les aspects positifs jamais abordés, les risques éventuels d’une action volontariste pour modifier le climat, font partie des points qui sont toujours ouverts.
Bien. Les températures augmentent. En particulier les températures automnales et hivernales, qui font monter les moyennes annuelles. En Suisse, en plaine, les automnes sont plus chauds qu’il y a trente ans. Est-ce dû en partie à la diminution constatée des jours de brouillard (image 3 Météosuisse), brouillard qui gardait le froid au sol quand les sommets environnants étaient plus chauds ? Et quelle part prend la diminution constatée du stratus hivernal dans la douceur relative des hivers ?
Cela n’explique cependant pas le recul actuel des glaciers ni la diminution de la banquise arctique. Elle a atteint, l’hiver dernier, sa plus basse extension hivernale. Un effet probable du très fort El Niño de 2016, qui a donné un coup de chaud à toute la planète et qui cette fois n’a pas été suivi par une Niña refroidissante.
Adaptation
Autre diminution historique de sa surface en 2012 : un ouragan polaire exceptionnel, comme il en arrive épisodiquement, avait été déterminant dans la fonte exceptionnelle de l’été. En 2017 on constate toutefois que la banquise s’est en partie reconstituée au printemps. Actuellement et depuis l’été elle est dans la zone moyenne de baisse (image 4, trait rouge).
On observe aussi des cycles dans le réchauffement. Ils semblent en partie superposés à l’ONA (NAO en anglais), ou Oscillation Nord-Atlantique (images 5 et 6, XXe siècle). Cette ONA est considérée comme le pendant atlantique de El Niño, en moins ample dans ses effets. Elle conditionne le type d’hivers (froids ou doux, secs ou humides) en Europe et en partie en Amérique du nord. Pour les cycles depuis le petit âge glaciaire, voir cette page internet.
Ces jours la COP 23 se déroule à Berlin. On doit y préciser le concret des accords de Paris de 2015 (COP 21). De l’avis de plusieurs analystes ces engagements de 2015 ne pourront pas être tenus. La décision de Trump de retirer les USA de l’accord n’y est pour rien. Aujourd’hui les esprits raisonnables misent non plus sur la réduction des températures de 1,5° ou 2°, mais sur l’adaptation au réchauffement. Ce que je répète depuis des années. De Science & Avenir :
« Même si les pertes et dommages représentent un sujet central cette année, l’adaptation sera sur la table et dans l’esprit de tous les pays alors que depuis 1992 il était le parent pauvre des débats. La limitation du réchauffement à 2°c sera un objectif extraordinairement difficile à atteindre. On doit donc chercher un objectif d’adaptation commun. »
Oasis
La limitation du CO2 reste cependant en ligne de mire même si la production humaine de ce gaz ne représente qu’une infime partie de la totalité des émission. D’ailleurs, saviez-vous que la respiration des sept milliards d’humains, qui exhalent du CO2 à chaque expir, compte pour 8,5% des émissions humaines totales ? C’est loin d’être négligeable. Et d’ailleurs le CO2 est indispensable à la vie sur Terre. C’est un ami bien plus qu’un polluant (voir aussi ce document de l’Uni Lausanne).
France-Info a cependant continué dans l’alarmisme, l’information univoque et la sur-dramatisation. Quelques rapides commentaires sur cet article « hollywoodien » (catastrophiste).
1. Baisser les émissions de CO2.
Oui, c’est bien pour l’air des villes entre autres, mais l’adaptation est aujourd’hui un objectif majeur. La reforestation par exemple contribuera en bonne partie à absorber le gaz, de même que le plancton dont la quantité augmente avec le réchauffement des océans (rétroaction négative). Mais baisser le CO2 ne suffira pas. Et puis, ne jouons pas trop aux démiurges qui pensent pouvoir changer la grosse et complexe machine climatique sans risques pour les générations futures.
