C'est rageant !
2017 l'info.
Je sais que c'est bientôt le changement d'heure mais je ne savais pas qu'on remontait autant dans le temps.
Info express
L'homme a marché sur la lune
Il y a 7 heures, LeChevalierNoir a dit :2017 l'info.
Je sais que c'est bientôt le changement d'heure mais je ne savais pas qu'on remontait autant dans le temps.
Info express
L'homme a marché sur la lune
Ce n'est pas le topic des scoops, mais des infos insolites. La date, on s'en tamponne
Tu vas pas prendre au sérieux les propos d'un gars qui se prend pour une chauve souris quand même !
Il y a 2 heures, Rick a dit :Ce n'est pas le topic des scoops, mais des infos insolites. La date, on s'en tamponne
En l'occurrence c'est l'âne qui s'est fait tamponner.
Le 13/10/2019 à 11:34, LeChevalierNoir a dit :Toi tu es pro BFM ecossais.
Oui ils racontent la vrairité en toute impartialité
il y a 12 minutes, Tof a dit :Oui ils racontent la vrairité en toute impartialité
Seuls les vrais sachent la véritude
En ce moment, l'évènement annuel à la Réunion (non, je ne parle pas de la visite prochaine de Macron), le Grand raid ou Diagonale des Fous de renommée mondiale : un ultra-trail de 170 km avec pas loin de 10 000 mètres de dénivelé positif (et naturellement de négatif puisqu'ils partent du bord de mer pour arriver en bord de mer). Une fois encore, le vainqueur passe en moins de 24 heures sur des sentiers de ouf !
Hier soir sur les télés locales, j'ai trouvé lors des ITW le vainqueur Grégory Cumer un peu à l'ouest et plutôt taiseux. Après avoir consulté son pedigree, j'ai vu qu'il est chamoniard : tout s'explique, je connais un peu les loustics !
Mais la plus belle image de cette épreuve hors normes est pour moi celle-là : Ludovic Pommeret, l'un des favoris, s'est égaré -comme beaucoup d'autres- en début de parcours et s'est retrouvé à la 184ème place. Serrant les dents, il a passé toute sa course à effectuer une remontada d'anthologie et a réussi à doubler le deuxième, le local Nicolas Rivière, juste avant le pointage du Colorado, le dernier avant l'arrivée. Signant un pacte tacite de non-agression, les deux ont parcouru la dernière demi-heure de ce long calvaire que constitue la Diagonale des Fous ensemble et ont franchi la ligne d'arrivée deuxièmes ex-aequo : le sport comme on l'aime !
En effet, et à l’instar des jours et des nuits, des saisons, des cycles lunaires et solaires, ainsi que des cycles propres à notre galaxie (tout comme pour l’ensemble de l’Univers), le réchauffement et le refroidissement terrestres sont cycliques et naturels. Ce que l’on comprend également, c’est qu’il n’y a pas de « réchauffement » en tant que tel depuis 1997.
Prendre comme point de repère certaines parties du globe pour annoncer en fanfare des augmentations de températures globales n’est ni sérieux, ni digne de la science.
Donc, s’il n’y a pas de réchauffement, l’expression « réchauffement climatique anthropique » est un mensonge.
En lieu et place, les scientifiques du GIEC auraient dû avoir l’honnêteté de parler de « changements climatiques », et ce depuis le début (1988). Mais honnêteté ne rime pas avec profit.
C’est en 1958, pour être précis, que la NASA a pour la première fois observé que des changements dans l’orbite solaire de la Terre et des modifications de l’inclinaison de son axe sont responsables de ce que les climatologues appellent aujourd’hui le « réchauffement » (ou « refroidissement », selon leur intention du jour).
En d’autres termes, les humains sont impuissants à réchauffer ou refroidir la planète en conduisant des 4×4 ou en mangeant du bœuf.
Mais jusqu’à présent, la NASA a échoué à rétablir les faits pour ce qu’ils sont et a plutôt choisi de rester les bras croisés à observer les libéraux/démocrates paniquer face à un monde censé prendre fin dans 12 ans à cause d’un excès de production bovine ou de pailles en plastique.
Le Giec ayant déclaré dans son rapport publié en octobre 2018 qu’il fallait réduire les émissions de gaz à effet de serre de 50 % pour réduire la hausse du réchauffement climatique, Alexandria Ocasio-Cortez (plus jeune démocrate élue au Congrès étasunien à 28 ans en 2018) déclarait en janvier dernier que le monde prendrait fin dans douze ans : « La fin du monde est dans douze ans si nous ne traitons pas le problème du changement climatique. […] C’est une guerre, c’est notre Deuxième Guerre mondiale (Sic !). » Source
Des envolées lyriques dans une défense d’un « Green New Deal » qu’aucun démocrate n’a voté, ce qui en dit long sur la sincérité de leurs déclarations.
