Intéressant ce que dit Budar. On apprend pas grand chose mais intéressant.
Il y a 21 heures, Turbo a dit :Le top départ de la 62e édition du Tour de Corse sera donné dans moins de quatre mois dans la ville dePorto-Vecchio pour la première fois de son histoire.
Le jeudi 28 mars 2019, l’emblématique ville de Porto-Vecchio accueillera pour la première fois la cérémonie de départ du CORSICA linea – Tour de Corse, après avoir réceptionné la cérémonie d’arrivée en 2016 et 2017.
J'arrive à Porto-Vecchio le... 6 avril
il y a 3 minutes, Armin a dit :J'arrive à Porto-Vecchio le... 6 avril
C'est ballot... Moi,plusieurs participants VHC m'ont branché au repas de la semaine dernière pour
que j'y aille mais je serai en phase "déménagement" de l'Auberge,je doute donc que ce soit
judicieux de partir en Corse...
Citation
Même problème pour l'historique, c'est à partir du 7 octobre et je quitte Porto-Vecchio fin septembre
Jeu traduie come jeu peut ai je vou merde !
L'investissement dans l'investissement ..........;
Bien un truc de qatari ça
il y a 7 minutes, Turbo a dit :L'investissement dans l'investissement ..........;
Bien un truc de qatari ça
Il parait même que dans certains milieux autorisés, ils s'autorisent des trucs .
Hyundai qui nie d'abord avoir approché Loeb, Hyunda qui aujourd'hui dit: "OK, c'est vrai mais on a juste pris contact." Après ils diront: "Ok c'est signé, mais faut surtout pas le dire à Thierry et Nicolas!"
Il y a 22 heures, RP14 a dit :voir Loeb sur 5-6 rallyes en 2019.
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On dirait que tu as des infos. C'est comme pour les frites ou autre chose, c'est souvent ceux qui en parlent le moins qui en ont le plus en fait!
Il a 100% de chance de ne jamais être champion
A la base, c'est ce qui était prévu. 5/6 rallye en C3.
Il y a une soirée Fan club en fin d'année ?
De fortes rumeurs laissent entendre que le manager de Kalle Rovanperä, Timo Jouhki, a déjà lié l'avenir du pilote de 18 ans via un accord à long terme avec un autre de ses anciens pilotes, le directeur de Toyota WRC Tommi Mäkinen.
Jari-Matti Latvala et Kris Meeke disposent tous les deux d'un contrat d'un an chez Toyota pour 2019, et l'un d'entre eux devrait ensuite se retirer pour laisser la place à Rovanperä.
Même si Škoda a un contrat à long terme avec Rovanperä, son team manager Pavel Hortek a confirmé qu'il n'entraverait pas sa progression.
"D'un côté, je peux vous dire que nous avons un accord à long terme avecKalle", déclare Hortek. "Mais comme vous l'avez vu avec Juho [Hänninen] et Esapekka [Lappi], nous n'avons jamais bloqué l'opportunité pour un jeune pilote lorsqu'il est venu nous voir en nous disant : 'Les gars, j'ai la proposition pour aller plus haut'. Nous ne les avons jamais stoppés."
"Kalle est un jeune garçon extrêmement talentueux
Et aussi extrêmement boutonneux
et nous patientons pour son avenir. C'est risqué d'en dire trop lorsqu'un garçon n'a que 18 ans, mais j'espère qu'il continuera son ascension."
Rovanperä a indiqué que 2019 serait "question d'expérience" en participant à autant de manches que possible en WRC, et que "le titre WRC2 n'était pas pour [lui]".
Il pilotera un Fabia R5 privée pour l'équipe TGDS Worldwide de l'ancien pilote WRC Toni Gardemeister lorsqu'il ne sera pas dans la voiture d'usine.
Bien qu'enthousiaste à l'idée d'un passage en WRC en 2020, il a insisté sur le fait que cette évolution n'était pas encore pour tout de suite.