3. Canicules extrêmes devenues réalité.
Cela reste limité. Les archives météos montrent d’ailleurs que ce n’est pas nouveau : d’incroyables canicules ont eu lieu dans le passé. Il faudra s’y adapter, quelque soit la cause prévalente du réchauffement. Chercheurs et innovateurs n’ont pas attendu pour s’y atteler, entre autres dans l’architecture, l’aménagement urbain et l’agriculture (nouvelles espèces végétales adaptées, nouveaux modes de production inspirés de la culture maraîchère dans les oasis).
Alarmisme
4. Réchauffement de l’Antarctique.
Depuis des années la masse de glace antarctique augmente. Ce qui explique peut-être en partie le vêlage récent d’une grande masse de glace.
5. La montée des eaux s’accélère.
Lentement, très lentement, semble-t-il. Le réchauffement réel depuis 20 ans se situe dans la fourchette la plus basse des modélisations du GIEC. New York ne devrait pas être submergée en 2100. Au besoin on construira des digues géantes, comme l’ont fait les Pays-Bas depuis longtemps, ou on déplacera les villes. Là encore, adaptation.
6. Les coraux du monde entier meurent.
Faux. On constate des adaptations de certaines familles de coraux depuis plusieurs années, par exemple en Nouvelle-Calédonie et en Mer Rouge.
7. Catastrophes de plus en plus destructrices.
Ce n’est pas démontré. Les ouragans de cet été ne prouvent rien, comme je l’ai documenté dans plusieurs billets. Quant aux famines, elles ont toujours existé. Les moyens et méthodes de production modernes, ainsi que la solidarité internationale, peuvent d’ailleurs améliorer ce point.
Beaucoup reste donc en discussion, dont en particulier : l’alarmisme lui-même. Agir dans l’urgence comporte des dangers. Il est donc urgent de réfléchir davantage et de débattre encore.
Puissent les délégués de la COP 23 faire ce même constat, ou avoir cette même intuition.
Dis moi que ce sont tous des trous du cul qui ne savent pas que quoi ils parlent et qu’ils s’appuient sur la teub d’Hanouna pour construire leur travail, ou dis moi simplement qu’il existe 2 théories, et qu’à lheure actuelle, bien malin est celui qui peut dire laquelle est la bonne.
Une guerre par exemple, mais ça peut aussi être des conflits interconfessionnels, des migrations dues au changement climatiques, des pénuries alimentaires...
il y a 11 minutes, Turbo a dit :Et en attendant, le paysan du bled il a meme pas de quoi se payer un abonnement box.
On marche complètement sur la tête.
Tu vois, c'est ça ma réponse à moi. Plutôt que de donner du frics aux multinationales qui n'en ont pas besoin, bah je préfère le donner à l'agriculteur d'à côté de chez moi. Faire ça a tous les avantages, aucun inconvénient. Sauf peut-être le prix quand tu achètes de la viande. Sinon c'est moi cher. Mais bon, j'habite dans la pampa. En centre ville d'une grosse agglo, c'est pas la même musique.
Oui mais le moyen age c'est de 476 à 1492 , donc bien avant .
ensuite tu nous presentes les resultats d'un carotage depuis 2000 ans , que dire si on regarde les mêmes resultats depuis 200 000 ans voir beaucoup plus ?
Sachant qu'à l'époque il ne devait pas y avoir beaucoup d'usines ...
https://journals.openedition.org/quaternaire/7664
Ps: en plus on ne sait même pas si c'est des carottes bio ..
@KrystofVoici un graphique qui reconstitue les températures depuis 400 000 ans.
On y voit clairement 4 cycles complets qui durent peu ou prou 100 000 ans. A chaque fois on a un pic chaud assez violent (environ +10° en 10 000 ans, soit 0.1°C en plus par siècle en moyenne) suivi d'une diminution des températures un poil moins violente. Le souci aujourd'hui, et c'est visible sur l'extrême droite du graphique, c'est qu'on reste sur ce maximum, on est quasiment pas redescendu depuis la dernière glaciation qui s'est terminée il y a 15-20 000 ans.
il y a 23 minutes, Rick a dit :Le réchauffement ...
même intuition.