Cependant, la vérité ressemble bien plus aux travaux de l’astrophysicien serbe Milutin Milankovitch — qui a donné son nom à la théorie astronomique des changements climatiques, aussi appelée Théorie Milankovitch. Cette théorie permet d’expliquer comment les variations saisonnières et latitudinales du rayonnement solaire, qui touchent la Terre de différentes manières et à différents moments, exercent le plus grand impact sur les changements climatiques de la planète.
C’est pourquoi des libéraux un peu dérangés et obsédés par le climat ont maintenant commencé à prétendre qu’il ne nous reste que dix-huit mois avant que la planète ne meure d’un excès de dioxyde de carbone ou CO2.
Les deux images ci-dessous permettent d’en illustrer le propos.
La première montre une excentricité orbitale de la Terre quasi nulle, et la seconde une excentricité orbitale de la Terre de 0,07. Ce changement d’orbite est représenté par la forme excentrique et ovale de la deuxième image, qui a intentionnellement été exagérée dans le but de montrer le changement massif de distance qui se produit entre la Terre et le Soleil, selon que ce dernier se trouve au périhélie ou à l’aphélie.
Comme spécifié par Hal Turner dans son émission radiophonique :
« Même l’excentricité maximale de l’orbite terrestre de 0,07 serait impossible à représenter à la résolution d’une page Web. Même ainsi et à l’excentricité actuelle de 0,017, la Terre est 5 millions de kilomètres plus proche du Soleil au périhélie qu’à l’aphélie. »
Quant à l’obliquité terrestre, ou son changement d’inclinaison axiale, les deux images ci-dessous illustrent à quel point la Terre peut se déplacer à la fois sur son axe et sur son orientation rotationnelle. Aux inclinaisons plus élevées, les saisons terrestres deviennent beaucoup plus extrêmes, tandis qu’aux inclinaisons plus basses, elles deviennent beaucoup plus douces. Il en va de même pour l’axe de rotation de la Terre qui, selon l’hémisphère pointé vers le Soleil pendant le périhélie, peut avoir un impact considérable sur les extrêmes saisonniers entre les deux hémisphères.
Variation de l’obliquité axiale PrécessionMilankovitch a été en mesure — à partir de ces différentes variables — de mettre au point un modèle mathématique global lui-même capable de calculer les températures de surface de la Terre en remontant dans le temps, et la conclusion est simple :
le climat de la Terre est en constante évolution et a toujours fluctué, sans que la faute puisse en être imputable aux êtres humains ou à leurs activités.
Ignoré pendant près d’un demi-siècle, le modèle présenté pour la première fois par Milankovitch n’a reçu l’approbation de ses pairs qu’en 1976, lorsqu’une étude publiée dans la revue Science est venue confirmer son exactitude et sa conformité en regard de diverses périodes de changements climatiques qui se sont produits au cours de l’histoire.
En 1982, six ans après la publication de cette étude, le National Research Council de la National Academy of Sciences des États-Unis a adopté la théorie de Milankovitch comme exacte et fidèle à la réalité, en déclarant que :
« … les variations orbitales demeurent le mécanisme de changement climatique le plus minutieusement étudié à l’échelle de dizaines de milliers d’années et constituent de loin la plus flagrante incidence d’un effet direct du changement d’exposition aux rayons solaires sur la basse atmosphère de la Terre. »
Selon le Professeur Gervais dans un précédent Focus :
« Les observations récentes sont dérangeantes pour les modèles de climat ; sans doute parce qu’ils se refusent à prendre en compte un cycle de soixante ans de la température globale de la planète pourtant documenté sur cent trente ans. Ce cycle se décompose en phases montantes, descendantes, en plateaux, chacun d’une quinzaine d’années. […] Ainsi, en 2013, la superficie de la banquise arctique a présenté un déficit estival limité, très inattendu pour les alarmistes. Mais, tout au long de l’année, la superficie de banquise antarctique, elle, a présenté un excédent du même ordre, et même un record absolu confirmé par la NASA ! »
Si nous devions tout résumer en une simple phrase mettre un point final à tout ceci, ce serait :
Le Soleil est le plus grand facteur en capacité d’influencer les phénomènes météorologiques et climatiques sur Terre.
Selon la position de la Terre par rapport au Soleil à un moment donné, les conditions climatiques vont considérablement varier et même créer des anomalies radicales en mesure de défier tout ce que les humains pensaient savoir sur le fonctionnement de notre planète.