"Ça dépend comment se passe l'année prochaine, mais après ça je pense pouvoir être prêt si nous avons de l'expérience et que la vitesse est bonne", estime Rovanperä. "Mais personne ne sait ce qui se passera et la R5 reste bien placée pour se battre avec les plus rapides. Ça ne me dérange pas de piloter deux ou trois ans en WRC2. Je ne suis pas si pressé."
Coéquipier de Rovanperä en 2018, Pontus Tidemand a quitté Škoda car il avait le sentiment de manquer de temps pour atteindre la catégorie reine.
"J'étais là depuis quatre ans, ils m'ont offert une année supplémentaire, donc nous avions une chance de rester, mais les années filent maintenant", a confié le Champion WRC2 2017. "J'ai bientôt 28 ans et si je veux devenir pilote WRC je dois faire quelque chose d'autre."
"Nous travaillons sur des opportunités afin de faire quelque chose avec une World Rally Car. Faire le Rallye de Suède serait toujours un souhait et c'est certainement une épreuve ou je pense pouvoir signer un bon résultat."
Tidemand a également loué le talent de Rovenperä : "Franchement, c'est particulier. Nous n'avions pas vu quelqu'un comme lui avant. Il apprend si vite, et trouve comment être rapide."
Le 06/12/2018 à 20:49, tartugue a dit :6
Publié le 07/12/2018 par Francis Monsenergue Mis à jour le 07/12/2018
Artisans du titre de champion du monde des constructeurs WRC de Toyota, Ott Tänak, Jari-Matti Latvala, leurs coéquipiers et leur patron, Tommi Mäkinen, ont entrepris une tournée mondiale. Avec une date incontournable à Onnaing (Nord), près de Valenciennes, site de production européen de la Yaris.
Ils n’étaient pas peu fiers en ce début d’après-midi, au moment du changement d’équipes sur le site de l’usine Toyota, de voir une des Yarisdu Toyota Gazoo Racing engagée en WRC enchaîner les "donuts", les accélérations bruyantes et les freinages ultra-courts autour des bâtiments industriels (voir vidéo en bas). Fiers parce que cette auto, modèle le plus fabriqué en France depuis cinq ans (1100 par jour, dont 87 % sont exportés un peu partout sur la planète), ce sont eux, les employés, qui l’ont construite. Tommi Mäkinen, quadruple champion du monde et boss de l'écurie, précise : "une fois réceptionnée dans nos ateliers en Finlande, la coque de la Yaris nécessite 500 heures de travail avant de répondre à tous les critères d’homologation de la FIA. Le moteur, lui, est assemblé à Cologne, en Allemagne, dans l’usine des TS050 gagnantes des 24 Heures du Mans 2018."
Si pour ces dernières, en endurance, la concurrence est clairsemée, on ne peut en dire autant du de la Yaris de rallye où les adversaires sont très pointus. Pour Mäkinen, dont l’équipe n’a débuté en WRC qu’en 2017, ce titre est un authentique exploit, tant la lutte est à couteaux tirés :"Aujourd’hui, du fait de la réglementation, les voitures sont très proches, donc les écarts entre les meilleurs sont faibles, ce qui est excellent pour l’intérêt de la compétition. Désormais, les WRC sont aussi performantes sur asphalte que sur terre alors qu’auparavant certaines marchaient mieux sur un type de terrain qu’un autre." La meilleure illustration de ce constat est que les nordiques sont à l’aise sur tous les terrains, en gagnant en Corse, par exemple, et que les latins s’imposent en Suède ou en Finlande.
Pour célébrer son titre de champion du monde des constructeurs en rallye, Toyota a offert une démonstration de sa Yaris WRC à Onnaing, près de Valenciennes. © © Samuel Dhote / Toyota Jari-Matti Latvala a participé à une séance de dédicaces.© © Samuel Dhote / Toyota
L’an prochain, l’Estonien Tänak et le Finlandais Latvala seront rejoints par l’Irlandais du nord Kris Meeke, limogé par Citroën cette saison suite à de nombreuses sorties de route : "je connais le métier de rallyman par cœur. J’ai une grande confiance en Kris, je saurais l’intégrer dans l’équipe. L’état d’esprit est un facteur très important pour la réussite." Esapekka Lappi, le troisième pilote Toyota n’était pas de la fête à Valenciennes, il va devenir l’équipier de Sébastien Ogier chez Citroën. Ce qui fait dire à Mäkinen : "Sébastien dans une grande écurie va être encore plus redoutable, mais le challenge n’en est que plus excitant." Première confrontation à partir du 24 janvier sur les routes du Rallye Monte-Carlo, l’une des épreuves les plus compliquées de la saison en raison de conditions météo souvent changeantes, mais aussi l’une des plus belles.
