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Posté le 06/11/2018 à 08:28:38
Peut etre parmi vous certain se souviendra de Charles Faucon ( il n'y a pas de hasard ! ) celebre commissaire technique avec son eternel chapeau ? Un cauchemard !
Posté le 06/11/2018 à 05:40:12
Petite réflexion philosophique du chirurgien fou. Le bureau de l'ASA Hérault est comble en cette période de pré-Cévennes, d'autant qu'Alain Ricciardi est en train de sortir la liste des engagés.
Posté le 05/11/2018 à 15:37:00
Il y avait un loustic commissaire technique redoutable. Comme je me suis aperçu cet été que, quarante ans plus tard, il sévit toujours, je me contenterai de l'appeler L.
Posté le 05/11/2018 à 15:26:40
Aboule les billes.
Posté le 05/11/2018 à 14:00:50
Bingo !!!
Posté le 05/11/2018 à 07:57:30
Rien de nouveau sous le soleil !
Posté le 05/11/2018 à 05:19:41
Tautavel ?
Posté le 05/11/2018 à 04:54:46
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Posté le 04/11/2018 à 15:57:38
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Posté le 04/11/2018 à 15:56:40
Euh, une 3008 plutôt, non ?
Posté le 04/11/2018 à 15:39:14
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Posté le 04/11/2018 à 15:35:51
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Posté le 04/11/2018 à 14:33:22
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Posté le 03/11/2018 à 14:49:49
Dès le premier soir, nous ouvrons la première des nombreuses boutanches de Ricard que les pauvres ânes trimballent. Notre Menavalpa vient à passer...
Posté le 03/11/2018 à 12:52:29
Comme il nous reste une journée entière à Huaraz que nous commençons à bien connaître, nous décidons de faire notre seule vraie virée touristique et prenons un car de ligne pour aller voir les vestiges de la civilisation Chavin, à cinq heures de là, en passant sur l'altiplano, mais aussi dans des gorges beaucoup plus vertigineuses. Arrivés sur le site, nous avons la chance de tomber sur un archéologue péruvien qui nous commente ses plans et ses recherches devant la forteresse.
Posté le 03/11/2018 à 10:47:08
En haute montagne, on prévoit toujours des jours-tampons pour les inévitables intempéries qui nous cloueront au camp. Or, nous avons eu le bol d'un grand beau permanent (hormis le brouillard durant l'heure passée au sommet du Pisco). Nous avons encore un capital temps avant de reprendre l'avion. Nous décidons de rester une paire de jours au camp de base du Chopicalqui pour profiter de l'environnement. Jean-Luc remarque que nous sommes le 13 juillet et que ce serait amusant le lendemain de tirer le feu d'artifice le plus haut (nous sommes en effet au-delà de 4500 mètres). Sitôt dit, sitôt fait, le lendemain à six heures nous descendons les trois heures de sentier pour rejoindre la piste et prendre ce car à l'attaque : il nous mènera à Caraz en quatre heures.
Posté le 03/11/2018 à 10:24:36
Nos arrieros (les muletiers) nous demandent si ça nous dirait de goûter au plat de fête, la Pachamanca : nous leur confions un petit pécule pour les achats et ils se mettent au boulot avant l'aube : je vous donne la recette si le cœur vous en dit.
Posté le 03/11/2018 à 09:43:06
Les choses sérieuses commencent avec l'ascension du Pisco, un sommet pas difficile, mais à 5760 mètres tout de même, quasiment 1000 de plus que le Mont Blanc. Nous ferons cela en autonomie, les muletiers / cuistots qui nous accompagnaient pendant le trek nous attendront au camp de base. Un coup d'œil sur les Huandoy, le Huascaran et enfin celui qui nous attend, le Pisco donc et la seule femme de l'équipe apprend comment se sortir toute seule d'une crevasse en confectionnant des nœuds de Prussik sous les conseils de son mari et d'un copain de l'expé.
Posté le 03/11/2018 à 08:12:08
idem
Posté le 03/11/2018 à 07:45:21
Nous étions allés au Pérou il y a quelques pages pour un trek que nous avions fait avec Marianne en 2006. Là, nous sommes en 97, j'habite encore en Métropole, ma douce ne prendra ses vacances que plus tard, et je pars avec une joyeuse bande d'Héraultais avec qui je fais de la spéléologie, du VTT et qui m'ont un peu initié à l'escalade. Pas de tourisme (au sens Cuzco et le lac Titicaca où ne nous mettrons pas les pieds, je visiterai en 2006), seulement de la haute montagne dans la Cordillère Blanche.
Posté le 03/11/2018 à 07:36:44
Je ne sais plus ce qu'avait fait Didier, mais Régis et moi, engagés en national pour cause de parcours mixte en Inter (la Rallye 2 n'aime pas la terre), nous avions fini deux au scratch derrière l'Audi Quattro de Kruger.
Posté le 02/11/2018 à 07:33:22
Une petite dernière avant de vous laisser tranquilles quelque temps avec mes histoires.
Posté le 02/11/2018 à 07:09:02
Tiens, en fouillant dans les photos de cette édition, un excellent souvenir pour moi, garanti sans anecdote ou presque, désolé.
Posté le 01/11/2018 à 12:06:49
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Posté le 01/11/2018 à 11:37:06