Moi perso j'étais complètement éclaté le dimanche matin. J'ai cru jamais réussir à me lever. Enchainer les nuits de 4-5h, j'étais cuit. Heureusement qu'on a pas traîné à faire des apéros en plus.
Comme dit François, je ne vois pas quel moment plus intense je pourrai vivre sur un rallye. Je n'ai toujours pas de mot. Je prenais les photos à la volée et à l'arrachée surtout, bloqué entre l'émotion de voir Ott en larmes dans les bras de sa femme et le monde de fou qui s'entassait et poussait derrière. Moment hors du temps. On a assisté à une page plus qu'historique, à même pas un mètre, c'est juste incroyable.
J'avais qu'à prendre le temps de le faire. Il n'aurait pas été bon de toute façon, donc c'est sans importance. Et ça serait surtout pas juste pour les autres.