On ne doit pas avoir les mêmes images. Lorsque je voyais débouler Loeb et Ogier à 160 à l'heure dans une boue typée verglas au milieu des acacias, j'avais un petit frisson. Faut savoir ce qu'on veut : tout le monde rouspète au sujet des rallyes aseptisés d'aujourd'hui de plus en plus apparentés au circuit. Quand on a des ornières profondes pleines de flotte, une boue grasse et les meilleurs pilotes du monde qui se battent comme des damnés ne serait-ce que pour rester sur la piste, j'ai un sourire tranche papaye !