il y a 1 minute, rallyflo a dit :Michèle aime ça, ils avaient enlevé la rubalise rouge non?
La quoi ? 
il y a 8 minutes, rallyflo a dit :Merci pour ces magnifiques photos, c'est beau. J'étais mino, j'avais 4 ans.
Moi aussi j'étais minot, je faisais l'assistance à mon pote Berto
Retour avec Eric Camilli sur le Monté Carlo !
http://www.rallye-infos.site/eric-camilli-sur-le-plan-comptable-cest-une-bonne-chose/
Le parcours de cette année était top avec les conditions météorologiques réunies mais SANS PUBLIC !
On n'est pas tous des Le Blond, certains avaient réservés etc...
Et l'année prochaine on nous l'enlève de Gap pour un retour dans le secteur étriqué de l'arrière pays niçois.
Adamo sera heureux du blingbling monégasque.
On n'est pas prêt de le revoir en Ardèche ce rallye !
Voilà, une ébauche du RMC 2022, sans visiter la Vésubie sinistrée ; si quelqu'un peut transmettre à l'ACM, ça rappellera des souvenirs à certains
Champollion aime ça 
En traçant la Couillole, me suis souvenu d'un truc fun , en 84
On mate le 1° passage aux Buisses, au-dessus de Roubion, j'en profite pour shooter ça ( entre autres )
puis, comme il y a un peu de temps avant le passage suivant, on branche les bleus " msieur, on fait un saut à Beuil, boire un génépi, et on revient vite fait; ça marche ? "
Ben, on l'a fait ! En pyramidaux, les 709 blancs, toussa ; le pied intégral
Et le matin, 2 virages plus haut, on a fini la nuit comme ça ; trop bon
MONTE CARLO 2021: Le calvaire du Blond.
Le monde est si imprévisible que même si une situation vous semble, en apparence, sous contrôle ; il ne suffit d’un rien pour que tout bascule dans le chaos. C’est ce qui pourrait résumer cette édition 2021 pour ma part.
Tout était réuni pour que je reste à la maison : huis clos, couvre-feu, accès difficiles, conditions hivernales,… mais je tente le pari d’y aller quand même. Après tout, ce sera ma 13ème édition, je commence à connaître la musique 
.
On commence par un SMS d’un ami d’enfance qui m’annonce qu’il peut venir cette année (cela fait 5 ans que j’essaie de le convaincre de venir). Sauf qu’on est mercredi après-midi et que je pars jeudi matin.
Le temps de doubler l’équipement de bivouac, dormir et me voilà parti pour Bédoin récupérer mon ami 
.
De là , direction le nord de Gap. L’option 1 est de se garer au croisement N85/D57 et de partir à pied jusqu’à l’ES2. Sauf qu’on n’a pas fait 100m dans le chemin qu’on aperçoit plus loin un gendarme, posté au milieu de la pampa 
.
Demi tour et direction l’option 2… la traversée du Drac à gué…
On se gare au nord de Poligny et on arrive au bord de la rivière. Ça ne sent pas bon, il y a du courant mais je tente de traverser le premier. Je n’ai pas fait 10m que je me rend à l’évidence : si je continue, je vais finir dans le lit de la rivière 
.
Frustrés, nous décidons d’abandonner l’ES2 et retournons à la voiture la queue entre les jambes 
.
Le hic, c’est que nous avons trempés nos chaussures de marche malgré les doublures en sac poubelle. Ce détail anodin prendra son importance plus tard…
Sur la liaison jusqu’à St Pierre d’Argençon, nous regardons les résultats et la boîte de Suninen 
. On arrive sur les coups de 16h mais le chemin est verglacé et on doit se garer 500m plus bas que prévu.
Préparation des sacs, 20kg pour moi et 15kg pour mon ami, et on se met en route : il est 16h30, on a environ 6km à faire avec un D+ de 500m. On a été obligé de prendre nos chaussures basses mais on ne s’en fait pas, cela reste praticable. L’objectif est d’arriver un peu après la nuit afin de pouvoir voir les feux des voitures sur le tracé de l’ES.
Mais, dès la 1ère heure, je me rends compte qu’on n’avance pas assez vite et, plus inquiétant, il y a de plus en plus de neige sur le sentier. Mon ami glisse beaucoup avec ses chaussures et, même si il est un habitué des pentes du Ventoux, le terrain se transforme petit à petit en ENFER BLANC !