Le sextuple Champion du Monde des Rallyes, Sébastien Ogier dresse le bilan du championnat WRC à l’heure actuelle. Il a quelques idées pour redonner de l’intérêt à la discipline.
Le Rallye est une discipline très populaire dans beaucoup de pays, notamment la France. Les spéciales de rallyes présentent encore un facteur risque qui tend à disparaître sur les circuits, des paysages bien plus variés que sur les circuits, voilà peut-être deux aspects qui vont à la préférence aux amoureux et inconditionnels du rallye.
Le Rallye n’a jamais été une discipline télégénique, car il est compliqué de capter l’attention sur 3 jours de spéciales. Néanmoins et malgré ce, l’engouement est toujours là, il s’est même renforcé ces dernières années avec les nouvelles WRC élargies et dont la puissance affiche désormais 380 ch.
Aujourd’hui, M-Sport, Citroën, Hyundai et Toyota se disputent les victoires, voilà qui donne du piment aux rallyes, personne n’est capable de deviner à l’avance le vainqueur comme dans d’autres disciplines.
Le Champion 2018, Sébastien Ogier, pense que le WRC doit s’adapter et reformer ses week-ends. Pour lui, 3 jours pour capter l’attention des fans c’est trop long. « Nous avons eu une bonne saison, mais la discipline doit se réformer. Il pourrait être nécessaire de compacter le format actuel. Trois jours c’est trop long pour maintenir avec succès l’attention du public, il serait mieux d’avoir deux jours intenses avec 300 km de spéciales pour préserver la notion d’endurance. »
Puis, l’ordre de départ des pilotes qui peut influencer sur le résultat final du rallye a été évoqué. « Il y a aussi l’éternel débat de l’ordre de départ des pilotes. Aujourd’hui, il y a trop d’avantage donné aux pilotes invités, c’est vraiment préjudiciable. Les règles en WRC sont conçues de manière à ce que les invités aient les meilleures positions de départ, c’est frustrant. Nous ne pouvons pas présenter des résultats artificiels au public et créer une fausse concurrence, c’est un sujet épineux. » Les intéressés visés apprécieront…
Ensuite la question de l’hybridation des WRC, un sujet qu’il faudra évoquer tôt ou tard. Le Championnat du Monde de Rallycross a retardé l’échéance du 100% électrique de 2020 à 2021. Pour Sébastien Ogier, il faut que la discipline prenne en considération l’électrification.
« Le WRC doit également s’intéresser à l’électrique, nous devons agir et prendre aussi ce virage que les autres disciplines ont déjà pris. Ce n’est pas facile à mettre en place mais il existe aujourd’hui des solutions, c’est le meilleur moyen d’attirer des nouveaux constructeurs tout en répondant aux besoins de notre société. »
La Formule 1 a adopté l’hybridation des moteurs, comme le WEC avec ses LMP1 (même si Toyota en est le seul représentant aujourd’hui), la Formule E est, elle, une discipline 100% électrique. Est-ce que le WRC peut à court terme être une discipline hybride pour attirer de nouveaux constructeurs ?
Chez Subaru, on attend juste un modèle adéquat dans la gamme pour justifier une implication en WRC, comme une nouvelle compacte. Chez Mitsubishi, l’idée était sur la table, puisque de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, les deux premiers constructeurs ont un programme officiel mondial, seul Mitsubishi pouvait entrevoir un retour en WRC. Mais depuis l’affaire Carlos Ghosn, est-ce toujours d’actualité ?
La récupération stupéfiante du Finlandais à l'étape d'Äänekoski a permis de remporter le trophée FIA de l'action de l'année lors de la cérémonie de remise des prix de fin de saison de l'instance dirigeante à Saint-Pétersbourg, en Russie, vendredi soir.
