Il y a 3 heures, Zoréol a dit :
Pas vraiment !
On prend le gros oiseau de fer vers le caillou le 3 novembre...
Devant la pénurie d'autos en plaques rouges, je roule avec la vieille Fiesta de l'épouse de mon copipote, prêtée en kilométrage illimité, heureusement : je lui ai déjà mis 4500 bornes dans la tête (à la Ford, pas à l'épouse !
)
Mais je récupère ma 2008 plaques rouges vendredi, je rends la Fiesta à Alès dans la foulée, et nous partons pour un petit viron en Italie, Firenze, Roma... Faut bien faire un peu de tourisme !
Mais le pire est à venir, car mon indéfectible pote Henri tient absolument à ce que je fête mes 70 balais chez lui à Montpellier. Il refuse obstinément de me dire qui il a contacté. Mais je sais par des indiscrétions qu'outre mon copipote (bien sûr) et mon ancien préparateur Patrice, il y aura également une tripotée d'anciens combattants, l'ami François Beltran que j'ai toujours eu beaucoup de mal à battre en Rallye 2, sauf de temps en temps sur un malentendu, Bruno Bouscary, le terrible Bruno de Faveri qui roulait entre autres avec les fadas en R5, Gazaud, Depons, Vernet : tu lui dis bonjour, il te dit le reste...
Comme il y en aura sans aucun doute d'autres que je n'ai pas vu venir, je pense que le 23 octobre, ce sera une soirée PHC (Pilotes historiques de compétition) !
Après ? J'ai réussi à faire passer le message à ma douce qu'après le Mont Blanc, ce serait ballot de ne pas assister au Critérium des Cévennes. Ça nous laissera peu de temps pour faire les valises et retourner sous les tropiques où il fera meilleur qu'ici !
Superbe programme 😍
En allant en Italie, calcule de manger à San Romolo, sur les hauteurs de San Remo, chez Dall'ava. C'est le restaurant du regretté Orlando Dall'ava, ancien pilote pro Lancia, sur la Fulvia.
Il y a 2 raisons qui imposent cette étape :
La première, et elle a son importance, c'est qu'on y mange extrement bien. Une cuisine typique de la montagne ligure, servie dans une ambiance chaleureuse et familiale, et à un prix plus qu'abordable.
La seconde, c'est que ce restaurant est littéralement le TEMPLE du San Remo. Un peu comme la Remise de Jouanny en Ardèche pour le Monte-Carlo, mais en 100 fois mieux, que ce soit pour l'endroit ou pour la gastronomie d'ailleurs.
Tu ne pourras qu'être impressionné du nombre de photos dédicacées qui sont accrochées sur les murs. Et toutes par des pilotes et copilotes pro, sur une période qui va du début des années 70 au début des années 10. Les équipes venaient manger là, lors des recos du San Remo, lorsque le rallye était en WRC ou ERC (le resto se situe peu après le départ de la spéciale de San Romolo).
Aujourd'hui, le restaurant est tenu par la veuve d'Orlando, son fils Davide, double champion d'Italie d'enduro, et sa douce, gentille et non moins jolie épouse. Tu n'oublies surtout pas de leur demander de te faire visiter la salle qui est au sous-sol, chose qu'ils feront avec un grand plaisir mêlé de fierté. C'est encore plus impressionnant que la salle du resto. De toute façon, y'a pas 10 centimètres carré des murs de cet établissement qui ne sont pas recouverts d'une photo, d'un élément d'une auto usine, d'une plaque de rallye, ou encore d'une coupe. Il faudrait plusieurs heures pour tout admirer en détails.
C'est un endroit pittoresque comme il en existe plus, une sorte de musée archives qui marquera ta mémoire de passionné à minima jusqu'à tes 80 bougies.
J'en prends bonne note et je te remercie pour le tuyau ! 
Après, pour causer, je ne maîtrise pas le Rital, ne l'ayant jamais appris : j'arrive à comprendre, et quand je séjourne dans la botte, je lis la Gazzetta dello Sport sans trop de problème. Mais pour tenir une conversation, ouallou ! Mais entre passionnés, on trouve toujours un terrain d'entente : je raconterai...
Qu'en penser..?
Les autos de course asiatiques, c'est comme les frelons du même tonneau, c'est envahissant !
il y a 32 minutes, Rapido a dit :Qu'en penser..?
Je pense qu'il va se faire chier avec une Starlet F2/12 
On en parlait dans le sujet des essais, donc j'ai mis l'info là-bas aussi.
L'a dit, il aura roulé sur une quantité incroyable de caisses différentes !
Honnêtement, je ne sais pas quoi en penser, à part peut-être que ce n'est pas comme ça qu'il arrivera à percer 
Maintenant, s'il n'a plus d'ambition de carrière et qui souhaite simplement se faire plaisir, alors qu'il en profite le plus possible...
Je suis toujours étonné par les systèmes de notes actuels auxquels je ne comprends rien !
A l'époque héroïque, 90% d'entre nous roulions avec des vitesses de passage estimées et on s'y retrouvait bien.
En 78, je devais faire la Durance avec Alain Oreille. Forfaits au matin du départ, c'est expliqué quelque part dans "Spirit of vécu". Mais pendant les recos, je ne pigeais strictement pas la différence entre ses "D Moyen Bon", "D Bon Moyen" "D Moyen Assez Bon" etc. Lui s'y reconnaissait, c'était l'essentiel !
C'était l'époque de la Rallye 2, il a complètement changé son système par la suite.
La liste de l'Antibes est parue et elle confirme ce qu'on a constaté au Coeur de France, un plateau de plus en plus triste pour de la 1ere division