Tu peux nous dire qui a fait cette analyse?
Oui mais on voit aussi très bien qu'on est envore largement en dessous de certains pics plus anciens...
Après c'est un sujet qui me sensibilise, mais j'ai beaucoup de mal à me faire une réelle idée entre ceux qui relatent des faits sans arrière pensée et ceux qui utilisent (récupèrent) ces données pour servir leur cause , bien souvent en faisant de l'alarmisme à outrance .
Vos gueules ou j'appuie sur le bouton de la bombe A
il y a 16 minutes, Stephane66 a dit :Tu peux nous dire qui a fait cette analyse?
Jacques Deferne, climatologue et conservateur du muséum d’histoire inaturelle de Genève, avec pour base de travail, les études de Srephen Hawking (c’est pas n’importe qui hein...)
Le scepticisme fait avancer les choses @Krystof
Le problème n'est pas le réchauffement en soi. On est tous d'accord pour dire que le réchauffement, comme le refroidissement, font partie des cycles naturels de la Terre et que s'il n'y avait pas eu ces variations, l'humanité ne serait peut-être pas là où elle en est aujourd'hui.
Le problème est la vitesse de ce changement et ses conséquences tout ça allié aux conséquences de l'exploitation des ressources terrestres.
Juste un exemple. Lors des précédents épisodes de réchauffement surtout ceux liés à la teneur plus élevée en CO2 de l'atmosphère, la Terre avait un moyen de régulation, de vastes entreprôts où stocker ces excédents de CO2, ce qui permettait de réguler la teneur en CO2 de l'atmosphère et donc le réchauffement par effet de serre. Les forêts. Or aujourd'hui la température est déjà naturellement élevée, on dégage du CO2, ce qui (v)a engendré une augmentation des températures. Mais on n'a plus de forêts. Plus d'endroit pour stocker le CO2. Alors il reste dans l'atmosphère et contribue encore plus au réchauffement.
C'est le serpent qui se mord la queue.
Tout ça pour avoir du Nutella...
il y a 10 minutes, LeChevalierNoir a dit :Vos gueules ou j'appuie sur le bouton de la bombe A
Euh... C'était hier...
il y a 2 minutes, Stephane66 a dit :Le scepticisme fait avancer les choses @Krystof
Le problème n'est pas le réchauffement en soi. On est tous d'accord pour dire que le réchauffement, comme le refroidissement, font partie des cycles naturels de la Terre et que s'il n'y avait pas eu ces variations, l'humanité ne serait peut-être pas là où elle en est aujourd'hui.
Le problème est la vitesse de ce changement et ses conséquences tout ça allié aux conséquences de l'exploitation des ressources terrestres.
Juste un exemple. Lors des précédents épisodes de réchauffement surtout ceux liés à la teneur plus élevée en CO2 de l'atmosphère, la Terre avait un moyen de régulation, de vastes entreprôts où stocker ces excédents de CO2, ce qui permettait de réguler la teneur en CO2 de l'atmosphère et donc le réchauffement par effet de serre. Les forêts. Or aujourd'hui la température est déjà naturellement élevée, on dégage du CO2, ce qui (v)a engendré une augmentation des températures. Mais on n'a plus de forêts. Plus d'endroit pour stocker le CO2. Alors il reste dans l'atmosphère et contribue encore plus au réchauffement.
C'est le serpent qui se mord la queue.
Tout ça pour avoir du Nutella...
Bah oui quand on n'est pas scientifique on est en droit d'être sceptique quand on nous sert plusieurs soupes
Et à ma connaissance il ne doit pas y avoir de scientifiques sur ce forum
Quand certains scientifiques brandissent cet argument qui consiste à dire qu'il y a toujours eu des variations importantes du climat , même bien avant la pollution actuelle , leurs opposants leur repondent qu'avant c'etait les flatulences des dinosaures qui etaient en cause ...
Alors oui , je suis sceptique