Mais plutôt que de se rallier à cette réalité fidèle, exacte et reconnue, les « climatologues » d’aujourd’hui, rejoints par des politiciens de gauche et des média grands publics complices, insistent sur le fait que ne pas recourir aux sacs réutilisables des supermarchés et ne pas avoir de véhicule électrique détruit la planète si rapidement que la seule solution réside dans une imposition absolue d’imposer des taxes climatiques mondiales.
Commentaire : Selon István Markó :
« Dilapider des milliards d’euros pour des modèles mathématiques qui sont faux et ne peuvent rien prédire, c’est ridicule. Cet argent dépensé pour rien devrait être utilisé pour régler de vrais problèmes de pollution. Par exemple le sixième continent, ce gigantesque agglomérat de déchets qui flotte dans le Pacifique, pourquoi on ne le nettoie pas ? On pourrait aussi nettoyer et repeupler nos rivières, assainir nos sols, transformer des chancres industriels en cités où il ferait bon vivre. Ce serait bien plus utile que de s’acharner sur ce malheureux CO2, que nous produisons tous lorsque nous expirons et qui ne nous a rien fait. »
Et selon un commentateur de l’émission radiophonique de Hal Turner :
« Le débat sur le changement climatique n’a rien à voir avec la science. Il s’agit d’une manœuvre des pouvoirs en place et des élites visant à imposer des contrôles politiques et économiques sur la population.
Et c’est un moyen supplémentaire — un parmi tant d’autres — pour diviser la population en deux, avec une partie qui mord à l’hameçon du réchauffement climatique anthropique et une autre qui le conteste, selon le sempiternel « diviser pour mieux régner ». »
Vous pouvez lire le rapport complet de l’émission radiophonique de Hal Turner via ce lien.
Un aspect non mentionné dans l’article est l’effet de l’environnement cosmique sur la météorologie terrestre que l’on peut en partie mieux appréhender par le biais des travaux du physicien danois Svensmark :
« Au lieu de voir les nuages comme la conséquence du climat, il s’agit en fait de montrer que le climat découle des nuages, car les nuages reçoivent leurs ordres des étoiles. »
Heinrich Svensmark est depuis 1997 le principal défenseur de l’induction des formations nuageuses de basse altitude par le rayonnement cosmique, lui-même contrôlé par les cycles du Soleil.
Manière dont les rayons cosmiques aident la formation de noyaux favorisant la formation de nuages.Néanmoins, ceux qui perpétuent le récit des « changements climatiques anthropiques » nous vendent des fariboles.
Car, et quand bien même l’être humain — de par sa façon de vivre aujourd’hui — est un grand pollueur de la planète, occulter, déformer ou encore minimiser la « réalité » du modèle de Milankovitch pourtant exact, admis et reconnu, permet à l’élite de continuer à manipuler les populations et à les maintenir dans une obscure ignorance qui les empêche d’apprendre la nature cyclique de leur histoire, ce qui leur permettrait de ne pas répéter les mêmes erreurs. Ce cycle comprend l’émergence d’empires suivie de leurs chutes dues à des bombardements cométaires, dont les météorites de Toungouska ou de Tcheliabinsk ne sont que de pâles exemples de ce qui nous attend :
« Les comètes et leurs phénomènes associés – météores, séismes, changements climatiques, volcanisme, inondations, incendies, (mini-)âges glaciaires, etc., semblent avoir entraînés dans leurs sillages et tout au long des millénaires, de mauvaises récoltes suivies de famines, d’épidémies, de révolutions, de guerres et de chutes d’empires, d’évolutions et de déclins. »
Il semble par ailleurs de plus en plus évident que nous nous dirigeons vers un refroidissement planétaire et que l’élite le sait depuis longtemps.
Quelques suggestions d’ouvrages :
Hiver cosmique, Dr Victor Clube et Dr Bill Napier
Climat – 15 vérités qui dérangent, István Markó
Les grands bouleversements terrestres, Dr Immanuel Velikovsky
Observations sur l’influence des comètes sur les phénomènes de l’atmosphère, Thomas Forster
Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, Pierre Lescaudron
L’Innocence du carbone – L’effet de serre remis en question, François Gervais
Tout ça ne change rien aux observations de la réduction des éco-systèmes, de la disparition de pas mal d'espèces ces deux derniers siècles, et de l'altération des climats et des zones glacières, qui reculent à vu d'œil, sans que l'on ait à en faire la moindre étude scientifique pour le prouver. Savoir ce qui s'est passé ne change pas grand chose à la donne, tant que l'on ne comprend pas ce qui ce passe ni comment trouver le moyen de s'en sortir sans faire trop de dégâts.
