Faut pas chercher très loin!
La combi est noire, pour les chaussures on ne sait pas s'il a pu récupérer une paire de Al-Qassimi recyclée!
J'ai lu quelques commentaires sur ces essais, mais bon sur l'asphalte on se doute qu'elle est efficace cette auto, victoire au Catalogne 2017 avec Meeke, victoire au Catalogne 2018 avec Loeb et même une 2ème place en Allemagne avec Mikkelsen l'année dernière.
De bons résultats avec différents pilotes, on se doute qu'Ogier a déjà trouvé le mode d'emploi...
Reste à voir sur le neige et la terre ce qu'Ogier va réussir à faire avec et si l'auto évolue encore.
Rassurez-moi, ça:
https://www.ledauphine.com/ardeche/2018/12/18/veyras-un-camion-suspendu-dans-le-vide-sur-la-d104
c'est pas Meeke qui aurait pris le volant du camion Toyota?
Est qu'il y aura de la neige cette année ?
Juste une petite question comme ça.
Il me semblait que les WRC '17 n'étaient autorisées à rouler qu'en championnat du monde. Or je viens de voir que le rallye d'Estonie qui s'est déroulé l'été dernier a accueilli Paddon sur Hyundai, Tanak sur Yaris et Breen sur C3...
Pareil à Monza ou au Barborka avec Kajto il y a peu...
Certains rallyes doivent avoir des dérogations !
Il me semble que la condition etait qu'elles soient pilotées par des pilotes engagés par des constructeurs ( Paddon, Breen, Tanak) et qu'ensuite la FIA a assoupli ce règlement pour que des pilotes comme Serderidis (par exemple) puissent en louer une .
Il n'a jamais été question qu'elles ne soient autorisées qu'en cdm .
Il y a 1 heure, RP14 a dit :Faut pas chercher très loin!
La combi est noire, pour les chaussures on ne sait pas s'il a pu récupérer une paire de Al-Qassimi recyclée!
Sébastien Ogier et Julien Ingrassia sont en action dans les Alpes pour entamer les préparatifs du Rallye Monte-Carlo 2019 avec Citroën Racing.
Sébastien Ogier et Julien Ingrassia enchaînent les roulages avec Citroën Racing. © Citroën Media
Après M-Sport Ford et le Toyota Gazoo Racing, c'est au tour de Citroën Racing d'entamer la préparation au prochain Rallye Monte-Carlo (24-27 janvier), manche d'ouverture du Championnat du Monde des Rallyes.
L'écurie française est en action ce mardi du côté des Alpes avec la C3 WRC, qui sera surveillée de très près lors de la classique monégasque, en raison du retour de Sébastien Ogier et Julien Ingrassia dans les rangs de la firme aux chevrons.
Si la terre avait été au menu des premiers tours de roues du champion du monde en titre avec la C3, d'abord dans le Sud de la France, puis au Portugal, la préparation plus spécifique au Monte-Carlo se précise depuis ces dernières heures, comme le confirment les premières vidéos du Français en action avec la voiture développée par les hommes de Pierre Budar.
L'article sera mis à jour au fur et à mesure de la disponibilité des vidéos sur ces roulages.
Il y a 1 heure, Arga a dit :
Qu'est ce que ça va etre quand il l'aura en main !!!
16 heures : le pilote haut-alpin est dans la dernière ligne droite de ces essais. Il précise à notre micro, avant de filer effectuer les derniers kilomètres de roulage : « On est en phase de découverte. J’ai besoin d’apprendre la voiture, de savoir comment elle réagit aux changement de réglages. J’ai besoin de temps pour arriver au même niveau de confiance qu’au bout de deux ans passés dans la Ford. Mais, il n’y a rien qui me fait peur pour le moment, tout suit son cours. Il faut juste du temps pour être à l’aise mais jusqu’ici, tout va bien. Le rallye Monte Carlo, c’est tellement spécifique qu’il faut surtout se sentir à l’aise, trouver une solution confortable, car c’est impossible d’avoir le set-up (réglage) parfait pour toute l’épreuve. On a à faire à des conditions très variées. Là, on a un temps stable (beau, soleil), avec du grip et demain (mercredi), la pluie est annoncée. C’est pas mal de rouler sur le mouillé et certainement d’autres tests au mois de janvier, avec de la neige si possible, pour essayer de balayer toutes les conditions que l’on va rencontrer durant le rallye. »