Ce prix est la seule récompense décernée par la FIA à la suite d'un vote des fans et la performance spectaculaire de Suninen signifie que le WRC a remporté le prix pour la deuxième année consécutive.
Suninen et son co-pilote Mikko Markkula étaient à la recherche de la tête de leur événement à domicile le jour de l'ouverture, quand ils sont allés dans un long coin gauche trop chaud.
Alors qu’ils perdaient l’arrière de leur Fiesta M-Sport Ford World Rally Team et glissaient hors de la route à toute vitesse, les caméras de télévision WRC étaient parfaitement positionnées pour capter le drame qui se déroulait.
Alors qu'il semblait que son événement à la maison était sur le point de se terminer de manière dramatique dans un fossé profond, Suninen a réussi à planter l'accélérateur et à trouver assez de traction pour se dégager des ennuis et rebondir sur la route. C'était la récupération ultime.
Suninen, qui a terminé au sixième rang du rallye, a tweeté: "Oui! La FIA a récompensé mon grand toboggan sur la scène Äänekoski de Neste Rally avec le titre" Action de l'année ". Je n'avais pas l'intention de participer à cette compétition de cette façon mais c'est arrivé et j'ai eu ce prix ... merci pour les votes! "
Vous pouvez revivre le moment dramatique de Suninen ci-dessous.
BMW sera engagé en Intercontinental GT Challenge en 2019, via notamment Walkenhorst Motorsport. Les programmes GT3 de Munich comprendront aussi les 24 Heures du Nürburgring et la Coupe du Monde FIA GT de Macao.
Walkenhorst Motorsport sera l'une des têtes de pont de BMW en 2019 en Intercontinental GT Challenge. © SRO Motorsports
A croire que le succès de juillet dernier aux 24 Heures de Spa, sommet de l'Intercontinental GT Challenge, a donné des idées à BMW Motorsport. La marque allemande a confirmé ce vendredi son engagement complet sur la série intercontinentale de SRO Motorsports en 2019, via notamment le Walkenhorst Motorsport.
L'écurie d'Henry Walkenhorst, qui avait déjoué tous les pronostics en Belgique l'été dernier pour décrocher une victoire historique, sera l'une des têtes de pont de BMW en IGTC, via au minimum l'exploitation d'une M6 GT3. Une seconde voiture reste à l'étude.
Du côté des pilotes, les pensionnaires du Walkenhorst Motorsport restent à officialiser mais BMW a indiqué qu'Augusto Farfus et Martin Tomczyk feront partie d'un autre équipage aligné par une écurie à déterminer.
Cette annonce permet dans tous les cas à l'Intercontinental GT Challenge de compter sur un constructeur supplémentaire dès l'an prochain, après avoir vu Audi, Bentley, Mercedes, Porsche et McLaren se disputer les lauriers 2018.
Nürburgring et Macao toujours au menu
Si les Blancpain GT Series et l'IGTC demeurent des programmes majeurs en GT3, pour toute marque allemande, briller au Nürburgring sur le double tour d'horloge dans l'Enfer Vert reste une obligation.
BMW Motorsport sera bien de retour en 2019 sur la Nordschleife, Munich courant après un succès à domicile depuis 2010. ROWE Racing, grande habituée du Nürburgring et lauréate à Spa en 2016, sera l'une des structures soutenues par BMW, avec les pilotes maison Tom Blomqvist, Nick Catsburg, Connor De Phillippi, John Edwards, Philipp Eng, Jesse Krohn, Marco Wittmann et Nick Yelloly.
Augusto Farfus, Martin Tomczyk et Timo Scheider seront présents au sein d'autres écuries. Falken Motorsport et Walkenhorst Motorsport ont en outre confirmé des voitures clientes pour ces 24 Heures du Nürburgring.
La firme allemande compte également défendre son titre acquis en novembre dernier à la Coupe du Monde FIA GT de Macao, où Augusto Farfus avait offert une dernière victoire à Charly Lamm, patron du Team Schnitzer.