19h, la nuit est tombée et on est « au fond du couscoussier » ! Des pentes de plus de 15%, de la neige jusqu’au mollet par endroit, le moral en baisse et on n’a fait que la moitié du chemin, soit 3km ! Ah oui, et on s’est perdu et fait 1km de plus…
Après 6h d’efforts durant lesquels même mon moral a vacillé, nous arrivons enfin au col de Carabès ! Je n’avais jamais fait une randonnée pareille ! 
Nous sommes tellement épuisés et tellement impatients de monter le bivouac que nous empruntons directement le tracé de l’ES pour rejoindre un sentier 500m plus loin.
Et là, on tombe sur une patrouille de gendarmes qui redescend vers la Piarre…
On prend nos 135 euros chacun (
) et ils nous demandent de retourner à notre véhicule. On fait comme si en repartant dans l’autre sens 
et on installe notre camp à l’abri de la route pour un bivouac bien mérité. Quelle journée de m……
Vendredi 6h. Après un réveil tranquille et un petit café, on se délecte d’un superbe passage au petit matin à la lueur des phares.
Sur la route, on se rend compte que les Toy sont au-dessus du lot, ce que les temps confirment.
On décide de faire le second passage au même endroit et on se fait discret.
Mais le ciel devient menaçant et sitôt la 0 passée, il se met à pleuvoir. On pense au retour et à la soupe que va devenir la couche de neige d’hier…
Une fois les premiers passés, on décolle.
On mettra 3h pour redescendre et arriver à la voiture complètement trempés de la tête au pied 
. J’ai même dû prendre le sac de mon ami pour terminer, ce qui fait 15 kg + les 20kg du mien, car il commençait à tourner de l’œil. Moi-même je suis gelé et on se change en vitesse pour se réchauffer dans la voiture 
.
Sur la liaison, on essuie une rincée monumentale qui causera des dégâts sur Gap.
On arrive à Selonnet où on essaie de prendre le GR6 en voiture pour se rapprocher du spot du samedi. Peine perdue, la piste est verglacée et il pleut toujours.
On se gare là où on peut et on fait l’inventaire : pantalons, vestes, chaussures, sacs à dos et duvets sont trempés. On passera 2h à faire sécher les duvets à l’aide du chauffage de la voiture pour passer la nuit. On préfère en rigoler 
.
Le lendemain, on n’a pas réussi à tout faire sécher et on décide de ne pas prendre le risque d’aller à l’extérieur avec des fringues humides : il fait -3°C dehors. On se rendort et on décide de rentrer sur les coups de 9h.
Voilà, parfois quand ça ne veut pas, ça ne veut pas ! Je me rend compte que je ne suis pas encore capable de surmonter toutes les contraintes extrêmes d’un Monte Carlo. Je dois encore grandir et apprendre !
Apprendre à anticiper davantage les conditions météo et m'adapter Mais je serai de nouveau là l’an prochain !
Revanchard et têtu ce Blond je vous dit !
PS: pour l'anecdote, je rentre avec 2 vidéos de nuit sur le smartphone et 4 photos après traitement
Je sais pas si il faut adorer ou en rire mais tu es vraiment un "grand malade" quand même!!! 
En tout cas chapeau bas pour avoir essayé 
Je t'avais bien cerné au Lozère, mais pas à ce point 
Ton ami que tu essayais de convaincre depuis 5 ans, ne lui propose plus rien avant 5 ans 
il y a 24 minutes, Rick a dit :Je t'avais bien cerné au Lozère, mais pas à ce point
Ton ami que tu essayais de convaincre depuis 5 ans, ne lui propose plus rien avant 5 ans
il aura pas besoin, ils se parlent plus du coût 
Mon ami est prêt à revenir avec de meilleures conditions (pas de huis clos, couvre-feu) 
Car ça a vraiment rendu l'édition très difficile cette année.
il y a une heure, Le blond a dit :MONTE CARLO 2021: Le calvaire du Blond.
Revanchard et têtu ce Blond je vous dit !
Respect,tu es un grand malade. 
Bordel 
On a même eu peur pour vous avec la tempête sur Gap, et vous savoir au milieu de nulle part dans la neige, trempé.
Vous en rigolerez, mais sur le coup ça n'a pas du être facile à gérer 
à l’instant, Rapido a dit :Je pense,et pas loin du Terre du Vaucluse..!
J'habite pas loin de bedoin je serais curieux de savoir si je connais cette personne qui a survécu a cette édition 
il y a une heure, Olivier.84 a dit :J'habite pas loin de bedoin je serais curieux de savoir si je connais cette personne qui a survécu a cette édition
Certainement pas un bédouin 