Pendant les vacances , ma femme a insisté pour que je l’accompagne faire ses courses au supermarché.
Malheureusement, comme la plupart des hommes, je trouve cette tâche des plus ennuyeuses et préfère entrer et sortir rapidement. Ma compagne étant (hélas) comme la plupart des femmes, elle aime faire du shopping pendant des heures et des heures ! Donc j’essaye d’occuper mon temps comme je peux. Mais hier, ma chère a reçu la lettre suivante du supermarché :
Chère Mme P….,
Au cours des six derniers mois, votre mari a été à l’origine de plus d’un problème au sein de notre magasin.
Nous ne pouvons tolérer ce comportement et sommes contraints de vous interdire, à tous les deux, l’accès à notre supermarché.
Nos plaintes contre Mr P. sont énumérées dans l’historique ci-dessous, et documentées par les vidéos de nos caméras de surveillance vidéo, disponibles sur simple demande de votre part.
Le premier juillet : A pris 24 boîtes de préservatifs et les a déposées au hasard dans les chariots d’autres clientes, quand elles ne regardaient pas.
Le 2 juillet : A réglé tous les réveils dans le rayon des articles ménagers / literie pour qu’ils se déclenchent à intervalles de 5 minutes.
Le 7 juillet : Avec une boîte de concentré, a fait une traînée de jus de tomates sur le sol conduisant aux toilettes des femmes.
Le 12 juillet : A rôdé dans le magasin avec un regard louche, en fredonnant le thème de « Mission Impossible » .
Le 17 juillet : A monté une tente dans le département de camping et proposait aux autres clients d’amener des couvertures et oreillers pour une soirée à la belle étoile.
Le 23 juillet : Quand un employé a demandé s’il pouvait l’aider, a commencé à pleurer et à crier : « Pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ?»
Le 25 juillet : A regardé directement dans la caméra de sécurité et l’a utilisée comme un miroir, pour aller chercher des trésors dans son nez.
Le 27 juillet : A manipulé des armes à feu dans le département de « chasse et pêche » et a demandé au préposé dans quel rayon se trouvaient les antidépresseurs.
Le 28 : S’est caché dans un rayon de vêtements, à l’intérieur d’une longue robe et lorsque les gens approchaient, il criait : « Choisis-moi, choisis-moi !»
Le 29 : Quand une annonce est venue sur le haut-parleur, il s’est couché au sol en position foetale et a crié : « Oh non ! C’EST ENCORE CES VOIX !»
Et le dernier incident, mais pas le moindre : Est entré dans une cabine d’essayage, a fermé la porte, a attendu un certain temps, puis a crié très fort : « Hé ! Il n’ y a pas de papier cul ici ? »...
Une petite fille sur les genoux de sa Grand mère lui demande :
– Dis mamie, ferme les yeux s’il te plaît…
– Mais pourquoi donc ?, lui demande sa grand-mère.
– Allez mamie, VAS YYYYYYYYY EEEEEUUUUHH… S’il te plaît, insiste la fillette.
– Bon d’accord, dit la grand-mère.
La grand-mère ferme les yeux, et la petite fille regarde longuement au plafond, puis elle finit par soupirer en disant tristement :
– Bah non, y a rien…
– Comment ça, il n’y a rien ??, s’inquiète la mamie .
– Ben oui, il n’y a rien, continue la petite fille le regard toujours fixé au plafond, pourtant papa dit toujours à maman que lorsque mamie fermera les yeux, un trésor tombera du ciel…
Un américain part en vacances en Israël avec sa femme et sa belle-mère.
Pendant le séjour, la belle-mère décède. Les pompes funèbres indiquent à l’américain et sa femme qu’un rapatriement coûte 5000 dollars alors que l’enterrement sur place coûte 100 dollars.
L’américain opte sans hésiter pour le rapatriement.
Les pompes funèbres insistent et indiquent que le prix inclut une cérémonie en grande pompe.
L’américain ne change pas d’avis.
Une fois dans leur hôtel, sa femme s’adresse à lui :
« Chéri, je suis contente que tu aies choisi le rapatriement le plus onéreux, c’est vraiment une marque d’amour pour maman ! »
Son mari lui rétorque alors :
« En fait ici, ils ont enterré un certain Jésus il y a 2000 ans et il est revenu 3 jours après sur terre alors je ne voulais prendre aucun risque avec ta mère. »
Lettre reçue aux Télécom
Cher Monsieur,
J’ai l’honneur d’accuser réception de votre lettre du 20 août dernier par laquelle, pour la troisième fois, vous me réclamez le remboursement de l’argent que je vous dois.
Sachez tout d’abord que je ne conteste nullement ma dette et que j’ai l’intention de vous rembourser aussitôt que possible.
Mais d’autre part, je vous signale que j’ai encore beaucoup d’autres créanciers, tous aussi honorables que vous, et que je souhaite rembourser aussi.
C’est pourquoi, chaque mois, je mets tous les noms de mes créanciers dans un chapeau et en tire un au hasard que je m’empresse de rembourser immédiatement.