15 h 30 : Thomas Breton (ingénieur d’exploitation de Sébastien Ogier, qui s’occupait de Craig Breen la saison dernière), a pris quelques secondes entre deux runs pour parler du nouveau tandem royal qu’il va suivre et chapeauter cette saison : «On n’a pas de grosses nouveautés, simplement quelques ajustements pour nos nouveaux pilotes (Ogier en action ce mardi et mercredi, mais aussi le Finlandais Esapekka Lappi, qui prendra le relais jeudi aux commandes de la Citroën C3 WRC). Il n’y a pas de révolution ! On modifie l’ergonomie, la positions des sièges, le volant. L’idée, c’est que les deux soient bien dans la voiture, cela fait partie de la performance. Sébastien, c’est quelqu’un qui sait où il veut aller et pourquoi. Du coup, on tâtonne beaucoup moins. C’est bien, ça met une petite pression, que du positif. On sent tout de suite qu’il a beaucoup d’expérience et ça, ça apporte pas mal de choses. »
15 h 15 : Julien Ingrassia (copilote de Sébastien Ogier depuis les débuts en 2006), six bagues en Championnat du monde des rallyes WRC avec son pilote Sébastien Ogier, revient sur la remise des gaz avec Citroën : « Le rallye à haut niveau, c’est hyper dur. Ce n’est pas comme en Formule 1 où, selon l’écurie, tu n’as aucune chance de remporter le championnat. C’est toujours un sentiment particulier de revenir ici, –On a un fort ancrage ici-, dans la région des Hautes-Alpes, et de se souvenir des premiers tours de roue mais aussi de la première rencontre avec Seb début 2006 chez lui dans le Champsaur. Mais là, sur ces essais, pas de place pour les émotions, il reste encore beaucoup de boulot avec Citroën. On pensera à nos six titres en vacances (après la fin des essais mercredi soir) et surtout quand j’arrêterai. Car le rallye Monte Carlo, c’est demain, on n’a pas le temps de regarder derrière. Cette spéciale d’essais (dans un col des Hautes-Alpes) demande pas mal d’efforts. L’organisme est sollicité, ça va vite. C’est vivant, ça bouge ! C’est particulièrement bosselé. »
13h40 : C'est la pause-déjeuner. Sébastien Ogier prend un petit moment pour ses fans.
12h30 : 5e run, c'est l'heure de la pause pour le champion du monde et l'équipe Citroën.
"On est sur une route verticale, avec du grip. On essaie pas mal de choses notamment au niveau des suspensions. Après, il faut faire attention car on peut très bien partir dans une direction et devoir changer, revenir en arrière. On n'est qu'à une demi-journée d'essais."
Sébastien Ogier
10 heures : Sébastien donne les premiers coups de volant aux alentours de Gap, Serre et Sisteron.
Sébastien Ogier, quintuple tenant du titre, prépare activement la prochaine édition du Monte Carlo qui se déroulera du 23 au 27 janvier prochains. Ce mardi, au volant de sa nouvelle Citroën C3 WRC, le Haut-Alpin est en essais avec l'ambition d'accrocher, dans un peu plus d'un mois, un septième titre sur l'épreuve.
Il a voulu imiter Latvala
Il y a 15 heures, Krystof a dit :Il n'a jamais été question qu'elles ne soient autorisées qu'en cdm .
J'avais mal compris alors...
Va y avoir de la concurrence chez Hyundai, si Neuville ne gère pas la pression. Par contre c'est pour M-sport que je suis inquiet, j'aimerais bien qu'ils soient présents cette année encore !
Il y a 23 heures, Krystof a dit :Qu'est ce que ça va etre quand il l'aura en main !!!
Bah il va poutrer tout le monde...
Sauf Loeb peut-être...
En 2019, Sébastien Ogier courra de nouveau pour l'équipe de ses débuts, avec qui il a déjà effectué plusieurs essais : une journée avant le Rallye de Turquie en septembre, quelques heures à l'usine de Satory, en région parisienne, et deux jours au Portugal fin novembre. Son objectif déclaré : être titré avec un troisième constructeur, après Volkswagen (2013-2016) et M-Sport Ford (2017-2018).
Cette fois, c'est sur ses terres qu'Ogier teste, aux côtés de son copilote Julien Ingrassia, en vue de la manche inaugurale de la saison, le Rallye Monte-Carlo, disputé entre sa ville natale, Gap, et Monaco du 24 au 27 janvier. Une épreuve qu'il a remportée à six reprises (cinq fois en WRC depuis 2014 et une fois en IRC en 2009) et dont il ne cache pas que c'est celle qu'il choisirait s'il ne devait en gagner qu'une. Mardi, entre 9h et 18h, la paire française a avalé 250 kilomètres, un peu moins que la distance d'un rallye, sous les yeux de quelques médias et de légions de fans bien informés, en dépit de la consigne de Citroën de garder le lieu secret.
Malgré la fatigue d'une fin de saison chargée par les célébrations de leur sixième sacre mondial, Ogier et Ingrassia ont enchaîné les allers-retours sur une spéciale de cinq kilomètres sur les lacets, les lignes droites et les bosses du pentu col de Faye. Et rebelote sur un autre col mercredi, après une soirée de fête avec le fan club du pilote, puis sur la neige pendant un jour et demi en janvier, juste avant le Monte-Carlo.