Rien de neuf pourrait-on dire, puisque l'Histoire de notre planète est jalonnée d'épisodes semblables. Le seul fait inédit est que ces changements, qui se sont déjà produits par le passé, ne l'ont jamais été aussi rapidement, et aussi brusquement (l'histoire de 2 siècles, voire sans doute plus).
Pour autant, pas de quoi verser dans la collapsologie, puisque chaque groupe d'humain disposant de son propre ratio d'insignifiants extrémistes, et d'ailleurs à ce sujet, plutôt que de parler de fin du monde - anthropocentrisme oblige -, il serait aussi préférable de parler soit d'extinction de l'espèce humaine, soit d'extinction de masse. La Terre quant à elle, en admettant qu'elle soit un jour débarrassée de l'espèce envahissante dont nous faisons partie, ne pourra que mieux s'en porter, ainsi qu'elle la fait depuis 5 milliards d'années, et ce malgré moult péripéties (glaciations, bombardements de météorites, comètes dont sont probablement issus les océans, multiples extinctions de masse, civilisations anciennes disparues, etc.).
Le problème de l'être humain à l'échelle planétaire, c'est surtout son propre nombril. Son incapacité chronique et globalisée à se remettre en cause, à retenir les leçons de passé malgré la transmission sous divers moyens du savoir et de la connaissance; à prendre enfin conscience qu'il n'est qu'une minuscule et très anecdotique crotte biodégradable dans l'univers (un astronaute ayant vu la Terre depuis l'espace le sait mieux que quiconque); et qu'au final, de toute la quantité de vivant que la planète a pu produire, et malgré ses 7 milliards d'exemplaires actuels, il n'en constitue jamais plus que 0.01 %. Ce qui ne l'empêche ni de vouloir dominer tout ce qui l'entoure (à commencer par ses semblables), ni d'écrabouiller ce qui le gêne de près ou de loin (ça marche toujours pour ses semblables), et ce jusqu'à nier ses propres origines et racines, tout en faisant le maximum pour se gaver le plus qu'il peut, parce que l'objectif premier de chaque espèce n'est pas sauver sa voisine, mais de prospérer le plus possible.
Humilité devrait étymologiquement être le propre de l'humain, et pourtant il n'en est rien !
La question que je me pose, c'est est-ce que l'Homme est capable de changer, c'est à dire d'évoluer d'une façon qu'on pourrait qualifier de spectaculaire, en devenant non pas bêtement un écolo spéciste de base tendance extrême gauchiste, mais un être capable d'élever la grosse masse moléculaire qu'il constitue pour devenir une entité suffisamment intelligente pour éviter d'être atrocement (auto)destructrice, en commençant tout simplement par être suffisamment conscientisée, éduquée et authentiquement civilisée, ou plutôt basiquement dit, respectueuse d'elle-même et de ce qui l'entoure ?
Quant au charmant petit pavé copié-collé par Rick, je ne résiste pas au plaisir subtil de publier les titres d'articles d'un site dit de "ré-information" (soit sûrement un de ceux dont Donald raffole) sur lequel on peut retrouver l'intégralité de cette rigolote prose, et qui fleurent bon le complotisme de base en mode torrent de bullshit
A la vue de ce type de publication qui manque assez nettement d'Hygiène mentale, une seule chose est sûre : on est vraiment pas près d'évoluer
Le côté complotiste avec la Nasa est risible évidemment. Mais il est intéressant d'apporter une alternative à la seule responsabilité que l'homme aurait sur le réchauffement climatique, ce qui en soit est d'ailleurs très prétentieux.
Le paramètre de Milankovitch n'est pas un hoax lui. J'aurais dû commencer par là.
Personne ne remet en cause le fait qu'il y a toujours eu des réchauffements climatiques , c'est la rapidité avec laquelle il s'opère cette fois ci qui est le résultat des usines qui fument et des vaches qui pètent
#j'aimepasfairedespavés
Pour info, les vaches ne sont pas seules, moi aussi !
il y a une heure, Krystof a dit :Personne ne remet en cause le fait qu'il y a toujours eu des réchauffements climatiques , c'est la rapidité avec laquelle il s'opère cette fois ci qui est le résultat des usines qui fument et des vaches qui pètent
#j'aimepasfairedespavés
De surcroit, on sait de nos jours mesurer les taux de CO2 dans l'atmosphère, et également faire le distingo entre celui émis par la végétation et celui d'origine anthropique. Le tout de façon apparemment assez fiable, bien que je ne fasse du tout pas autorité pour l'affirmer moi-même. Et pour établir des points de comparaison et ainsi avoir une référence assez large, on sait aussi le faire en remontant à plusieurs dizaines de milliers d'années, par carottage dans les zones glaciaires.