J’ose espérer que votre nom sortira bientôt.
Entre-temps, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’assurance de mes sentiments distingués.
Signature
P.S. : Votre dernière lettre étant rédigée de manière fort peu courtoise, j’ai le regret de vous faire savoir que vous ne participerez pas au prochain tirage…
Un type décide de faire son baptême de l'air.
Il se rend dans un aéroclub
et engage la conversation avec le pilote :
" Voilà... J'aimerais faire mon baptême de l'air
mais je voudrais un vol à sensations,
pas les petits vols pépères que vous réservez aux touristes "
" Pas de problème,
si vous êtes amateur de sensations fortes,vous allez en avoir "
Le type et le pilote montent donc dans un petit avion.
L'avion prend de la vitesse...
il roule de plus en plus vite mais ne décolle pas !
Il fonce droit sur un arbre !
Au dernier moment, le pilote tire sur le manche
et l'avion décolle en frôlant les branches de l'arbre...
Le pilote entend son client assis derrière lui dire :
" Ça, je m'y attendais !"
L'avion a maintenant pris de l'altitude.
Comme le type ne semble pas avoir eu peur au décollage,
le pilote tente la figure de "la feuille morte".
Il coupe le moteur de l'avion et ce dernier chute vers le sol.
L'avion part en vrille,
le sol se rapproche de plus en plus vite et au dernier moment,
le pilote remet les gaz et tire sur le manche !
L'avion fait un rase-mottes et reprend de l'altitude..
Le pilote entend son client dire :
" Ça, je m'y attendais aussi ! "
Énervé, le pilote bascule l'avion sur le dos.
Il vole ainsi un petit moment puis enchaîne les loopings.
Lorsqu'il termine ses acrobaties,
le pilote entend le type dire :
" Ça, par exemple, je ne m'y attendais pas ! "
Comme le client a enfin eu les sensations fortes demandées,
le pilote pose le petit avion en douceur..
Après avoir atterri,
il dit à son client :
"J'ai cru que je n'arriverais jamais à vous faire peur !
Vous n'arrêtiez pas de dire "ça, je m'y attendais !"
" Écoutez bien ! "dit le type.
*
" Quand j'ai dit
ça, je m'y attendais !
au moment du décollage,
c'est parce que j'ai pissé dans mon pantalon
tellement j'ai eu peur!
Ensuite, quand l'avion a chuté vers le sol,
j'ai dit ça, je m'y attendais !
parce que j'ai chié dans mon pantalon tellement
j'ai eu peur .......
Par contre, quand vous avez volé sur le dos
et fait les loopings à l'envers,
tout est remonté dans le col de ma chemise,
et ça, je ne m'y attendais pas ...!!! "
Un jeune prêtre nouvellement ordonné vient d’être nommé dans une paroisse de campagne.
Le jour de la confession il dit au curé :
– Je n’ai aucune expérience, je ne sais pas très bien quelle pénitence donner selon les cas.
– Ce n’est pas grave, dit le curé. Mettez-vous de l’autre côté, vous m’entendrez confesser.
Une première pénitente s’agenouille.
– Mon père, je m’accuse d’avoir trompé mon mari…
– Combien de fois ?
– Trois fois.
– Vous direz cinq « Je vous salue Marie » et vous mettrez dix euros dans le tronc de la Sainte Vierge.
Une seconde pénitente s’accuse elle aussi d’avoir trompé son mari trois fois.
– Vous direz cinq « Je vous salue Marie » et vous mettrez dix euros dans le tronc de la Sainte Vierge.
Après quoi il sort du confessionnal et dit au jeune prêtre de prendre sa place. Une nouvelle pénitente s’agenouille de l’autre côté de la grille.
– Mon père, je m’accuse d’avoir trompé mon mari…
– Combien de fois ?
– Deux fois.
– Alors vous pouvez recommencer, parce qu’aujourd’hui pour dix euros vous avez droit à trois fois…
C’est dimanche après-midi et les parents ont une sacrée envie de faire un petit câlin. Malheureusement pour eux, le petit est dans l’appartement et comme il risque de pleuvoir, les parents ne peuvent pas l’envoyer jouer dehors. Alors le papa trouve la solution :
– Pierre-Louis, pourquoi n’irais-tu pas sur le balcon ? Comme ça tu nous raconteras tout ce qui se passe en bas !
Pierre-Louis va sur le balcon et commence son observation. Pendant ce temps, les parents passent aux choses sérieuses.
Pierre-Louis :
– Il y a une voiture qui se fait remorquer par une dépanneuse dans le parking…
….Tiens, une ambulance vient de passer à toute vitesse…
….Il y a des gens qui rendent visite aux voisins d’à coté…
Un moment passe puis Pierre-Louis reprend :
– Lili fait du vélo sur le trottoir…
…Les Martin sont en train de faire l’amour…
A ces mots, ses parents sursautent et le papa interloqué demande :
– Et comment tu sais ça Pierre-Louis ?
– Parce que leur fils aussi est sur le balcon…