La paire française a du travail : à la fois continuer de prendre ses marques dans une nouvelle voiture, adapter à son goût l'ergonomie du cockpit et préparer un rallye particulièrement exigeant. "C'est encore la découverte, j'ai besoin d'apprendre la voiture, comment elle réagit aux changements de réglages, explique Ogier, guère perturbé par les deux points de suture reçus avant de prendre le volant après s'être coupé à la main droite. J'ai besoin d'un peu de temps pour être au même niveau de confiance qu'avec la Ford Fiesta (qu'il pilotait depuis deux ans avec M-Sport, ndlr), mais il n'y a rien qui me fait peur pour le moment."
Julien Ingrassia et Sébastien Ogier (Ford WRT) au Rallye d'Australie 2018Getty Images
"Pour le Monte-Carlo, il faut avant tout trouver de la confiance dans la voiture et se sentir à l'aise, poursuit-il. On a affaire à des conditions très variées, c'est impossible d'avoir le "set up" (le réglage, ndlr) parfait pour tout le rallye, il faut trouver une solution où l'on se sent confortable derrière le volant." "Il faut tout balayer au niveau technique et mécanique pour que le pilote soit le plus à l'aise et la voiture la plus performante possible", abonde Ingrassia.
Celui-ci ajoute : "je fais plein d'annotations pour que le cockpit corresponde à ce qu'on attend, qu'en course on n'ait pas d'hésitation sur telle procédure ou tel bouton à enclencher ou à ne pas toucher par inadvertance. Les saisons sont assez tendues comme ça pour ne pas couper le moteur alors que tu voulais juste mettre la ventilation !"
Du côté de l'équipe française, aux résultats mitigés depuis son retour en WRC en 2017 (trois victoires en rallye mais deux 4e places au classement des constructeurs), on remarque déjà l'apport d'Ogier, qui s'est vu servir à midi un gâteau d'anniversaire pour fêter ses 35 ans le 17 décembre. "C'est quelqu'un qui sait où il veut aller et pourquoi. Il accorde de l'importance à tout, rien n'est laissé au hasard, assure son ingénieur Thomas Breton. Ca donne tout de suite une direction, on tâtonne moins."
Vidéo - À Monte-Carlo, Ogier avait parfaitement débuté une saison historique
"Après, c'est forcément une pression supplémentaire parce qu'il a réussi à être champion partout ailleurs, donc il va falloir qu'il soit aussi champion ici, c'est non négociable", lâche-t-il dans un éclat de rire. Il faudra pour cela faire face aux dauphins du Français en 2018, le Belge Thierry Neuville (Hyundai) et l'Estonien Ott Tänak (Toyota), ainsi qu'au nonuple champion du monde français Sébastien Loeb (Hyundai), engagé pour six manches sur quatorze. "Je suis juste déçu que ça ne soit pas à plein temps, ça aurait été plus sympa", n'est pas le seul à regretter Ogier.
Sébastien Loeb est revenu dans AUTOhebdo sur les raisons qui l’ont poussé à quitter PSA pour rejoindre Hyundai.
Sébastien Loeb va effectuer un tournant dans sa carrière en venant rejoindre à 44 ans l’effectif de Hyundai. L’Alsacien a fait pourtant sa carrière en défendant les couleurs de Citroën et Peugeot, les deux marques du Groupe PSA, jusqu’à ce qu’il se retrouve à la croisée des chemins suite à l’arrêt du programme Rallycross du Lion.
« Depuis le temps que je suis chez PSA, je n’étais pas dans l’idée d’en partir, a expliqué Sébastien Loeb dans le n°2196 d’AUTOhebdo. Moi, je ne l’aurais pas forcément fait parce que tout s’est toujours bien passé avec PSA et que j’ai toujours été fidèle. Cependant, alors que j’ai encore envie de courir, il n’y a plus d’opportunité pour le faire. Par la force des choses, je suis allé voir ailleurs et le challenge à relever est quand même très intéressant… »
Avec un programme organisé sur 6 manches du WRC, Sébastien Loeb a trouvé chez Hyundai le contrat idéal pour continuer à courir sans être entièrement happé par la compétition.
« Je ne cherchais pas à disputer une saison entière, donc cette proposition me convenait très bien. Avec 14 manches, les reconnaissances et les essais, cela fait presque la moitié de l’année en déplacement. Je n’avais pas envie de replonger là-dedans. Leur motivation m’a également plu. Ce sont eux qui, en WRC, ont été les premiers à me démarcher… », a ajouté le nonuple champion WRC.
Découvrez l’interview complète de Sébastien Loeb et notre dossier sur l’arrivée de l’Alsacien chez Hyundai dans le n°2196 d’AUTOhebdo, disponible dès à présent en version numérique sur toutes les plates-formes et en kiosques.
Publié le 19-12-2018 16:15
Pour M-Sport y'a une partie de bluff aussi, faut pas se leurrer !
Il faut espérer ! Mais je le vois mal engager qu’une seule fiesta.