Donc même en admettant que les mesures ont été faites par des francs-maçons illuminatis, il y a quand même une sacrée différence entre l'observation (la mesure objective) des faits, et l'établissement d'une hypothèse "scientifique" basée sur une soit-disant vérité qu'on jugerait séduisante, simplement parce qu'elle est alternative, ce qui en soit n'a absolument rien d'un process scientifique rigoureux. C'est ce qu'on appelle un "biais".
Un lien qui en parle plus en détail :
https://theierecosmique.com/2016/09/15/larrogance-de-lhomme-et-le-rechauffement-climatique-difficulte-facile-800-mots-5-mins/
Il y a 5 heures, Rick a dit :Le côté complotiste avec la Nasa est risible évidemment. Mais il est intéressant d'apporter une alternative à la seule responsabilité que l'homme aurait sur le réchauffement climatique, ce qui en soit est d'ailleurs très prétentieux.
Le paramètre de Milankovitch n'est pas un hoax lui. J'aurais dû commencer par là.
Bon, évidemment le joli discours de @Rickest la reprise d'un hoax.
C'est un chroniqueur américain qui a balancé ça il y a quelques semaines. C'est juste une présentation, un arrangement d'une vérité pour arriver à une conclusion personnelle (genre des cycle de 50 000 ans qui se produisent en 100).
D'autant plus que l'activité solaire aujourd'hui aurait plutôt tendance à refroidir l'atmosphère et donc limiter le RC.
Quant à l'"alternative" que tu proposes, malheureusement, je ne pense pas, et je ne suis pas le seul, à penser qu'elle n'existe pas.
il y a 30 minutes, Stephane66 a dit :Bon, évidemment le joli discours de @Rickest la reprise d'un hoax.
C'est un chroniqueur américain qui a balancé ça il y a quelques semaines. C'est juste une présentation, un arrangement d'une vérité pour arriver à une conclusion personnelle (genre des cycle de 50 000 ans qui se produisent en 100).
D'autant plus que l'activité solaire aujourd'hui aurait plutôt tendance à refroidir l'atmosphère et donc limiter le RC.
Quant à l'"alternative" que tu proposes, malheureusement, je ne pense pas, et je ne suis pas le seul, à penser qu'elle n'existe pas.
C'est mon discours ou celui d'un chroniqueur américain ?
Le hoax de l'article, c'est le côté complotiste que je dénonce également plus haut.
Si je l'ai mis ici cet article, c'est pour la théorie de Milankovic qui, elle, a été confirmée :
À la suite du forage de Vostok (Antarctique), les chercheurs ont pu étudier le rapport 18O/ 16O (qui est noté δ18O) dans la glace extraite.
Ils se sont aperçus que la courbe représentant le rapport 18O/ 16O avait des similitudes avec la courbe issue des cycles de Milanković. Étant donné que la correspondance température / δ 18O est fermement établie, on peut alors penser que les paramètres de Milanković peuvent être la cause des changements climatiques naturels.
Depuis que ces variations orbitales sont établies, les scientifiques tentent de trouver un modèle capable de relier insolation à 65° et δ18O marqueur des variations passées du climat. Ce n'est pas évident à trouver car la fonte d'un inlandsis est mal cernée. Dans le passé récent (-1 Ma), la périodicité est de l'ordre de 100 000 ans avec environ 90 000 ans d'englacement et 10 000 de dégel ; mais au-delà, le forçage orbital est plutôt à une période de 41 000 ans (c'est la transition du Pléistocène moyen), correspondant à un forçage plus direct par l'obliquité. Les forages benthiques permettent de remonter jusqu'au Néogène, ce qui a permis de fonder la nouvelle échelle de temps géologique (ATNTS 2004).
Je ne dis pas que c'est LA raison du changement climatique que l'on observe actuellement, tout comme je ne dis pas que l'activité de l'Homme n'y est pour rien; je ne dis rien d'ailleurs, je n'en ai pas les compétences. Je constate simplement qu'en cherchant un peu, il existe d'autres causes qui peuvent expliquer le RC, que celle de l'activité humaine que les dirigeants et les médias tiennent pour seule et unique responsable dans leurs discours
Je suis absolument certain que le Qatar s'est basé sur cette étude sérieuse pour décider en toute conscience de climatiser ses rues
M'enfin bon, tant qu'on continue à trier les déchets et à économiser l'eau, tout va bien
Economiser l'eau c'est primordial ! Je me suis mis au Ricard pur....